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Déterminer les chances de succès d’une fécondation in vitro

Jusqu’à présent, seul l’âge de la mère pouvait aider à déterminer si une fécondation in vitro (FIV) avait des chances de réussir, mais des chercheurs de la Faculté de médecine de Stanford, en Californie, ont élaboré une nouvelle méthode pour évaluer les chances de succès.
 
Selon les Proceedings of the National Academy of Science, cette nouvelle méthode se base plutôt sur les données recueillies lors d’un cycle de FIV qui n’a pas fonctionné. Les chercheurs analysent notamment le nombre d’ovules et d’ovocytes présents au cours de ce cycle. Ainsi, on a découvert que plus ils sont nombreux, plus les chances de succès sont grandes.
 
« Nous avons montré que les données d’un précédent cycle peuvent être efficacement utilisées pour fournir des probabilités de naissance vivante lors d’un cycle ultérieur », disent les chercheurs.
 
D’autres études seront faites et si les résultats se confirment, il sera même possible de prédire les chances de réussite dès le premier essai d’une FIV. De cette façon, les spécialistes aideront les couples à poursuivre leur démarche ou pourront leur recommander d’autres alternatives comme le don d’ovocytes et d’embryons.
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Un test d’ADN pour choisir son régime

Bientôt, il sera possible de choisir le régime qui nous convient parfaitement grâce à un test d’ADN.
 
Des chercheurs de l’Université Stanford, en Californie, ont fait une découverte pour le moins étonnante. Un test d’ADN permettrait de choisir le régime qui est le mieux adapté à notre corps, soit pauvre en glucides ou en graisses.
 
Ainsi, notre profil génétique pourrait prédire le succès de notre régime pour perdre du poids.
 
Pour la recherche, 138 femmes ont suivi un régime particulier pendant douze mois. Certaines avaient un régime très pauvre en glucides ou simplement pauvre en glucides, alors que d’autres suivaient un régime très pauvre en graisses ou pauvre en graisses. Au début, on leur a fait un prélèvement d’ADN.
 
Les femmes qui avaient eu un régime correspondant à leur profil génétique avaient perdu deux fois ou même trois fois plus de poids que les autres.
 
L’auteure principale de cette étude, Mindy Dopler Nelson, explique comment la génétique peut déterminer le bon fonctionnement d’un régime :  « En fait, parmi la centaine de gènes liés à l’obésité, trois d’entre eux ont été identifiés pour leur association biologique avec le régime et la perte de poids. Ces gènes présentent des variations que l’on appelle polymorphisme nucléotidique simple (SNP). Une combinaison de SNPs prédéterminés a été utilisée pour catégoriser la compatibilité avec tel ou tel régime ».
 
D’autres études seront maintenant nécessaires pour confirmer les premières données.