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Des émotions mixtes pour Guillaume Canet

L’acteur et réalisateur Guillaume Canet se livre aux Inrockuptibles et revient sur la période entourant le lancement de son film Les Petits Mouchoirs, une période trouble pour le créateur, rapporte Voici.

Malgré un franc succès avec Les Petits Mouchoirs en 2010, Guillaume Canet révèle qu’il a des regrets concernant le film, et qu’il n’a pas apprécié autant qu’on aurait pu le croire toute l’attention reçue pour son œuvre.

« Je n’ai jamais eu une énorme confiance en moi en tant qu’acteur comme en tant que metteur en scène. Le succès ne m’a jamais rassuré. Je n’ai pas aimé faire Les Petits Mouchoirs. Et encore moins le promouvoir, alors que c’est celui qui a remporté le plus gros succès. »

« J’aime bien son aspect comédie, mais j’ai livré trop de choses personnelles. C’est un peu comme si dans un dîner, quelqu’un vous raconte un moment important de sa vie en chialant : si vous ne connaissez pas bien cette personne, ça peut-être embarrassant. J’ai perdu un pote, comme dans le film, deux jours avant sa sortie. Je ressentais sa promo comme un peu putassière, je ne me trouvais pas à ma place. Du coup, je n’ai pas apprécié ce succès, et ça ne m’a pas donné des ailes », explique Guillaume Canet.

Il s’agit de la seconde sortie aussi candide pour Canet en peu de temps, après qu’il ait pris la défense du couple qu’il forme avec Marion Cotillard au cours d’une entrevue récemment.

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Marion Cotillard et Guillaume Canet las des critiques

Marion Cotillard et Guillaume Canet en ont marre des critiques qui pleuvent à leur sujet, souvent en provenance de personnes que l’acteur et réalisateur considère comme jalouses et de mauvaise foi.

Voici rapporte les propos de Guillaume Canet au magazine Lui, au cours d’une entrevue accordée à Frédéric Beigbeder dans laquelle il ne mâche pas ses mots pour défendre son couple et sa compagne, Marion Cotillard.

« Le succès en France est mal vu. C’est complètement banal de dire ça… J’ai fait un break de huit mois parce que j’en avais marre de cette ambiance, vraiment, j’en avais marre de voir ou entendre des conneries sur moi ou Marion dans les émissions de télé. Il y a un acharnement assez violent. Moi, ce que je veux dire, c’est que… je n’ai tué personne. On peut me reprocher ce que l’on veut, mais je fais mon métier le plus honnêtement possible et j’essaie de le faire bien », explique Canet.

De son côté, Marion Cotillard fait honneur à son petit côté désinvolte en affirmant qu’elle « s’en fout », mais parions qu’elle apprécie de voir son amoureux se porter ainsi à leur défense.

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Marion Cotillard et Guillaume Canet las des critiques

Marion Cotillard et Guillaume Canet en ont marre des critiques qui pleuvent à leur sujet, souvent en provenance de personnes que l’acteur et réalisateur considère comme jalouses et de mauvaise foi.

Voici rapporte les propos de Guillaume Canet au magazine Lui, au cours d’une entrevue accordée à Frédéric Beigbeder dans laquelle il ne mâche pas ses mots pour défendre son couple et sa compagne, Marion Cotillard.

« Le succès en France est mal vu. C’est complètement banal de dire ça… J’ai fait un break de huit mois parce que j’en avais marre de cette ambiance, vraiment, j’en avais marre de voir ou entendre des conneries sur moi ou Marion dans les émissions de télé. Il y a un acharnement assez violent. Moi, ce que je veux dire, c’est que… je n’ai tué personne. On peut me reprocher ce que l’on veut, mais je fais mon métier le plus honnêtement possible et j’essaie de le faire bien », explique Canet.

De son côté, Marion Cotillard fait honneur à son petit côté désinvolte en affirmant qu’elle « s’en fout », mais parions qu’elle apprécie de voir son amoureux se porter ainsi à leur défense.

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Cinéma

Plusieurs films frappent fort au TIFF 2014

Le Festival International du Film de Toronto, le TIFF, prend tellement de galon que plusieurs films qui y sont présentés débutent maintenant en sol canadien leur envolée vers les Oscars.

C’est du moins ce que rapporte le Journal de Québec, alors que plusieurs films présentés au TIFF 2014 profitent de belles réactions et d’un buzz en vue du gala des Oscars 2015 et de la saison des prix du côté américain.

C’est le cas de Foxcatcher, avec Steve Carell et Channing Tatum, qui démarre en trombe à Toronto. Benedict Cumberbatch reçoit depuis un moment des éloges pour son travail dans The Imitation Game, alors que Jake Gyllenhaal brille dans Nightcrawler, de l’avis de tous.

Jean-Marc Vallée n’est pas en reste cette année encore, puisque Wild connaît de belles réactions dans la Ville Reine. Son film avec Reese Witherspoon pourrait lui permettre de retourner aux Oscars l’an prochain, semble-t-il.

Mais la grande surprises s’avère certainement Jennifer Aniston avec Cake, un projet qui pourrait lui donner une nouvelle crédibilité auprès des cinéphiles et de l’Académie. L’actrice a déjà reçu une belle ovation à la suite de la présentation du film.

Le TIFF 2014 se poursuit jusqu’au 14 septembre prochain.

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Le fils de Jackie Chan arrêté dans une vaste opération antidrogue

Jaycee Chan, 32 ans, et son ami l’acteur taiwanais Kai Ko, 23 ans, ont été arrêtés par la police jeudi dernier (14 août) à Pékin. Le fils de Jackie Chan a échoué au test antidopage. Il risque maintenant 3 ans de prison. 

Selon un communiqué publié sur le blogue officiel de la police de Beijing, la drogue a été découverte chez le jeune acteur dont les films connaissent moins de succès que ceux de son père. 

L’arrestation s’est tenue dans le cadre de l’une des plus grandes opérations antidrogue des deux dernières décennies, écrit Le Monde. Depuis juin dernier, c’est « tolérance zéro » pour le président chinois, Xi Jinping qui veut combattre le fléau de la drogue dans son pays. 

Selon les chiffres de la police, depuis le début de l’opération, 7800 Asiatiques, dont plusieurs personnalités publiques, ont été arrêtées. 

Jackie Chan, qui a d’ailleurs été ambassadeur contre la drogue en 2009 pour la Chine, a déjà révélé en entrevue qu’il aurait voulu que son fils, plus jeune, rejoigne l’armée pour apprendre à « tempérer son caractère ». 

Il a également admis ne jamais vouloir lui léguer son argent, car son garçon serait bien capable de tout gaspiller. 

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Potins

Luc Besson se rappelle des souvenirs

En entrevue au Paris Match, Luc Besson, qui a une remarquable filmographie et qui détient sa propre Cité du cinéma, se rappelle des moments moins heureux.

En 1988, alors que son film Le Grand Bleu ne recevait pas des critiques élogieuses, la fille de Luc Besson, Juliette, issue de sa relation avec Anne Parillaud, a dû se faire opérer au cœur alors qu’elle était âgée d’un an. 

« Le film était présenté à Cannes le 11 mai. Dix jours avant l’opération de Juliette, nous avions rendez-vous avec le chirurgien. Je le vois encore prendre son agenda, le feuilleter et nous dire : “Est-ce que le 11 mai ça vous va?” Je n’ai pas osé dire non, c’était ma fille d’abord. Mais il m’a vu blêmir et il a insisté. Je lui ai dit les raisons de mon angoisse, il a repoussé l’intervention de deux jours. »

« Je me suis donc retrouvé à me faire flinguer avec Le Grand Bleu le 11, et deux jours plus tard, je passais sept heures dans une salle d’attente pour savoir si ma fille allait survivre, être guérie. Le reste n’avait plus d’importance. Et curieusement, quand Juliette est allée mieux, le film s’est mis à marcher », se souvient-il.

En pleine forme aujourd’hui, Juliette Besson fait ses premiers pas au cinéma comme actrice, alors que Luc Besson connaît un nouveau succès avec son dernier film Lucy, mettant en vedette Scarlett Johansson.

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Luc Besson se rappelle des souvenirs

En entrevue au Paris Match, Luc Besson, qui a une remarquable filmographie et qui détient sa propre Cité du cinéma, se rappelle des moments moins heureux.

En 1988, alors que son film Le Grand Bleu ne recevait pas des critiques élogieuses, la fille de Luc Besson, Juliette, issue de sa relation avec Anne Parillaud, a dû se faire opérer au cœur alors qu’elle était âgée d’un an. 

« Le film était présenté à Cannes le 11 mai. Dix jours avant l’opération de Juliette, nous avions rendez-vous avec le chirurgien. Je le vois encore prendre son agenda, le feuilleter et nous dire : “Est-ce que le 11 mai ça vous va?” Je n’ai pas osé dire non, c’était ma fille d’abord. Mais il m’a vu blêmir et il a insisté. Je lui ai dit les raisons de mon angoisse, il a repoussé l’intervention de deux jours. »

« Je me suis donc retrouvé à me faire flinguer avec Le Grand Bleu le 11, et deux jours plus tard, je passais sept heures dans une salle d’attente pour savoir si ma fille allait survivre, être guérie. Le reste n’avait plus d’importance. Et curieusement, quand Juliette est allée mieux, le film s’est mis à marcher », se souvient-il.

En pleine forme aujourd’hui, Juliette Besson fait ses premiers pas au cinéma comme actrice, alors que Luc Besson connaît un nouveau succès avec son dernier film Lucy, mettant en vedette Scarlett Johansson.

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Cinéma

La Reine des neiges, cinquième plus gros succès de l’histoire du cinéma

Le film d’animation de Disney est passé ce week-end devant Iron Man 3 en cumulant, depuis sa sortie fin novembre 2013, plus de 1,2 milliard de dollars au box-office historique mondial.

Grâce à un certain succès auprès du public japonais, La Reine des neiges continue de récolter quelques dollars, six mois après sa sortie. Au dimanche 25 mai, le film de Noël 2013 a totalisé 1 219 179 972 $. Un résultat qui lui permet de devenir le cinquième plus gros succès de l’histoire du 7e art.

L’histoire d’Anna et de sa soeur Elsa vole la place d’Iron Man 3, qui cumule 1,215 milliard de dollars. Devant, Avatar (2,7 milliards de dollars), Titanic (1,8 milliard de dollars), The Avengers (1,5 milliard) et Harry Potter et les reliques de la mort – partie 2 (1,3 milliard) semblent hors de portée.

La Reine des neiges devient par conséquent le plus gros succès des studios Disney, une nouvelle fois raflant le titre à Iron Man 3 et l’unique film d’animation présent dans le Top 10 mondial. Il n’est pas le seul en revanche à avoir passé la barre symbolique du milliard de dollars puisque Toy Story 3, en douzième place, a totalisé 1,063 milliard de dollars.

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Cinéma

Xavier Dolan frappe fort malgré la controverse

Le réalisateur et acteur Xavier Dolan ne connait certainement pas de ralentissement à la suite de ses propos peu élogieux et dénués de respect à l’endroit des cinéphiles et du marché québécois.

Le Journal de Québec rapporte en effet de superbes réactions de la part des journalistes et des observateurs européens face à son film Tom à la Ferme, qui débarque en salles de l’autre côté de l’océan.

Dolan profite certainement du buzz entourant l’annonce de la présentation de son plus récent film, Mommy, au Festival de Cannes, alors que la curiosité pour ses œuvres semble grandissante en Europe.

Nul n’est prophète en son pays, dit-on, et Xavier Dolan pourrait bien confirmer l’adage une fois de plus avec Tom à la Ferme.

Qui sait, le jeune Dolan pourrait bien se trouver une nouvelle terre d’accueil, alors que Le Monde et Le Nouvel Observateur, notamment, saluent son travail.

Il devra cependant en convaincre d’autres, par exemple Laura Meyer du site Première, qui écrit : « En plus d’un scénario confus, le film est en outre vampirisé par son acteur-réalisateur. Affublé d’un improbable look de hipster à choucroute décolorée, Dolan est trop occupé à se filmer pour donner corps à l’autre, le paysan fruste, vrai sujet du film dont la caméra échoue à saisir les contours et l’essence. S’il a gagné en maturité, le jeune cinéaste reste prisonnier de son ego de gamin surdoué ».

Une critique qui trouve écho au Québec, alors que les récentes déclarations de Xavier Dolan ne sont pas prises à la légère par son public québécois.

Parions que cela ne freinera pas les ardeurs du réalisateur, qui n’a vraisemblablement besoin que de l’amour qu’il se porte à lui-même pour foncer de projet en projet.

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Des débuts prometteurs pour un vaccin « anti-cancer »

Des chercheurs américains confirment les débuts prometteurs d’un vaccin aux capacités « anti-cancer » potentielles, rapporte The National Library of Medicine.

Ce vaccin, aux premières phases d’essais, pourrait un jour permettre aux patients atteints de cancer de lutter efficacement contre la maladie grâce aux armes de leur propre organisme, croit l’équipe de chercheurs menée par Tibor Keler.

« Le traitement a été bien toléré même à des doses élevées. Nous planifions d’autres essais pour notre vaccin, en nous concentrant sur des combinaisons possibles avec d’autres immunothérapies qui pourraient mener à des bénéfices cliniques significatifs », explique Keler, qui pilote le dossier.

Le traitement passe donc avec succès la première d’une série de trois étapes imposées par les autorités de la santé américaines.

Une oncologue extérieure aux travaux de Keler et de son équipe, Elizabeth Mittendorf, voit ces résultats d’un bon œil, mais rappelle que la promesse d’un traitement du genre a été faite depuis longtemps par bien des spécialistes. Peut-être l’heure est elle enfin arrivée.

Les résultats de ces essais et de l’étude en question ont été publiés dans le magazine Science Translational Medicine.