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Les messages publicitaires incitent à manger gras

Alors que de nombreux messages publicitaires mentionnent que l’on devrait éviter de consommer des repas trop gras, trop sucrés et trop salés, l’objectif de départ est loin d’être atteint, selon l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé en Europe.

Selon Maxisciences, certains experts se penchent donc sur une nouvelle approche pour démontrer les méfaits d’une alimentation malsaine.

Dans l’étude faite avec 130 personnes auxquelles on a montré différentes publicités de prévention, les gens ont ensuite privilégié les aliments malsains. Lorsque les sujets ne voyaient pas les messages, ils recherchaient plus une alimentation saine et équilibrée.

Selon certains chercheurs, on devrait plutôt s’inspirer des campagnes antitabac, avec des images-chocs qui ont plus d’impact. C’est l’approche étudiée en ce moment pour tenter de réduire la consommation de malbouffe et ainsi réduire le fléau de l’obésité.

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Les barres de céréales ne sont pas aussi saines qu’on le croit

Une analyse de 30 barres de céréales différentes démontre que l’image saine que l’on en a n’est qu’un simple mythe.
 
Selon l’association des consommateurs britanniques Which, ces barres de céréales contiennent beaucoup de sucre, et des sucres différents. Seulement, on ignore la quantité totale que contiennent ces collations.
 
On utilise notamment le sirop de glucose, le miel, le sirop de maïs, le sirop brut de canne, le sirop de sucre inverti (mélange de glucose, fructose et saccharose), la mélasse, le sirop de glucose-fructose, le sirop de malt d’orge, le sirop de glucose déshydraté, le fructose, le lactose, le sirop d’oligofructose, le concentré de jus de raisin, le dextrose. Une barre peut contenir plusieurs de ces ingrédients, qui sont en réalité des sucres.
 
En ce qui concerne les calories, 11 des barres étudiées en contenaient autant que plusieurs biscuits, et une en contenait 277.
 
10 des barres étaient aussi riches en gras saturés, alors que l’une d’elles avait jusqu’à 30 % de matières grasses.
 
Le sel est aussi très présent dans les barres de céréales, surtout dans trois des trente analysées.
 
On demande donc des règles plus strictes, surtout pour les barres qui s’adressent principalement aux enfants.
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Les mûres aident à contrôler le taux de sucre dans le sang

En fait, des composantes contenues dans cette boisson aideraient à inhiber une enzyme impliquée dans l’absorption des hydrates de carbone, qui sont issus de la transformation des aliments riches en glucose.

Les chercheurs ont découvert que ces composantes se trouvaient dans le vin de bleuets et de mûres. Ils souhaitent créer une boisson qui les contient, mais qui ne serait pas alcoolisée.

Cette boisson garderait le taux de sucre bas chez les diabétiques de type 2, en plus de conserver les vertus anti-inflammatoires du vin.

Ce sont les anthocyanines qui réduisent l’inflammation. Du même coup, ils préviennent le développement de plusieurs maladies chroniques comme le cancer, les maladies métaboliques et les problèmes cardiovasculaires.

« Des études préliminaires ont montré que les anthocyanines peuvent avoir des effets positifs sur les capacités cognitives et la santé générale du cerveau en le protégeant des effets du vieillissement, comme l’Alzheimer et la perte de mémoire », indique la professeure Elvira de Mejia.

Rappelons que les hommes qui mangent des baies pourraient réduire de 40 % leurs risques de contracter la maladie de Parkinson.

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Les édulcorants changent la réponse cérébrale au sucre

Une étude américaine révèle que la consommation régulière d’édulcorants diminue la prédiction du cerveau face à la valeur énergétique des aliments. En d’autres mots, on finit par croire que les aliments sont moins caloriques qu’ils ne le sont en réalité, rapporte CEDUS.

26 personnes ayant en moyenne entre 24 et 25 ans ont participé à la recherche.

Elles ont bu 1 ml de sirop de saccharose à des concentrations diverses. Ensuite, le jour suivant, elles devaient boire sept fois de suite 1 ml de la concentration qu’elles trouvaient la plus sucrée et 1 ml de celle qu’elles considéraient la moins concentrée, en plus de 1 ml de liquide sans goût.

Chaque participant a eu des imager ies par résonnance magnétique de son cerveau. On a noté deux pics d’activité dans le cerveau lors des contrastes les plus importants, soit avec le sirop à forte intensité et le liquide sans goût.

On conclut donc que les édulcorants, qui ont le même goût que celui du sucre, mais sans ses calories, finissent par modifier la réponse cérébrale face à ce goût.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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Le sucre protège de la neurodégénérescence, mais il a un prix

De nombreuses études ont mentionné par le passé que la restriction calorique permettait d’avoir une meilleure santé et une espérance de vie plus longue.
 
Des chercheurs du Centre de recherche du CHUM ont alors cru que comme certains troubles neurodégénératifs, comme la sclérose latérale amyotrophique (SLA), la maladie d’Alzheimer ou de Parkinson, sont liés au vieillissement, une restriction calorique permettrait de ralentir ces maladies, mais la surprise a été de taille.
 
En fait, selon les expériences menées avec des vers C. elegans, le sucre aiderait à protéger contre la neurodégénérescence. « À notre grande surprise, on a observé chez les vers traités avec des niveaux élevés de glucose une réduction importante de la neurodégénérescence, et ce, dans tous nos modèles », mentionne le professeur Alex Parker à Radio-Canada.
 
Le problème est que les vers qui ont eu moins de neurodégénérescence ont vécu moins longtemps et en moins bonne santé.
 
Les scientifiques doivent donc trouver un moyen de profiter pleinement de l’effet protecteur du sucre, en évitant toutefois de devoir subir ses effets néfastes sur la santé.
 
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L’apnée du sommeil favorise les envies de sucre

Des chercheurs du New Jersey ont dévoilé au congrès Sleep 2012 que les médecins devraient suivre de très près les personnes qui souffrent de l’apnée obstructive du sommeil, surtout si elles sont diabétiques.
 
Chez les diabétiques de type 2, les risques d’apnée sont déjà plus élevés. Malheureusement, cela est aussi lié à un manque de glucides, ce qui cause des fringales de sucre, non souhaitables lorsque l’on a le diabète.
 
55 patients ont participé à l’étude. Parmi ceux qui avaient le diabète, la prévalence de l’apnée du sommeil grimpait jusqu’à 82 %, et ils avaient deux fois plus de chance d’avoir des fringales de sucre, comparativement à ceux qui n’avaient pas le diabète.
 
« La gestion des patients atteints de diabète et de syndrome métabolique basée seulement sur la pharmacothérapie, l’exercice et des modifications nutritionnelles, sans prise en compte du risque d’apnée du sommeil, ne peut conduire à des résultats optimaux », mentionne le Dr Anthony Cannon.
 
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Des boissons à éviter

La majorité des gens se soucient peu des boissons qu’ils consomment. Pourtant, la plupart contiennent beaucoup de calories et de sucre.
 
Bien entendu, l’alcool fait partie des boissons qui ne devraient pas être consommées en grande quantité, et dernièrement, on recommandait la prudence avec les boissons sportives et énergisantes.
 
MédicMagic dresse la liste d’autres boissons à éviter dans un mode de vie sain.
 
Par exemple, les jus en bouteille contiennent souvent trop de sucre. Il serait préférable de faire vous-même vos propres jus.
 
Même chose pour les smoothies, surtout ceux des grandes chaînes de restauration rapide qui ne sont pas toujours faits avec de vrais fruits. Faites-les vous-mêmes, vous en serez ainsi assuré et vous éviterez de consommer trop de calories.
 
L’eau minérale avec des saveurs contient des édulcorants artificiels qui ne sont pas recommandés pour la santé.
 
Donc, faites des choix plus éclairés, même en ce qui concerne les boissons que vous prenez tous les jours.
 
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Nouvelles quotidiennes

Découvrez la cachaça au Brésil

La caïpirinha est composée de citron, de glace pilée, de sucre et bien sûr de cette fameuse cachaça, que l’on obtient en distillant de la canne à sucre, des levures et de l’eau.

Cet alcool prisé est depuis peu reconnu comme un produit de fabrication exclusivement brésilienne.

En fait, la ville de Salinas, au nord de l’État de Minas Gerais, produit la cachaça de marque Havana, dont la plus dispendieuse des bouteilles vaut 900 reais. Située entre Montes Claros et Vitória de Conquista, l’usine Havana est ouverte au public.

Aussi, l’usine Weber Hauss, à Ivoti, dans l’État du Rio Grande, offre également une cachaça réputée.

Les Brésiliens sont fiers de leur produit, puisqu’ils organisent, du 15 au 17 juillet prochain, le Festival mondial de la cachaça.

De plus, il est possible de faire la route de la cachaça, longue de 140 kilomètres, qui part de Monte Alegre jusqu’à São Paulo.

Rappelons que l’alcool fait l’objet d’un autre festival brésilien. On lit sur Mail Online que le Brésil accueille plusieurs touristes pour son Oktoberfest. Basé sur l’édition de Munich en Allemagne, ce festival de la bière se retrouve ainsi le deuxième en importance au monde.

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L’alimentation liée à la dépression

L’Internal Journal of Obesity publie une nouvelle étude effectuée par la professeure Stéphanie Fulton et son équipe de l’Université de Montréal révélant qu’un régime riche en gras et en sucre favorise la dépression.
 
Une telle alimentation produit instantanément dans le cerveau une sécrétion de dopamine, qui est l’hormone de la récompense, mais l’effet euphorique se dissout rapidement, favorisant donc l’état dépressif.
 
« En plus de causer l’obésité, les aliments riches peuvent vraiment entraîner des réactions chimiques au cerveau, d’une manière qui s’apparente à celle des drogues illicites. Cela conduit ultimement à la dépression, à mesure que les effets s’atténuent », mentionne la professeure Fulton.
 
L’étude effectuée sur des souris démontre clairement que celles ayant eu un régime riche en gras et en sucre étaient non seulement obèses, mais aussi déprimées et stressées.
 
On comprend encore mal toutefois les mécanismes sous-jacents de ce phénomène.
 
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Les oméga-3 pour contrer le sucre

Des chercheurs de l’Université de Californie à Los Angeles ont démontré que les oméga-3 peuvent contribuer à minimiser ces dommages cérébraux, selon une étude publiée dans le Journal of Physiology.

Les chercheurs ont fait consommer des oméga-3 à des cobayes et leur ont fait passer différents tests pour vérifier la qualité de leur mémoire.

Les gens ayant consommé des oméga-3 obtenaient de meilleurs résultats à des tests de mémoire. Leur cerveau montrait un déclin de l’activité synaptique (communication entre les cellules nerveuses) ainsi que des signes de résistance à l’insuline, une hormone qui joue un rôle important dans la régulation de la fonction synaptique.

Selon les chercheurs, les oméga-3 DHA sont indispensables à la fonction synaptique. Et c’est elle qui rend l’apprentissage et la mémoire possibles. Comme l’organisme ne peut produire assez de DHA, celui-ci doit être fourni par l’alimentation.

En mars dernier, une autre étude montrait qu’une alimentation déficiente en oméga-3 était liée à un vieillissement plus rapide du cerveau et à une perte des capacités cognitives et de la mémoire.