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Les poissons d’eau douce : mauvais pour les mamans et les bébés

Un rapport rendu public le 19 janvier par l’Agence Nationale de Sécurité Sanitaire recommande aux femmes en âge de procréer, aux femmes enceintes et qui allaitent, ainsi qu’aux enfants de moins de 3 ans et aux adolescents de limiter leur consommation de poissons d’eau douce.

Anguilles, barbeaux, brèmes et autres carpes sont donc des aliments peu recommandables pour la santé de ces gens en particulier.

Portant sur l’imprégnation aux polychlorobiphényles (PCB) des consommateurs, l’étude révèle que ces substances chimiques présentes dans certains cours d’eau — et interdites en France depuis 20 ans — affectent négativement le développement mental et moteur des nourrissons exposés pendant la grossesse ou l’allaitement.

Sans interdire complètement la consommation de ces poissons, celle-ci devrait être restreinte à raison d’une fois tous les deux mois, et à deux fois par mois pour la population générale.

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Des shampoings pour bébés cancérigènes

Une coalition de groupes environnementaux et de la santé (représentant 3,5 millions de personnes) appelle au boycottage de produits pour bébés Johnson & Johnson, lit-on sur Mail Online. Des shampoings pour bébés de l’entreprise comprendraient encore des substances chimiques potentiellement dangereuses.

Ces produits pour bébés sont encore en vente dans de nombreux pays, notamment en Australie, au Canada et aux États-Unis.

Les substances chimiques potentiellement cancérigènes sont la dioxine et le quaternimun-15. Celui-ci libère du formaldéhyde, qui a été reconnu comme cancérigène chez l’humain en juin dernier. Il s’agit aussi d’un irritant pour la peau, les voies respiratoires et les yeux.

Johnson & Johnson, pour sa part, a répondu par voie de communiqué que les préservatifs dégageant du formaldéhyde sont sans danger et qu’ils sont approuvés par les instances américaines et celles d’autres pays. L’entreprise ajoute toutefois qu’elle les retire progressivement de ses produits pour bébés.

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Les BPA touchent plus les petites filles

Des chercheurs américains et canadiens viennent de démontrer une fois de plus que l’exposition aux BPA durant la grossesse comporte des risques importants.

Cette fois, on ajoute que cette exposition dans l’utérus est liée à des problèmes de comportement et émotifs chez les enfants d’âge préscolaire. Cette répercussion serait d’autant plus marquée chez les petites filles, lit-on dans Pediatrics.

La présente étude a regroupé 244 mères et leurs enfants. Des corrélations ont été établies selon des échantillons d’urine des mères durant la grossesse et à l’accouchement, puis de celles des enfants lorsqu’ils ont eu un, deux et trois ans, ainsi que des réponses à un sondage quant au comportement des enfants à trois ans.

On remet donc encore en cause l’emploi de ces substances chimiques dans la fabrication des produits de consommation. Rappelons que les BPA se trouvent notamment dans les contenants en plastique, dans certains scellants dentaires et dans le papier thermique.

Les chercheurs ajoutent que si une plus faible exposition à ces substances est souhaitée, on ne saurait encore établir concrètement si cette réduction aurait un impact évident.

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Pollution et enfants : un nouveau cri d’alarme

Un colloque français réunissant 300 professionnels de la santé remet encore une fois la question de la pollution environnementale à l’avant-plan, comme nous pouvons le lire dans 20 Minutes.

Ces derniers jours, on a appris que la pollution pouvait mener à des problèmes de comportement chez les enfants s’ils y avaient été exposés avant leur naissance.
 
Selon les chercheurs du 3e colloque de l’Appel de Paris, dont il est question ici, la pollution environnementale pourrait avoir d’autres impacts sur la santé des enfants. Elle causerait non seulement le cancer et aggraverait les allergies, mais pourrait aussi engendrer le diabète et l’obésité.

En plus de demander une réduction de la pollution dans de très courts délais, les experts exigent aussi que l’on interdise l’utilisation du bisphénol A dans l’emballage alimentaire. Selon eux, il faut réduire les conséquences de la pollution et des substances chimiques le plus vite possible.

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Beaucoup de substances chimiques dans les produits hygiéniques

Un rapport de la Fondation David Suzuki démontre que plusieurs produits hygiéniques et cosmétiques (shampoings, savons, déodorants, dentifrices et autres) contiennent de nombreuses substances chimiques dangereuses pour la santé, et ce, sans aucune indication sur les emballages.
 
Les chercheurs ont identifié 12 groupes de substances qui devraient être évitées dans la composition des produits et que la grande majorité contenait pourtant.
 
La Fondation David Suzuki demande au gouvernement d’intervenir dans les règles d’étiquetage des produits, mais recommande aussi aux fabricants d’utiliser des substances plus sécuritaires.
 
Avec les nombreuses avancées technologies, il existe aujourd’hui des options plus saines qui ne sont pas novices pour la santé humaine.
 
Ces substances chimiques sont étroitement liées au développement de certains cancers, au dysfonctionnement du système de reproduction, à l’asthme et à de graves allergies.
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Problèmes d’audition causés par les substances chimiques

Selon un rapport signé par des chercheurs de l’Université de Montréal et de l’Institut de recherche Robert Sauvé en santé et sécurité au travail (IRSST), les travailleurs exposés à certaines substances chimiques pourraient développer des problèmes auditifs.

Les émanations de substances courantes en milieu industriel, comme le styrène, le toluène et le trichloroéthylène, de même que celles de certains métaux comme le plomb, provoquent des problèmes d’ouïe à long terme.

Ces substances sont appelées oxtotoxiques, ce qui veut dire qu’elles endommagent le système auditif quand elles sont transportées par le sang au cerveau. On croit même que trois autres produits, l’ethybenzène, le n-hexane et le xylène, auraient les mêmes effets sur l’audition.

On recommande donc que les travailleurs exposés à ces émanations aient un suivi auditif régulier afin de réduire les dommages.

Les chercheurs en sont arrivés à cette conclusion après avoir fait la synthèse de 180 études publiées entre 1970 et 2005.