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Le goût de la malbouffe dès le stade foetal?

Selon une récente étude australienne, un bébé aurait une préférence, voire une dépendance, à la malbouffe si sa mère en a beaucoup consommé lorsqu’elle était enceinte.

En effet, il semble qu’une alimentation riche en gras et en sucre durant la grossesse viendrait à influencer certains modèles présents dans le cerveau du fœtus, ce qui altèrerait ses goûts alimentaires.

Ainsi, une fois né, l’enfant serait plus porté à préférer la malbouffe à d’autres types de nourriture.

Bien que cette étude parue dans FASEB Journal ait porté sur des rats, on peut déjà voir une explication possible quant à la capacité pour certaines personnes de résister à des tentations sucrées ou riches en gras, alors que d’autres n’y arrivent tout simplement pas.

De plus, on peut y voir un nouveau facteur de l’augmentation du taux d’obésité dans nos sociétés. Ces résultats nous indiquent surtout une nouvelle façon d’aider les futures mamans et celles qui allaitent à faire les bons choix alimentaires, afin d’offrir les meilleures bases à leur enfant.

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Lien entre les otites et l’obésité

Une nouvelle étude ayant porté sur les effets de l’otite chronique a mené à des résultats surprenants. Il semble que la conséquence finale en serait l’obésité.

Pour en venir à cette constatation, on a suivi 42 enfants âgés de 3 à 7 ans qui souffraient tous d’otite chronique et à qui l’on avait posé des tubes. On les a comparés à 42 autres enfants du même âge qui n’avaient pas eu cette infection.
 
On a donc remarqué, après leur avoir fait passer des tests chimiques de goût, que chez les enfants atteints de l’otite, ce sens était altéré par l’infection.
 
Celle-ci réduisait leur capacité à goûter le sucré et le salé, ce qui pouvait entraîner une consommation immodérée de calories et de liquides, faisant ainsi augmenter l’emmagasinement des gras et la rétention des fluides. Ultimement, cela mène à l’obésité.

Les résultats complets de cette expérimentation sont parus dernièrement dans Archives of Otolaryngology – Head & Neck Surgery.

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Le sucre, le sel et l’alcool causent des dommages au corps en quelques minutes

Des scientifiques australiens ont mesuré le temps que plusieurs aliments nocifs pour la santé mettent avant de causer des dommages à notre organisme. Par exemple, il faudrait moins de 30 minutes pour que la capacité des artères à pomper le sang soit considérablement diminuée après un repas salé.
 
Selon ce que rapporte le Daily Mail, il ne suffit que de 3 secondes à une cigarette pour causer les premiers dommages obligeant le cœur à travailler plus fort. La tension artérielle augmente également et la fumée cause de l’irritation et de l’inflammation aux voies respiratoires. En 15 minutes, il commence à y avoir des dommages génétiques.
 
En ce qui concerne le sucre, les dommages se font en moins de 2 minutes, car dès qu’il est en contact avec les dents, les bactéries le transforment en acide qui attaque l’émail. Le taux de glycémie augmente ensuite presque instantanément, ce qui est un facteur de risque pour le diabète de type 2. Le taux d’insuline grimpe également.
 
Pour l’alcool, cela ne prend que 6 minutes. Plus le taux d’alcool augmente dans le sang et plus les composés qui protègent le cerveau diminuent. Bien qu’une consommation modérée provoque des effets réversibles, les alcooliques peuvent se retrouver avec des dommages permanents.
 
Le sel cause des dommages en 30 minutes, tout comme la caféine qui ralentit le flux sanguin. Quant à lui, le gras perturbe le système de coagulation du sang en 45 minutes.
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Les diabétiques ne devraient pas se priver de fruits

Les personnes diabétiques doivent suivre un régime alimentaire strict et faire continuellement attention à leur consommation de sucre.
 
Les fruits sont donc à surveiller, car plusieurs en contiennent beaucoup, mais les personnes souffrant de diabète ne doivent pas pour autant les négliger. Ainsi, LiveStrong rappelle qu’il est plus judicieux d’opter pour des fruits à faible indice glycémique, comme les pommes.
 
La pectine contenue dans la peau et la chair des pommes serait efficace pour traiter le diabète. Elle aide aussi à détoxifier le corps et réduit de 35 % le taux d’insuline dans le corps. De plus, on rapporte que cela peut aider à réguler le sucre dans le sang.
 
Les fraises sont un choix judicieux également. Elles contiennent beaucoup de fibres, de nutriments et d’antioxydants qui aident à réduire les risques de maladies cardiaques.
 
Le pamplemousse améliorerait la sensibilité à l’insuline et augmenterait les réserves alcalines dans le sang, ce qui permettrait une résistance à l’acidité du diabète.
 
Finalement, les avocats sont aussi un bon choix pour les diabétiques. Ils abaissent le taux de cholestérol et maintiennent le niveau de triglycérides dans le sang. De plus, la vitamine E améliore l’action de l’insuline dans l’organisme.
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Les aliments gras et sucrés créent une dépendance

Ne vous demandez plus pourquoi vous ne pouvez pas résister à un gâteau, une barre de chocolat ou encore à un hamburger de la chaîne de restauration rapide de votre coin. Des chercheurs américains ont trouvé que les aliments gras et sucrés créaient le même genre de dépendance que la drogue.
 
L’étude effectuée sur des rats s’est échelonnée sur trois ans. Les aliments gras et sucrés ont créé chez les animaux une véritable dépendance, similaire à ce que l’on constate avec la consommation de drogue.
 
Les rongeurs habitués à ce type d’alimentation pouvaient en manger compulsivement, au point de devenir obèses en seulement quelques mois.
 
Les chercheurs croient donc que comme la drogue, l’obésité aurait les mêmes fondements neurologiques.
 
Les effets obtenus chez les rats pourraient donc également se confirmer chez l’homme.
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Le gras, le sel et le sucre, les préférés des petits

Une récente étude menée par deux universités américaines vient de prouver que les jeunes enfants ont une préférence pour les aliments contenant du gras, du sel et du sucre.

De plus, ils associent très rapidement des produits au nom d’une chaîne de restauration rapide ou d’une marque de boisson gazeuse.

Parue dans le Journal of Public Policy & Marketing, cette recherche a tout d’abord porté sur 67 enfants âgés de 3 à 5 ans. Parmi eux, il y avait 31 garçons et 36 filles.

Les mères devaient remplir un questionnaire, tandis que les enfants goûtaient à 11 saveurs naturelles et 11 saveurs artificielles sans voir le nom des produits.

Les résultats concordaient : si la mère avait remarqué l’envie de produits contenant du gras, du sel et du sucre, l’enfant préférait en effet les aliments aux saveurs artificielles.

Une seconde expérimentation a ensuite été faite. On a présenté à 108 enfants (autant de filles que de garçons) des cartes représentant des produits et des marques de commerce. Tous les enfants ont facilement associé le bon produit à la bonne marque.

Il semble donc que les enfants sont sensibles à la persuasion dès l’âge de trois ans. Il faudrait d’une part revoir la publicité qui leur est adressée et, d’autre part, leur apprendre ce que sont les bons aliments bien avant leur entrée à l’école.

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Envie d’opter pour les noix et fruits séchés? Pensez-y bien.

Des chercheurs rapportent que les fruits séchés et les noix ne sont pas un meilleur choix santé.
 
Selon le Daily Mail, grignoter des noix ou des fruits séchés pourrait vous faire prendre du poids plutôt que de vous en faire perdre.
 
Les experts ont constaté que les noix et les graines ont souvent des quantités malsaines de graisses saturées et que les fruits séchés sont plutôt riches en sucre.
 
100 grammes de noix contiendraient 16,4 grammes de graisses saturées, soit les trois quarts de l’apport quotidien recommandé pour une femme. Une poignée de raisins secs aurait 69 grammes de sucre, également les 3/4 de la quantité recommandée.
 
En moyenne, on recommande 90 grammes de sucre par jour pour un adulte moyen. Or, 100 grammes de fruits séchés, comme les raisins secs, contiennent 64 grammes de sucre. En comparaison, 100 grammes d’une tablette de chocolat Kit Kat contiennent 47,8 grammes de sucre.
 
Même les graines de citrouilles et de sésame ont un haut niveau de graisses, rapportent les chercheurs.
 
Alors, pensez-y bien avant de faire vos choix.
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Le sucre des céréales influence les choix alimentaires des enfants

Des chercheurs de l’Université Yale à New Haven se sont penchés sur les choix actuels de céréales proposés aux enfants.

Ils ont offert des céréales à 91 participants d’un camp de vacances âgés de 5 à 12 ans, puis leur ont demandé leur avis.

Leurs résultats parus dans Pediatrics nous en disent longs quant à l’influence de la teneur en sucre des céréales sur les choix alimentaires des enfants.

Dans cette étude, tous les enfants avaient droit à des fruits frais, du lait et du jus d’orange, en plus de leur bol de céréales. Ils pouvaient manger autant qu’ils le souhaitaient.

Le groupe ayant mangé des céréales moins sucrées (1 à 4 g par portion) a eu plus tendance à ajouter des fruits frais à celles-ci que le deuxième groupe ayant choisi des céréales plus sucrées (11 à 12 g par portion).

De plus, même si les enfants consommant des céréales moins sucrées ajoutaient du sucre, cela correspondait quand même à moins que ce qui était contenu dans celles déjà sucrées (0,7 cuillère à café contre 5,7).

Finalement, les chercheurs de l’étude affirment que les enfants auront plus tendance à préférer des aliments sucrés en général si on leur offre des céréales sucrées sur une base régulière.

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Un café sucré est la meilleure façon de commencer la journée

Le café serait un meilleur stimulant pour le cerveau s’il contient du sucre, selon les travaux d’une équipe de l’Université de Barcelone, en Espagne.
 
La prise de caféine en même temps que de sucre dynamiserait les performances du cerveau, rapporte le journal Human Psychopharmacology: Clinical and Experimental.
 
On a observé 40 volontaires qui ont pris soit du café avec sucre, du café seulement, juste du sucre ou simplement de l’eau. On a conclu que le café sucré était la meilleure façon de préparer le cerveau à une journée bien remplie.
Les chercheurs croient que le café et le sucre renforcent les effets de l’un et l’autre, notamment en ce qui concerne la durée de l’attention et la mémoire du travail.
 
Par contre, ceux qui n’aiment pas leur café sucré pourraient bénéficier des mêmes avantages en prenant une collation sucrée en même temps.
 
Rappelons que par le passé, des études avaient démontré que trois tasses de café par jour diminuaient les risques de développer la maladie d’Alzheimer.
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Les repas de restauration rapide: très mauvais pour les enfants

C’est ce qu’ont pu affirmer des chercheurs de l’Université Yale aux États-Unis. Sur plus de 3 000 combinaisons possibles de repas pour enfants, seulement 12 étaient acceptables pour des enfants de 2 à 5 ans.

Nous pouvons aussi lire sur Parentcentral.ca que 15 repas se sont trouvés adéquats pour des enfants un peu plus vieux.

La raison de ces pauvres performances est que si la plupart des repas pour enfants viennent avec un à-côté santé, ils demeurent très riches en gras saturé et en sel.

Cette étude a aussi traité de l’effet de la publicité de ces chaînes de restauration rapide sur les enfants. Il semble que les enfants d’âge préscolaire voient en moyenne trois annonces par jour sur la restauration rapide.

De plus, 40 % des enfants âgés de 2 à 11 ans demandent à leurs parents d’aller y manger au moins une fois par semaine.

Finalement, 15 % des enfants d’âge préscolaire aimeraient s’y rendre tous les jours.