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Une controverse signée Nutella

Les études et rapports concernant la populaire tartinade chocolatée Nutella lui font connaître des moments éprouvants depuis quelques mois, alors que ses vertus sont remises en question.

D’abord attaqué pour le nombre de calories qu’il contient, le Nutella est maintenant ciblé pour une nouvelle raison : l’huile de palme dans sa liste d’ingrédients.

C’est que de nouveaux rapports viennent d’être publiés concernant cette huile, rapporte topsante.com, et ils ne sont pas très positifs.

C’est que l’huile de palme est bourrée de gras saturés, extrêmement néfastes pour la santé. Plusieurs pays songent d’ailleurs à instaurer une nouvelle taxe sur tous les produits qui renferment de l’huile de palme.

C’est le cas du Nutella, dont l’image positive commence à en prendre pour son rhume. Selon les spécialistes, il serait trop huileux, beaucoup trop gras, trop calorique et trop sucré.

La polémique concernant l’huile de palme s’ajoute donc à la mauvaise presse du produit.

Et qu’en est-il des « bons » ingrédients contenus dans le Nutella, dont les publicités nous vantent les mérites? Les chiffres parlent de 13 % de noisettes, 7 % de cacao en poudre et 6 % de lait écrémé en poudre, ce qui s’avère très peu pour contrebalancer les ingrédients plus néfastes que contient le produit.

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Comment bien se protéger de l’hiver et de ses virus

L’hiver au Québec (et au Canada) est rigoureux et est souvent synonyme d’au moins une grippe par année, par habitant. Les citoyens d’Amérique du Nord le savent très bien et tentent tant bien que mal de se préparer (et de se protéger) de l’hiver, parfois sans succès.

Il existe bien un vaccin contre l’influenza, mais il est aussi possible de mettre toutes les chances de son côté, à commencer par l’alimentation.

Topsante.com suggère d’abord de penser vitamine D. Entre autres, on suggère de ne pas avoir peur de mettre le nez dehors afin d’en obtenir et de profiter du grand air. Affronter l’hiver par des marches courtes à l’extérieur permet au corps de s’habituer au froid et de se protéger contre ses effets.

On retrouve de la vitamine D notamment dans les produits laitiers, mais ce n’est pas la seule qui devrait être priorisée. La vitamine C a aussi son rôle à jouer dans la prévention des grippes et rhumes.

Les spécialistes mettent aussi l’emphase sur les probiotiques, qui augmentent les capacités immunitaires de l’organisme. Dans la même veine, il faut faire attention de ne pas ingérer trop de sucre (difficile spécialement dans le temps des fêtes) ou trop de fer.

On rappelle également que le stress est une porte ouverte sur les maladies et virus, alors il faut commencer à penser à ralentir à l’approche de l’hiver.

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Manger au restaurant augmente vos calories

Une nouvelle étude, rapportée par www.nlm.nih.gov, ne devrait surprendre personne, aux dires mêmes des chercheurs à sa tête. On cible les adolescents, mais aussi les parents et leur propre consommation, alors que les restaurants sont plus en vogue que jamais.

On parle (et blâme) bien sûr les chaînes de restauration rapide, mais les chercheurs mettent également le public en garde contre les restaurants plus « traditionnels ».

L’auteure en chef de l’étude, Lisa Powell, explique : « Les parents devraient se rendre compte que de manger au restaurant n’est pas une substitution parfaite aux repas à la maison. La consommation en restaurant ne devrait pas être une norme. Ceux-ci utilisent des techniques impliquant des gras, des sucres et des sels ajoutés, souvent néfastes pour la santé. Manger au restaurant trop souvent aura des conséquences à long terme sur l’organisme ».

Les données analysées ont été celles recensées aux États-Unis entre 2003 et 2008, sur les habitudes alimentaires et la santé des citoyens américains, ainsi que celles de leurs enfants.

La chercheuse croit qu’il est tout indiqué de faire cette mise au point.

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Les noix : des alliées dans la guerre contre le diabète

Les personnes atteintes de diabète de type 2 peuvent compter sur les noix comme alliée pour aider à maitriser les effets de cette terrible maladie.

En effet, selon extenso.org, la consommation de noix permet de diminuer le taux de LDL dans le sang, soit le mauvais cholestérol. On reconnait aussi une hausse probable du taux de bon cholestérol.

Les noix sont déjà recommandées aux patients aux prises avec des problèmes cardiovasculaires.

Partant de là, des spécialistes ont voulu vérifier les effets bénéfiques des noix sur des patients atteints de diabète, entre autres afin de tenter de maitriser les niveaux de sucre dans le sang.

L’étude, provenant de l’Université de Toronto, en Ontario, analyse les dossiers de 24 patients, dont 10 diabétiques et 14 en pleine santé. On a alors comparé les effets de la consommation de noix sur l’organisme à court terme.

Agissant sur le système gastrique, les matières grasses des noix ont en effet semblé agir sur les taux de sucre des sujets. Cependant, le principe a mieux fonctionné chez les sujets dits « normaux ».

Plusieurs autres facteurs viennent faire varier les données et résultats, mais il semble que la théorie de base s’avère exacte.

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Le petit déjeuner sur le pouce : quoi choisir

Plusieurs personnes ne prennent pas le temps de déjeuner avant de partir au travail. Certaines n’ont tout simplement pas le temps, alors que d’autres affirment être incapables de manger au réveil.

La solution commune à ce problème est souvent de prendre un aliment sur le pouce, comme un beigne, un muffin ou encore une barre tendre.

Mais quoi choisir et quelle est la valeur nutritive de ces aliments? Conseilsnutrition.tv rapporte quelques statistiques intéressantes.

D’abord, il est étonnant de constater que les muffins vendus en dépanneur sont souvent plus caloriques que le beignet. Ce dernier, par contre, ne devient pas un choix santé pour autant. On suggère aux gens de se préparer des muffins maison, à base d’avoine ou de son, cuisinés avec de la farine de grains entiers.

Préparer soi-même ses aliments permet d’éviter tous les processus usinés et les quantités de sucre remarquables qui sont ajoutées. Il faut bien sûr également éviter de choisir les muffins et beignes au chocolat, au profit des ingrédients énumérés ci-dessus.

Les barres tendres peuvent aussi jouer le rôle de sauveur, mais il faut vérifier les teneurs en sucre et privilégier les barres tendres d’avoine.

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Le déjeuner salé retrouve la cote

Dans la lignée et la mode de la chrono-nutrition, il semble que les aliments salés soient tout à fait conseillés lors du déjeuner, selon ce que propose topsante.com.

Voilà qui ravira les amateurs d’œufs, de bacon, de rôties, pâtés et cretons.

D’ailleurs, on suggère également les graisses saturées et les protéines, à condition qu’on avale le tout dans les deux heures suivant le réveil.

Il semble que ce soit plutôt le sucre qui s’avère l’ennemi matinal, lui qui serait la cause des coups de fatigue ressentis en fin d’avant-midi (pour ceux que ça concerne, le sucre sollicite l’insuline, le véritable coupable de ces fatigues).

Donc, il est conseillé d’éviter les sucres qui s’assimilent rapidement dans l’organisme, comme les jus de fruits, les fruits frais et secs, les confitures, les biscuits et la majorité des céréales vendues en magasin, très sucrées.

Il faudrait également éviter les produits laitiers autres que le fromage. Donc, exit les yogourts, le lait et les fromages blancs. Ces derniers nuiraient au bon fonctionnement du système digestif. Il serait alors plus difficile de digérer les viandes consommées plus tard dans la journée.

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Le diabète et son régime

Le site topsanté.com a tenté de répondre à cette question, et il semble que plusieurs mesures alimentaires peuvent être observées afin de réduire les risques de développer cette maladie.

Bien sûr, comme pour la plupart des maladies graves, l’hérédité est un facteur important. Bien que l’on ne puisse changer sa ligne d’ADN, on peut néanmoins être doublement vigilant lorsque vient le temps de s’alimenter. Et les autres ne sont pas en reste, car il est bien sûr conseillé à tout un chacun de bien manger.

D’abord, on parle de « sucres lents ». Il semble que contrairement aux perceptions de la population, le sucre retrouvé dans les aliments ne provoque pas toujours le diabète de la façon qu’on pourrait le croire. Certains sucres, les lents, sont à favoriser. On les retrouve notamment dans les pâtes de blé dur et les légumineuses.

Pour ce qui est des pâtes traditionnelles, du riz et du pain, auxquels on accolait le terme « sucre lent », il semble que cela dépende de la façon dont ils sont apprêtés.

Pour le reste, des tests de dépistage sont conseillés, que vous soyez à risque de façon héréditaire ou non.

Les trois autres principaux éléments de risque concernant le diabète sont l’âge (plus de 45 ans), le surplus de poids et l’hypertension.

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Les boissons sans sucre sont-elles efficaces chez les jeunes?

Même si ça semble évident, le doute demeure toujours lorsqu’il est question des boissons dites « sans sucre ». La question se pose spécialement chez les jeunes, ces derniers étant friands des nombreuses boissons retrouvées sur le marché.

Une étude menée à l’hôpital pour enfants de Boston démontre que la prise de poids est moins sévère lorsque les jeunes consomment des boissons dépourvues de sucre. Il s’agirait donc d’une arme puissante dans la lutte à l’obésité, fléau grandissant en Amérique du Nord.

Selon ce que nous apprend santelog.com, l’étude a été conduite par Cara Ebbeling et David Ludwig, professeurs au New Balance Foundation Obesity Prevention Center. Ces derniers ont donc évalué les consommations de boissons sucrées de 224 adolescents, puis fait la corrélation avec la masse corporelle acquise durant cette période donnée.

La différence de poids acquis entre les consommateurs de boissons sucrées et non sucrées tournerait autour de deux kilos sur une période d’un an. Il s’agit là d’une différence substantielle.

Personne ne sera surpris d’apprendre que les boissons sucrées diverses ont le plus gros impact dans la nutrition des jeunes. On parle ici de 10 à 15 % de l’apport calorique total.

 C’est donc un changement drastique pour le corps que de passer au « sans sucre », surtout lorsqu’on pense que les jeunes nord-américains consomment jusqu’à 1,7 fois plus de liquides sucrés que leurs homologues français.

Il faut également rappeler que de saines habitudes de vie prises en bas âge constituent un avantage majeur tout au long de la vie d’adulte.

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Le sucre, une affaire de fille?

C’est reconnu, les femmes ont la dent plus sucrée que les hommes. Pourtant, selon une étude de Credoc, si on regarde la quantité de sucre consommée, ce sont les hommes qui en mangent le plus, soit 101 g par jour contre 94 g chez les femmes.
 
Si l’on considère l’apport énergétique global quotidien, c’est là où les femmes perdent des points, car le sucre représente 19,9 % de leur apport, alors qu’il est de 17,5 % chez les hommes.
 
L’étude dévoile également que c’est surtout à l’adolescence que les goûts s’affinent. Les filles se détachent de la viande rouge et deviennent plus attirées par les légumes frais, les produits laitiers et le sucre.
 
De leur côté, les garçons optent plus pour les viandes saignantes et pour le sucre, surtout consommé sous forme de boissons sucrées.
 
Une des explications possibles serait les hormones, car les femmes disent avoir plus d’envies de sucre avant les règles, mais il n’existe aucune donnée scientifique pour prouver leurs dires.
 
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Le sucre, responsable d’une prise de poids excessive pendant la grossesse

Une nouvelle étude, menée par l’Institut de Médecine en Irlande, suggère de réduire les glucides au maximum pour éviter la prise de poids excessive pendant cette période.

Les résultats démontrent que 48 % des femmes ayant conservé le même régime alimentaire pendant la grossesse ont pris plus de poids que prévu. Quant aux femmes ayant modifié leur régime pour abaisser la consommation de sucre, seulement 38 % d’entre elles ont pris plus de poids que recommandé.

L’Institut de Médecine a effectué cette étude auprès de 800 femmes, dont 400 ont suivi le régime alimentaire bas en glucides. Selon ce que rapporte myhealthnewsdaily.com, une femme enceinte de poids normal ne devrait pas dépasser un gain de poids se situant entre 25 et 35 livres.

Les chercheurs vont plus loin : « La prise de poids excessive pendant la grossesse est associée à un risque plus élevé de césarienne, une rétention de poids après la naissance et un risque d’obésité plus tard dans la vie ».

Ainsi, il faut éviter les sucres rapides, c’est-à-dire préférer le riz et le pain bruns plutôt que leurs versions transformées. Les gâteries sucrées devraient aussi demeurer sur les rayons de l’épicerie et être remplacées par des fruits.

Les résultats de cette étude ont été publiés dans l’édition de septembre du British Medical Journal.