Catégories
Uncategorized

Pas de risque à consommer de l’aspartame en bas du seuil recommandé

L’EFSA (Agence Européenne de Sécurité Alimentaire) persiste et signe dans son évaluation des risques liés à la consommation d’aspartame, rapportent Top Santé et Santé Log, un ingrédient surtout utilisé pour remplacer le sucre dans divers produits.

Ainsi, l’EFSA maintient sa position concernant l’aspartame, et confirme dans un rapport que si la consommation du produit demeure en deçà du seuil recommandé, les risques pour la santé sont faibles ou inexistants.

« Pour la population générale, la dose journalière acceptable (DJA) actuelle de 40 mg par kilogramme de poids corporel constitue une protection adéquate », expliquent les spécialistes de l’Agence Européenne de Sécurité Alimentaire.

Ce seuil pourrait équivaloir, en moyenne, à une telle quantité de produits contenants de l’aspartame consommés sur une base quotidienne que la conclusion proposée par l’EFSA est évidente : l’aspartame n’est pas dangereux.

Si plusieurs personnes restent sceptiques face à ces nouvelles conclusions, d’autres seront ravies d’apprendre qu’elles peuvent continuer d’ajouter du faux sucre dans leur boisson chaude ou de consommer des boissons gazeuses légères.

Cependant, comme avec tout, la modération est fortement recommandée, et on rappelle que le meilleur conseil en santé et nutrition en ce qui concerne les boissons est de boire beaucoup d’eau, et ce, quotidiennement.

Catégories
Uncategorized

Un dirigeant de Cola-Cola croit qu’il est temps de changer les choses

Incroyable revirement de situation, ou subite crise de conscience, alors qu’un des grands dirigeants de l’une des compagnies productrices de boissons gazeuses les plus connues au monde sort de l’ombre et donne son opinion concernant les habitudes alimentaires de ses clients, et sur les changements qu’il souhaite voir se produire dans le futur.

Cet homme, c’est James Quincey, rapporte le Daily Mail (UK), président de Coca-Cola pour le territoire européen.

Quincey affirme en entrevue que « les choses doivent changer », concédant que les grands formats de boissons gazeuses devraient être relégués aux oubliettes, et que les gens doivent se conscientiser davantage aux portions astronomiques de sucre que contient ce genre de produit, dont le sien.

« Les gens ne réalisent pas toujours combien de sucre renferme une boisson gazeuse. Les grands formats doivent être réduits », lance James Quincey, avant d’ajouter dans un soudain regain de lucidité professionnelle que son produit n’est pas plus calorique qu’un « croissant ou un capucino ».

Ces déclarations de la part d’un dirigeant de Cola-Cola semblent aller de pair avec certains des efforts récents de l’entreprise pour lutter contre l’obésité, un geste perçu par plusieurs comme fort hypocrite.

Un « petit contenant » de boisson gazeuse comme le Coke vendu au cinéma contiendrait 23 cuillères à thé de sucre, alors qu’un « grand contenant » en comprenant 44.

De quoi donner des armes à Michael Bloomberg!

Catégories
Uncategorized

La taxe sur les boissons sucrées peut réellement fonctionner, selon une étude

Le Telegraph (UK) rapporte une étude britannique qui conclut à l’efficacité probable d’une taxe sur les boissons gazeuses et sucrées, à tout le moins à long terme.

Ce sont des experts des universités Reading et Oxford qui se sont penchés sur le sujet, alors que de plus en plus d’autorités de la santé et politiques souhaitent voir augmenter le prix de la malbouffe et, en ce qui nous concerne ici, des boissons gazeuses ou trop sucrées.

Le groupe de spécialistes arrive à la conclusion, un peu en surprise, qu’une telle mesure serait effectivement efficace et qu’elle permettrait une réduction globale de la consommation de ces produits, et donc une baisse du poids moyen des individus.

« Notre travail suggère qu’une taxe sur les boissons sucrées aurait un meilleur impact en termes de réduction de l’obésité chez les jeunes adultes », confirme le Dr Oliver Mytton, qui participe à l’étude.

Plusieurs régions sont en train d’étudier une telle possibilité, notamment du côté de Mexico, San Francisco, New York et même ici, au Québec.

Catégories
Uncategorized

Boisson gazeuse : les adolescents sont en danger

Pour une recherche menée par la Dre Susan Babey en Californie, des données de plus de 40 000 foyers californiens ont été compilées. Les résultats comparent la consommation de boissons sucrées, plus spécifiquement les boissons gazeuses et boissons énergisantes, pour la période de 2005 à 2007, puis 2011 et 2012.

Les résultats montrent que chez les 6 à 11 ans, la consommation de boissons gazeuses est passée de 43 à 32 %. Chez les 2 à 5 ans, celle-ci est passée de 27 à 19 %. Finalement, chez les adolescents (12 à 17 ans), le taux de consommation a grimpé de 5 %.

 Les groupes ethniques sont ceux qui consomment le plus de boissons gazeuses et de boissons énergisantes. Ainsi, 74 % des Afro-Américains et 73 % des Latino-Américains boivent au moins un soda par jour. Quant aux Asiatiques, les données grimpent en flèche.

Selon Science World Report, les chercheurs espèrent sensibiliser les adolescents (et leurs parents) aux effets à long terme de ce type de boissons. On parle notamment de risque élevé de diabète et d’obésité, en plus de problèmes d’agressivité, de déficit d’attention et de troubles comportementaux.

Catégories
Uncategorized

Des biscuits Oreo qui créent une dépendance similaire à la cocaïne

Les Oreo peuvent-ils créer une dépendance? Mieux encore, les Oreo peuvent-ils créer une dépendance similaire à celle produite par la cocaïne?

Voilà une question qui peut sembler farfelue, mais que s’est véritablement posé un chercheur du Connecticut, aux États-Unis, selon le Daily Mail (UK).

Joseph Schroeder, un neuroscientifique du College Connecticut, aurait en effet démontré une forte dépendance liée au fameux biscuit Oreo, en testant sa théorie sur des rongeurs.

Les rats ont démontré des symptômes de dépendance similaires à ceux observables chez les cocaïnomanes, et ont choisi systématiquement le biscuit aux autres options proposées.

Mais il y a plus encore… Il semble que les rongeurs aussi préfèrent manger la crème de l’Oreo en premier! Des révélations qui font sourire, cela va de soi.

Même si l’étude semble étrange et inutile, elle démontre pourtant une fois de plus l’impact des produits hautement sucrés et très gras sur notre corps et notre cerveau, particulièrement sur la zone de récompense de ce dernier.

Au final, la zone de récompense réagit un peu de la même façon lorsqu’on mange ce genre d’aliment, à savoir ici un Oreo, que lorsqu’on consomme une drogue comme la cocaïne. Ceci explique d’ailleurs partiellement combien il est difficile de stopper la consommation de ces produits, au profit d’aliments plus sains pour la santé. 

Catégories
Uncategorized

Quand le iPhone devient le iDocteur

Le Telegraph (UK) propose un article des plus intéressants sur les capacités actuelles et futures de l’iPhone et des téléphones intelligents en matière de santé.

Si on connaissait déjà quelques-unes des applications proposées, d’autres piquent la curiosité, stimulent l’imaginaire ou surprennent carrément.

Notamment, le journaliste scientifique correspondant Richard Gray mentionne l’application qui permet de « lire » les battements du cœur et de définir l’état de santé d’un individu, comme un électrocardiogramme retrouvé en centre hospitalier.

La pression sanguine, la respiration, la toux et même les signes de commotion cérébrale peuvent également être analysés par un simple téléphone intelligent, tout comme l’ouïe et les capacités visuelles.

Mais il y a plus. Une application de l’iPhone permettrait également d’analyser les cycles du sommeil, alors qu’une autre peut « lire » dans vos empreintes digitales. Bien sûr, une autre pourra tout simplement analyser les symptômes proposés et en arriver à un diagnostic initial virtuel.

La liste se poursuit et continuera de s’allonger, démontrant que les nouvelles technologies peuvent et pourront améliorer certains de soins de santé ainsi que leur proximité, mais pourront également réduire les coûts annuels liés à la santé et désengorger certains départements.

Richard Gray espère voir des études cliniques confirmer officiellement les propriétés médicales possibles des téléphones comme le iPhone, et ainsi changer littéralement une partie de la face du monde médical tel qu’on le connaît.

Catégories
Uncategorized

Un spécialiste demande des campagnes plus agressives contre le sucre

« La drogue qui crée la plus forte dépendance et la plus dangereuse de notre temps », lance un spécialiste de la santé néerlandais.

Une réplique accrocheuse et spectaculaire, reprise par le Telegraph (UK), et qui lance un véritable avertissement aux autorités de la santé à travers le monde en matière… de sucre.

L’auteur de cette déclaration est Paul van der Velpen, dirigeant du service de la santé d’Amsterdam, une ville pourtant réputée pour son ouverture d’esprit.

Mais c’est justement sur ce clou que frappe van der Velpen, affirmant que si les autres drogues sont nocives, elles le sont de façon connue et affirmée, contrairement au sucre qui fait des ravages dans l’ombre.

« Tout comme l’alcool et le tabac, le sucre est en fait une drogue. Il y a un rôle important pour le gouvernement. La consommation de sucre devrait être découragée, et les consommateurs devraient être mieux avertis des dangers », lance le spécialiste, mécontent.

Il suggère notamment de placer des avertissements sur les produits qui contiennent beaucoup de sucre, à l’image de ceux retrouvés sur les paquets de cigarettes.

« Ça peut sembler tiré par les cheveux, mais le sucre est la drogue la plus dangereuse de notre temps et s’acquière partout. Quiconque consomme du sucre en voudra davantage », poursuit van der Velpen, en conclusion.

Les plus avisés seront sans aucun doute d’avis que le dirigeant néerlandais marque un point fort intéressant.

Catégories
Uncategorized

Le double impact de l’alcool sur le poids et la santé

L’alcool est reconnu pour ses nombreux effets retour et pervers, à commencer par sa propension à favoriser la prise de poids.

Encore là, selon Santé Log, ce simple facteur possède deux volets, c’est-à-dire que la consommation d’alcool mène à un gain de poids en soi, mais aussi à de plus mauvais choix alimentaires.

Donc, selon l’étude rapportée et publiée par la NIAAA dans l’American Journal of Clinical Nutrition, une consommation trop élevée ou quotidienne d’alcool  présente deux problèmes majeurs pour la santé.

D’abord par des apports caloriques élevés, puisque la moyenne calorique d’un verre d’alcool (vin, bière, spiritueux) se situe autour de 200 calories par consommation.

Mais aussi parce que prendre un verre inciterait davantage vers de mauvais choix alimentaires, croient les experts de la NIAAA.

C’est après avoir analysé les comportements de milliers de sujets, hommes et femmes, que ceux-ci ont constaté des consommations accrues de produits gras, sucrés et salés, mais aussi en viandes et en grignotines (croustilles, etc.).

Ainsi donc, réduire ou cesser la consommation d’alcool permettrait de perdre du poids beaucoup plus facilement, et ce, en gagnant sur deux tableaux simultanément.

Cela dit, il est important de mentionner que le vin et la bière, lorsque consommés avec extrême modération, sont vantés par plusieurs spécialistes qui leur accordent certaines vertus santé.

Saurez-vous trouver le juste équilibre?

quo;alcool est reconnu pour ses nombreux effets retour et pervers, à commencer par sa propension à favoriser la prise de poids.

Encore là, selon Santé Log, ce simple facteur possède deux volets, c’est-à-dire que la consommation d’alcool mène à un gain de poids en soi, mais aussi à de plus mauvais choix alimentaires.

Donc, selon l’étude rapportée et publiée par la NIAAA dans l’American Journal of Clinical Nutrition, une consommation trop élevée ou quotidienne d’alcool  présente deux problèmes majeurs pour la santé.

D’abord par des apports caloriques élevés, puisque la moyenne calorique d’un verre d’alcool (vin, bière, spiritueux) se situe autour de 200 calories par consommation.

Mais aussi parce que prendre un verre inciterait davantage vers de mauvais choix alimentaires, croient les experts de la NIAAA.

C’est après avoir analysé les comportements de milliers de sujets, hommes et femmes, que ceux-ci ont constaté des consommations accrues de produits gras, sucrés et salés, mais aussi en viandes et en grignotines (croustilles, etc.).

Ainsi donc, réduire ou cesser la consommation d’alcool permettrait de perdre du poids beaucoup plus facilement, et ce, en gagnant sur deux tableaux simultanément.

Cela dit, il est important de mentionner que le vin et la bière, lorsque consommés avec extrême modération, sont vantés par plusieurs spécialistes qui leur accordent certaines vertus santé.

Saurez-vous trouver le juste équilibre?

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

Catégories
Uncategorized

La toxicité et l’impact d’une consommation élevée de sucre sont démontrés

Des chercheurs américains publient des résultats de tests qui semblent indiquer et confirmer la toxicité évidente du sucre dans l’alimentation d’un sujet.

Selon les renseignements rapportés par le Daily Mail (UK), même des niveaux pourtant considérés comme « normaux » de sucre dans un régime alimentaire moyen pourraient s’avérer dangereux pour la santé, voire fatals.

C’est ce qui ressort de l’étude effectuée par une équipe de chercheurs de l’Université d’Utah, qui ont analysé les réactions de rongeurs face à diverses consommations de sucre.

Le groupe-test principal de souris s’est vu imposer un bon régime alimentaire, le genre que l’on considère « santé » pour l’être humain, mais avec l’équivalent d’un ajout de trois boissons gazeuses par jour.

Résultat? Même si les souris n’ont pas nécessairement affiché des problèmes de poids ou encore de la haute pression, les femelles sont mortes jusqu’à deux fois plus rapidement que l’espérance de vie normalement suggérée.

Les mâles, quant à eux, avaient moins de facilité à se reproduire et à conserver leur territoire, ce qui rend les experts convaincus de la toxicité de ces produits et du sucre sur les mammifères.

« Nos résultats permettent de prouver que le sucre, ajouté et consommé à des concentrations jugées actuellement sécuritaires, peut avoir des impacts dramatiques sur la santé », conclut l’équipe de chercheurs américains dans la version Web du journal Nature Communications.

Catégories
Uncategorized

Attention aux nouvelles barres de chocolat

Selon le site du Telegraph, deux carrés de la barre Wonka Millionaire’s Shortbread contiennent à eux seuls plus de 111 calories.

Il serait bon de rappeler l’importance de toujours vérifier l’étiquette d’éléments nutritifs apposée à tous les aliments vendus au marché. Certains ont des taux de sucre, de gras et de calories si élevés qu’ils équivalent à un repas complet de malbouffe.

On apprend que la teneur en calories de cette nouvelle chocolaterie est supérieure de deux fois à celle d’un hamburger Big Mac de McDonald’s.

Les organisations faisant campagne pour la santé partent en guerre contre Nestlé. Particulièrement le National Obesity Forum, qui accuse entre autres la compagnie de ne pas respecter le programme gouvernemental Responsability Deal, qui consiste à s’engager à couper l’apport calorifique dans les bonbons et sucreries.

Tam Fry, administratrice du National Obesity Forum, déclare : « Nous tentons de réduire l’obésité infantile, et Nestlé peut bien dire qu’elle vise les femmes de 25 ans, mais ils savent, je sais, et vous savez aussi que Wonka va enthousiasmer les enfants, et qu’eux aussi vont en manger. C’est impardonnable ».

Bien que Nestlé soit visée ici, d’autres grandes compagnies produisent des barres tout aussi caloriques, notamment Cadbury.