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L’antagoniste du fructose : le glucose

On a beaucoup parlé, et encore tout récemment, du fructose et de ses effets néfastes sur la santé. On vous apprenait cette semaine que les études concluent non seulement que le fructose est mauvais pour la santé (notamment parce qu’il est employé dans plusieurs produits de consommation usinés sous la forme de sirop de maïs, par exemple), mais aussi parce qu’il donne une impression de faim… sans fin.

Le fructose ne donne donc pas l’impression de satiété, ce qui pousserait les gens à manger davantage, malgré l’ingestion d’une tonne de calories.

Cependant, ce n’est pas le cas du glucose, qui fait ici figure d’antagoniste à son camarade. En effet, selon santelog.com, le glucose réussit quant à lui à envoyer le bon message de satiété à l’organisme, ce qui ne donne pas envie à l’individu qui en consomme de manger de nouveau tout de suite après.

Les chercheurs de Yale en tête de l’étude croient même que le glucose offre plus qu’une impression d’être rassasié, mais aussi un sentiment de plénitude, de bien-être.

C’est ce qu’observent les chercheurs chez les sujets qui favorisent le glucose au fructose, et c’est aussi vérifiable chez les animaux.

Bien sûr, on rappelle que le sucre en général est mauvais pour l’organisme, et que l’on doit en limiter sa consommation.

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Le fructose est-il le véritable coupable du surpoids?

www.nlm.nih.gov rapporte une étude qui porte encore une fois un blâme au fructose, un sucre retrouvé dans les fruits, qui se voit réutilisé mécaniquement dans une panoplie de produits retrouvés sur le marché, sous la forme notamment du sirop de maïs.

Cette fois, on suggère que le fructose pourrait bien être la cause principale de la hausse des cas d’obésité et des statistiques désastreuses concernant le poids moyen des Nord-Américains.

C’est qu’en plus d’être un sucre et de ne pas posséder de véritables vertus pour la santé, le fructose ne couperait pas non plus la faim. Ainsi, malgré de larges quantités ingérées, les gens seraient tout de même enclins à manger rapidement de nouveau pour aller finalement chercher ce sentiment de satiété.

Ce sont des chercheurs de l’Université Yale qui arrivent à ces conclusions, après avoir analysé les réponses cérébrales de 20 sujets types, des hommes adultes en santé, à la suite de la consommation de produits renfermant de fortes doses de fructose.

Les hormones associées à la satiété ne sont pas produites en grande quantité lorsque les sujets consomment du fructose. Pour les spécialistes, cela signifie que le cerveau envoie le message que le corps a encore faim, malgré des tonnes de calories déjà consommées.

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Le sucre : un ennemi à surveiller durant les fêtes

Prendre du poids durant les fêtes est un classique, presque une véritable tradition de Noël. Cependant, il n’est pas obligé d’en être ainsi, rapporte e-sante.fr.

Il suffit de surveiller spécialement les quantités de sucre ingérées, puisque ce dernier est l’ennemi numéro un d’une taille de guêpe.

On apprend par ailleurs que selon certaines spécialistes, la mauvaise presse que connait le sucre ne serait vérifiable dans les faits que lorsque les quantités sont trop importantes. Le sucre ne serait donc pas nécessairement « toxique » comme on l’entend un peu partout, et l’est dramatiquement moins lorsque consommé avec modération.

Alors, s’il ne faut surtout pas se priver des bonheurs gastronomiques durant les fêtes, selon la diététicienne consultée par le site, il serait par contre bénéfique de faire des choix éclairés et d’éviter certains produits.

Les plus néfastes et sucrés sont notamment les boissons gazeuses, les biscuits et gâteaux industriels (vendus en boîtes), les bonbons et les céréales commerciales sucrées, la crème glacée et les pâtisseries.

On conseille d’éviter massivement ces produits ou d’en consommer avec une extrême modération, afin de profiter des autres beaux repas de Noël qui comprendront déjà leur part de glucose.

Bien sûr, on rappelle l’importance de faire de l’exercice, le parfait allié à la lutte au surpoids… et au sucre.

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Vous êtes au régime? Évitez les smoothies

Les smoothies, ces boissons fruitées très populaires qui bénéficient d’une image saine, s’avèrent un choix de prédilection pour les gens qui sont au régime et qui veulent remplacer certaines boissons sucrées par des jus.

Voilà qu’une étude rapportée par Top Santé dénonce la fausse publicité entourant ces produits, puisqu’elle révèle qu’une quantité appréciable de sucre se retrouve dans ces fameux smoothies.

Ils ne seraient donc pas le choix santé par excellence, encore moins pour perdre du poids. On note cependant qu’il est vrai que les smoothies renferment beaucoup de vrais fruits, ce qui est une bonne nouvelle.

Avec cela viendrait cependant tellement de sucre qu’il faudrait y penser deux fois avant d’intégrer ces produits à notre régime alimentaire, selon les chercheurs en tête de cette étude.

« Il est clair que les smoothies ne sont pas aussi “sains” qu’on le pense. Ils sont une bonne source de fruits et de minéraux, mais ils peuvent contenir beaucoup de sucre et de calories », commente Richard Lloyd, auteur en chef de l’étude.

Pire encore, il appert qu’un smoothie normalement retrouvé en épicerie renferme plus de calories et de sucre qu’une boisson gazeuse!

On suggère aux fans de smoothies de s’en faire à la maison, ce qui permet de contrôler ce qu’ils contiennent.

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Vous êtes au régime? Évitez les smoothies

Les smoothies, ces boissons fruitées très populaires qui bénéficient d’une image saine, s’avèrent un choix de prédilection pour les gens qui sont au régime et qui veulent remplacer certaines boissons sucrées par des jus.

Voilà qu’une étude rapportée par Top Santé dénonce la fausse publicité entourant ces produits, puisqu’elle révèle qu’une quantité appréciable de sucre se retrouve dans ces fameux smoothies.

Ils ne seraient donc pas le choix santé par excellence, encore moins pour perdre du poids. On note cependant qu’il est vrai que les smoothies renferment beaucoup de vrais fruits, ce qui est une bonne nouvelle.

Avec cela viendrait cependant tellement de sucre qu’il faudrait y penser deux fois avant d’intégrer ces produits à notre régime alimentaire, selon les chercheurs en tête de cette étude.

« Il est clair que les smoothies ne sont pas aussi “sains” qu’on le pense. Ils sont une bonne source de fruits et de minéraux, mais ils peuvent contenir beaucoup de sucre et de calories », commente Richard Lloyd, auteur en chef de l’étude.

Pire encore, il appert qu’un smoothie normalement retrouvé en épicerie renferme plus de calories et de sucre qu’une boisson gazeuse!

On suggère aux fans de smoothies de s’en faire à la maison, ce qui permet de contrôler ce qu’ils contiennent.

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Encore trop de gras, de sel et de sucre dans l’alimentation industrielle

(AFP) – Encore trop de sucre, de gras et de sel : les efforts de l’industrie agroalimentaire pour réduire ces apports excessifs s’avèrent encore insuffisants pour respecter les préconisations sanitaires, selon l’étude de l’Observatoire de la qualité de l’alimentation (Oqali) publiée mardi (4 décembre).

Au cours des cinq dernières années, les apports journaliers en sucre ont baissé de 0,4 % pour les hommes et les femmes, et la part des lipides (graisses) a été réduite de 0,4 % pour les hommes et de 0,3 % pour les femmes, selon une évaluation basée sur les produits proposés par l’industrie agroalimentaire aux consommateurs français.

L’étude a mesuré l’impact de la reformulation des recettes de certains produits de l’agroalimentaire et montre que les progrès restent très insuffisants par rapport aux objectifs du Plan national nutrition santé (PNNS 2).

Les gains sont plus importants sur les produits frais laitiers et les boissons fraîches sans alcool pour le sucre et sur les charcuteries pour le gras, selon les résultats de ces évaluations transmis par l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation (Anses) qui pilote les travaux de l’Oqali avec l’Inra, l’Institut national de recherches agronomiques.

Les apports en sel ont baissé de 1,1 % pour les hommes et de 0,9 % pour les femmes, soit une réalisation de 3 à 5 % des objectifs du PNNS 2 pour les hommes et de 14 % pour les femmes.

Le PNNS 2 adopté en juin 2012 préconise de contenir la dose quotidienne de sel sous les 8 grammes/jour.

Pour les sucres, la reformulation des produits permet de réaliser 1,6 % des objectifs du Plan (hommes et femmes). Pour les graisses, cette contribution au PNNS 2 atteint 28 % chez les hommes et 5 % pour les femmes.

Entre 2008 et 2012, trente entreprises de l’industrie agroalimentaire ont adopté des chartes d’engagements promettant de revoir ses recettes pour améliorer la situation nutritionnelle des populations les plus exposées aux excès et déficits alimentaires.

Huit nutriments étaient ciblés : sodium, sucres, lipides, vitamine D, acides gras saturés, acides gras trans, fibres et calcium.

L’Oqali précise cependant que beaucoup d’autres produits de grande consommation ont également été reformulés sans faire l’objet d’une charte d’engagement. Ils ne figurent donc pas dans l’étude qui, souligne l’Oqali, ne présente qu’une « fourchette basse de l’impact réel » des efforts engagés par l’industrie.

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Une boisson gazeuse par jour pourrait mener au cancer de la prostate

Si une pomme par jour éloigne le médecin pour toujours, il semble que ce soit tout le contraire en ce qui concerne les boissons gazeuses.

En effet, radio-canada.com rapporte une étude qui prétend qu’une boisson gazeuse par jour pourrait suffire à mener au cancer de la prostate.

L’étude suédoise, très sérieuse, a été publiée dans l’American Journal of Clinical Nutrition et relate les observations effectuées par les chercheurs de l’Université Lund, Isabel Drake en tête.

Cette dernière parle même d’un risque de cancer de la prostate accru de 40 % chez les hommes qui consomment fréquemment des boissons de ce genre. Ce sont les conclusions qu’elle tire à la suite de tests effectués sur 8000 hommes âgés de 45 à 73 ans, évalués sur une période de 15 ans.

Aussi au banc des accusés : les régimes alimentaires de riz et de pâtes ainsi que les déjeuners forts en sucres et sucres ajoutés.

Difficile, d’ailleurs, de ne pas tracer un lien entre cette étude et celle parue récemment qui taxait le sucre d’être « toxique » pour l’organisme. Il semble que ce soit l’ennemi à abattre et, dans ce cas-ci, les boissons gazeuses.

Pour corroborer le tout, des études en Asie démontrent que les Asiatiques qui résident aux États-Unis (plus grand consommateur de boissons gazeuses dans le monde) développent plus de cancers de la prostate que leurs compatriotes demeurés en Asie.

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Comment survivre au sucre

Le sucre connait de durs moments, alors qu’il est dépeint comme un terrible ennemi par les spécialistes. Les médias tapent abondamment sur le clou, rapportant un nombre incessant d’études et de recherches sur le sujet.

Les plus récentes parlent même de « toxicité » en ce qui a trait au sucre et ses dérivés, clamant que l’ingestion de sucre ne fait pas que grossir et qu’il est carrément nocif pour l’organisme.

La motivation d’abandonner le sucre ne serait pas suffisante pour y parvenir, selon Topsante.com, puisque cet élément serait profondément ancré dans nos us et coutumes.

Cela commence à la naissance, alors que l’allaitement et le liquide amniotique donneraient le goût du sucre dès l’arrivée dans ce monde. Les confiseries qui suivront ainsi que le sucre contenu dans presque tous les aliments viendront porter le coup fatal et nous rendre « dépendants ».

Alors, comment s’en sevrer? Les experts proposent une « désintoxication » en douceur, en commençant par la prévention. Lire les ingrédients sur ce que vous achetez et identifier les sources principales de sucre dans votre alimentation sont de bons points de départ. Remplacez les pires aliments par d’autres, meilleurs pour la santé.

Évitez d’acheter les versions chocolatées de tous les produits (Nutella, céréales au cacao, chocolatines) et privilégiez les aliments complets et « vrais », ainsi que les produits de grains entiers.

Remplacez vos rages de sucre par un fruit, un yogourt (régulier, ceux à la vanille contiennent déjà beaucoup de sucre), ou passez vos rages dans les noix et autres aliments du genre.

Considérez cela comme un véritable sevrage et soyez indulgents avec vous-même!

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La caféine ne jouerait pas de rôle dans le développement du diabète

Une vaste étude vient d’être publiée concernant le diabète de type 2 et les éléments qui peuvent contribuer à son développement.

Si l’étude permet de confirmer le lien entre les boissons sucrées et le diabète, il en est autrement pour ce qui est de la caféine, dont l’impact sur la santé demeure ambigu.

Et pourtant, l’étude est si exhaustive qu’elle aurait dû jeter de la lumière sur le débat. C’est pas moins de 100 000 hommes et femmes qui ont été suivis aux fins de ces recherches, et ce, sur une période de 22 ans.

On note une hausse de 23 % des risques de diabète de type 2 chez les gens qui consomment beaucoup de boissons sucrées (jus, cola, boisson énergie, etc.), mais les chiffres demeurent sensiblement les mêmes lorsqu’on ajoute la caféine dans l’analyse. En bref, le sucre joue un facteur, mais la caféine non.

C’est du moins ce que conclut le Dr Frank Hu, de l’Université Harvard, qui déclare : « Nous avons déterminé que la caféine ne fait aucune différence. Le café peut être bénéfique, et la caféine qu’il contient ne semble pas jouer un rôle positif ou négatif dans le développement potentiel du diabète ».

Une grande victoire pour les buveurs de café du monde entier!

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Le sucre vilipendé par les spécialistes

On le savait, le sucre n’est pas l’ingrédient le plus bénéfique pour la santé. Ses effets néfastes sont connus partout, à commencer par sa propension à faire prendre des kilos en trop.

Voilà que des chercheurs de la communauté scientifique mondiale attaquent les propriétés du sucre de façon beaucoup plus agressive, le taxant même d’être carrément « toxique ».

C’est ce qui ressort de plusieurs recherches et études, selon ce que rapportent plusieurs sources, dont radio-canada.ca.

Celles-ci tendent à démontrer que la consommation de sucre de façon « chronique », quotidienne, aurait des effets dévastateurs sur la santé. Le sucre peut non seulement vous rendre malade, mais aussi faire varier vos humeurs, augmenter la fatigue ainsi que la faim, et déclencher des maladies chroniques.

Le principal accusé dans cette affaire est le glucose-fructose, un ingrédient artificiel de plus en plus utilisé par les grandes compagnies et multinationales alimentaires de ce monde, entre autres pour ses faibles coûts de production.

On somme la population de réduire le plus possible la quantité de sucre absorbée dans une journée et de bien lire les ingrédients de ce que vous consommez.

On estime que la consommation quotidienne de sucre des Québécois se situe entre 26 et 41 cuillérées par jour!