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Déjeuner pour éviter le diabète

Voilà les trouvailles faites par la Dre Elizabeth Thomas de l’Université du Colorado lors d’une petite étude publiée par HealthDayNews.

Bien que les résultats de seulement 9 femmes d’âge moyen de 29 ans aient été analysés, ils ont montré une incidence directe. Les tests consistaient simplement en l’analyse des taux de sucre et d’insuline après le dîner.

Le premier jour, chaque femme avait aussi consommé un déjeuner. À ce moment, les taux se seraient montrés normaux. Le lendemain cependant, n’ayant pas ingéré de déjeuner, elles présentaient toutes une résistance à l’insuline, ce qui nécessiterait normalement une injection pour assurer l’équilibre du sucre dans le sang.

La Dre Thomas explique que bien que l’étude soit petite, les résultats sont très intéressants, même si le long terme n’a pas été observé pour le moment. En effet, si ces symptômes devenaient chroniques, les risques de souffrir de diabète augmenteraient.

Pour bien comprendre, il faut savoir qu’après un repas, le taux de glucose s’élève dans notre sang. C’est alors que notre système se met à libérer plus d’insuline, afin de convertir ce sucre en énergie. Si un déjeuner n’est pas consommé, le système aura besoin d’encore plus d’insuline pour gérer le prochain repas.

Alors que ces résultats sont en effet intéressants, ils ne démontrent qu’un lien, et non pas une causalité. De plus amples recherches devront être conduites afin d’approfondir celle-ci.

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Le lien entre la tristesse et la crème glacée démystifié

Vous êtes du genre à bondir vers le pot de crème glacée, par ailleurs délicieux, lorsque vous ressentez de la tristesse ou vivez des émotions négatives? Vous n’êtes pas le seul. Selon le Daily Mail (UK), il ne s’agit cependant pas d’un phénomène aléatoire, loin de là.

Selon les explications proposées par des chercheurs allemands de l’Université de Wuzburg, les gens en détresse émotionnelle (tristesse, peine amoureuse, deuil, lendemain de veille difficile, etc.) verraient leur capacité gustative se modifier.

Ainsi, en ces moments difficiles, les individus seraient moins à même de reconnaître les gras, mais seraient en revanche beaucoup plus sensibles aux produits contenant du sucre.

Pour étayer et prouver cette théorie, les chercheurs ont fait visualiser différentes scènes et mises en contexte à un groupe cible, avant de lui proposer de la nourriture.

Les sujets ayant été mis en contexte d’émotions tristes ou relatives à la négativité ont tous été moins habiles à détecter la présence de gras dans les aliments proposés, mais réagissaient subitement plus efficacement aux aliments sucrés.

Ne soyez donc pas trop inquiet lors de votre prochaine rupture, il semble tout à fait normal de tomber tête première dans la crème glacée! Il s’agit de savoir quand s’arrêter, tout de même…

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Baisse de popularité des boissons sucrées chez les jeunes Américains

Un nouveau rapport des CDC américains révèle une tendance qui a de quoi rendre les spécialistes et nutritionnistes de ce monde optimistes envers l’avenir.

Selon les statistiques rapportées par The National Library of Medicine, la popularité des diverses boissons à forte teneur en sucre serait à la baisse chez les jeunes Américains.

Comme on sait que les jus sucrés, les boissons énergisantes et les boissons gazeuses sont parmi les principaux facteurs qui expliquent le fléau du surpoids en Amérique du Nord, on peut se réjouir de voir que les campagnes de sensibilisation commencent à porter des fruits.

C’est également vrai du côté des adultes, ce qui laisse croire que le changement observable chez les enfants, les adolescents et les jeunes adultes pourrait aussi s’expliquer par de meilleurs choix parentaux.

Les chercheurs qui publient ces chiffres affirment se réjouir de ce résultat, mais blâment encore les compagnies de boissons sucrées et gazeuses qui, selon eux, font du marketing qui vise directement les jeunes.

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L’OMS s’attaque à l’obésité

Réduire de 30 % l’apport moyen en sel dans l’alimentation, augmenter l’activité physique de 10 %, taxer les produits mauvais pour la santé… autant d’engagements pris cette semaine par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour stopper la progression de l’obésité dans le monde d’ici 2020.

Cette résolution met sur pied un plan d’action contre les maladies non transmissibles (maladies cardiovasculaires, cancer, maladies respiratoires chroniques et diabète) en s’attaquant à une série de facteurs de risque, dont l’obésité.

« Le coût de l’inaction dépasse de loin le coût des mesures », souligne le plan d’action de l’OMS, qui explique que le surpoids et l’obésité sont le cinquième facteur de risque de décès au niveau mondial, et qu’au moins 2,8 millions d’adultes en meurent chaque année.

« L’adoption du plan d’action est extrêmement importante pour lutter contre une des crises sanitaires les plus dévastatrices à l’heure actuelle », a affirmé à l’AFP John Stewart, un des responsables de l’ONG Corporate Accountability International.

À ses yeux, les grandes entreprises du secteur alimentaire réalisent des « profits en produisant des aliments trop sucrés, trop gras ou trop salés ».

Le plan d’action de l’OMS appelle d’ailleurs les entreprises à coopérer et propose aux États une série d’objectifs volontaires. Elle suggère donc un large éventail de mesures, invitant les pays à éliminer les acides gras industriels dans les aliments, à promouvoir l’étiquetage nutritionnel des aliments préemballés, à diminuer la teneur en sel et en sucres dans les aliments et boissons non alcoolisées ou encore à réduire la taille des portions.

Le plan d’action recommande aussi aux États d’augmenter « l’accessibilité financière et la consommation de fruits et légumes ». Surtout, l’organisation conseille l’utilisation « de taxes » afin de détourner les consommateurs d’aliments moins bons pour la santé, et d’oeuvrer pour que les publicités vantant ces produits soient absentes des lieux où il y a des enfants, comme les écoles.

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Les friandises ne sont pas systématiquement mauvaises pour la santé

Le Daily Mail (UK) rapporte des conclusions tirées d’une étude en nutrition qui révèlent que le fait de manger des friandises, du chocolat et autres sucreries n’est pas toujours nécessairement déconseillé.

En fait, selon la National Confectioners Association, les gens qui consomment de façon modérée ce genre de plaisirs sucrés n’ont pas réellement de risques de maladies cardiovasculaires plus accrus que les autres, et ne doivent pas non plus s’attendre à prendre du poids de façon systématique.

Ce constat survient à la suite de l’analyse de 5000 Américains, dont les habitudes de consommations de friandises variaient en quantité et en intensité.

On a vite compris que les sujets qui mangeaient quelques sucreries presque quotidiennement n’avaient pas plus de risque de développer des problèmes de santé que ceux qui n’en mangeaient qu’une fois par semaine, par exemple.

Bien entendu, les spécialistes rappellent qu’il ne s’agit pas d’un feu vert vers l’excès, bien que les bonbons et chocolats de ce monde ne mèneraient pas directement à un gain de poids important.

Il est assurément rafraîchissant de lire de tels propos, dans une époque où la paranoïa alimentaire nous prive de tous les plaisirs ou nous fait à tout le moins ressentir une culpabilité quasi permanente.

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L’érythritol peut-il enrayer les problèmes de santé liés au sucre?

Le sucre est devenu l’ennemi numéro 1 de la santé depuis quelque temps, alors que les études et les avis d’experts en la matière semblent abonder dans le même sens : le sucre est dangereux, voire mortel, pour l’être humain qui en consomme en trop grande quantité.

Une solution semble envisagée par plusieurs cependant, soit celle d’utiliser l’érythritol, un édulcorant sans calories. Bien que la découverte de l’érythritol date d’il y a bien longtemps, on commence à peine à le découvrir comme solution alternative potentielle.

Comme tout fonctionne par mode de nos jours, il aura fallu que l’édulcorant devienne « tendance » pour que les spécialistes commencent à en parler, mais mieux vaut tard que jamais.

Authority Nutrition, qui publie et rapporte des informations liées à l’érythritol, affirme que l’ingrédient possède toutes les qualités du sucre qui font sa popularité, comme le goût, mais sans présenter tous ses inconvénients.

Peu calorique et sans aucun danger pour la santé (du moins à ce qu’on sait pour le moment), l’érythritol pourrait bien se retrouver dans notre alimentation de façon quotidienne.

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Démasquez le sucre qui se cache dans vos aliments

Il appert que de lire les étiquettes et les tableaux de valeurs nutritives sur les aliments ne suffit plus.

C’est la première constatation qui nous frappe à la lecture de l’article publié par Lorishemek, qui parle des quantités de sucre « cachées » dans nos aliments.

On explique d’abord qu’une des principales clés d’une bonne santé est d’éviter et de prévenir les inflammations de bas niveau (low-level), souvent causées par le sucre.

Or, même en essayant d’éviter le sucre à tout prix, il semble qu’il soit bien difficile d’y parvenir dans le cadre de nos régimes alimentaires nord-américains.

De ce fait, les aliments qui renferment discrètement dans ses emballages l’ennemi numéro 1 de la bonne santé sont nombreux.

Heureusement, toujours selon l’article, il est possible de déjouer le système et de démasquer le sucre qui se cache dans nos aliments. D’abord, on doit bien comprendre que les ingrédients sont placés en ordre d’importance, donc de quantité, sur les étiquettes. Si le sucre est le premier mentionné, le produit doit être évité…

De surcroît, plusieurs autres appellations représentent le sucre, à commencer par les notions de « sirop (syrup) », « sucre brun », « dextrose », « miel », « jus de fruits », « lactose », « maltose », « sirop de malt », « mélasse », « jus de canne », et « sucrose ». En bref, ce sont presque tous les éléments qui se finissent en « ose » qui devraient être évités. Bonne chasse!

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Coca-Cola crée la surprise en abordant le sujet de l’obésité

C’est toute une décision que celle des dirigeants de Coca-Cola, qui ont abordé ouvertement le sujet de l’obésité, un fléau qui met en cause plusieurs produits, dont les boissons gazeuses.

C’est donc doublement stupéfiant que de voir l’une des deux plus grandes multinationales de boissons gazeuses se pencher sur l’épineuse question du surpoids, comme le rapporte La Presse.

Le tout se déroule sur notre propre territoire, au Québec, alors que Coca-Cola lance une publicité dans laquelle on peut entendre : « Si vous buvez et mangez plus de calories que vous en dépensez, vous allez prendre du poids ».

Une évidence qu’il serait facile de contrer en bougeant plus, en mangeant mieux et en consommant moins de boissons gorgées de sucre, comme le Coke.

La compagnie suggère aussi de se tourner vers ses mini-canettes ou encore ses boissons moins lourdes, comme la nouvelle Vitaminwater Zero.

L’initiative a été décriée par la directrice de la Coalition Poids, Suzanne Pellerin, qui s’exclame : « L’objectif de Coca-Cola, c’est de détourner le regard de ses produits, c’est de laisser croire que si les gens engraissent, c’est parce qu’ils ne font pas suffisamment d’activité physique. »

Un dossier à suivre, qui risque de beaucoup faire jaser les Québécois prochainement.

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Un nouvel allié contre le syndrome métabolique : le raisin

Le syndrome métabolique, une nouvelle appellation issue du monde médical, pourrait être partiellement contré par des aliments à forte teneur en polyphénols, selon Medical News Today.

Ce serait particulièrement vrai dans le cas du raisin, qui en contient abondamment et qui vient de voir certaines de ses propriétés thérapeutiques confirmées dans une nouvelle étude sur le sujet.

On parle entre autres de la capacité du raisin à protéger certains organes des dommages potentiellement causés par le syndrome métabolique, en plus de sa teneur en antioxydants, puissants alliés de la bonne santé.

Les raisins rouges, verts et noirs ont tous un impact favorable sur l’organisme et contribuent à améliorer les conditions relatives au syndrome métabolique, qui se veut un regroupement de plusieurs symptômes et troubles de la santé modernes.

Du lot, la haute pression, des taux élevés de mauvais cholestérol et de sucre dans le sang, le surpoids. Un ensemble de facteurs hautement risqués pour la vie des patients qui en souffrent, mais qui peuvent heureusement être contrés ou améliorés.

La consommation de fruits et de légumes peut constituer une partie de la solution, et cette étude confirme l’impact du raisin comme puissant allié contre le syndrome métabolique. On suggère donc de l’intégrer massivement dans votre régime alimentaire.

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6 façons pour vous aider à faire prendre du poids à votre enfant

C’est Parenting Squad qui rapporte le cas, entre autres, d’une maman dont la petite fille est atteinte de fibrose kystique. Pour demeurer en vie, cette enfant doit consommer des aliments riches en calories, en gras, en sucre et en sel.

Si votre enfant est dans la même situation, voici 6 conseils pour vous aider.

Boire des suppléments – De nombreux suppléments sont vendus sur le marché. Certains vont à plus de 600 calories. D’autre part, renseignez-vous auprès de votre médecin, car certains sont couverts par les assurances.

Le beurre – Eh oui, en plus d’avoir bon goût, ce que votre enfant appréciera, le beurre peut être ajouté à presque tout : légumes, pain, pâtes, pommes de terre. Profitez-en!

L’huile d’olive – Une solution plus santé que le beurre consiste à utiliser l’huile d’olive, qui contient de bons gras.

Les granolas – Plus santé que les céréales sucrées, et surtout contenant beaucoup de gras et de calories, vous pouvez les utiliser sur la crème glacée, le yogourt ou seules.

Le fromage – Une option tellement facile qu’il fallait simplement y penser. Essayez de l’intégrer à toutes les sauces. Cela apportera en plus une bonne dose de calcium.

McDonald’s – Dans le témoignage de la maman dans cet article, elle indique que McDonald’s lui a sans doute sauvé la vie, au sens figuré, et au sens propre pour sa fillette. Il s’agit du seul endroit où sa petite finit son repas et profite d’un maximum de calories, sucre, sel et gras dont elle a tant besoin.