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Cessez de grignoter!

Lorsqu’on grignote, ce n’est pas la faim qui parle, mais bien des facteurs comme la gourmandise, le stress et même un surplus de fatigue, rapporte Le Figaro.

Le principal problème du grignotage, c’est que l’on est souvent attiré par la facilité et le réconfort. Donc, on prend des biscuits, des sucreries, des croustilles, tout ce qui nous tombe sous la main plutôt que des fruits et légumes.

On déséquilibre aussi nos repas, ce qui crée un cercle vicieux entre ceux-ci. On mange moins aux repas, alors on grignote plus.

Les femmes seraient plus sujettes à cette mauvaise habitude, ainsi que les jeunes. Les femmes comblent réellement plus un besoin psychologique, alors que les hommes grignotent lorsqu’ils ont faim.

Évidemment, à long terme, vous prendrez du poids, c’est inévitable. Pour empêcher vos crises ou fringales entre les repas, prenez un petit-déjeuner consistant, notamment des céréales complètes.

Entre les repas, buvez beaucoup d’eau et préparez des céleris et carottes coupés. Tournez-vous vers cette collation si l’envie de grignoter vous prend.

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Vous devriez laisser vos enfants manger un peu de malbouffe

Selon Charlotte Markey, professeure en psychologie de la santé à l’Universtié Rutgers, il vaut mieux pour les parents de laisser les enfants manger occasionnellement des sucreries et de bonnes frites bien grasses.

« Je n’affirme certes pas que nous devrions gaver nos enfants de malbouffe », spécifie-t-elle à Today Parents. « Mais nous ne souhaitons pas les en priver au point où ils en voudront encore plus à cause de ce côté mystérieux et attrayant. »

Markey était aux premières loges des résultats d’une étude où les familles privaient leurs enfants de malbouffe et de sucreries, contrairement à d’autres familles qui permettaient quelques écarts.

Lorsque les enfants étaient laissés dans une pièce contenant plein de collations sucrées et salées, ceux étant privés de ces aliments « défendus » se gavaient pour « rattraper le temps perdu », contrairement aux autres enfants.

La spécialiste affirme que les parents auront tôt ou tard le retour du pendule s’ils sont très restrictifs. Elle suggère de négocier avec les enfants. Par exemple, donner quelques croustilles s’ils mangent leurs carottes.

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Prenez-vous trop de poids pendant votre grossesse?

Pour certaines, être enceinte signifie avoir le droit de manger n’importe quoi, à n’importe quelle heure. Mesdames, soyez raisonnables. Vous serez la seule à blâmer pour votre déprime de surpoids après l’accouchement si vous ne faites pas un effort.

Premièrement, la variation idéale de poids, pendant la grossesse, est de 9 à 12 kg, selon Plurielles. Cependant, nombreuses sont les femmes à prendre jusqu’à 18 kg. Au-delà de ce poids, c’est soit de l’excès, soit de la rétention d’eau, ou les deux.

Écoutez votre corps, mais ne le laissez pas vous dicter quoi manger. Les sucreries en quantité sont à éviter, d’autant plus que pendant ces 9 mois, vous risquez de développer du diabète de grossesse, ce que vous ne voulez pas.

D’autre part, si vous mangez à des heures tardives, optez pour des grignotines faibles en gras ou des morceaux de fromage, à tout le moins.

Votre corps n’a pas besoin de plus de nourriture, c’est faux. Il a besoin de plus d’aliments sains pour combler les besoins nutritionnels du bébé à naître.

Si certains plats vous rebutent pendant ces 40 semaines, contournez le problème intelligemment. Ne sautez pas sur les pâtisseries sous prétexte que vous êtes enceinte.

Notez que c’est durant le dernier trimestre que vous risquez le plus de prendre du poids, puisque vous serez moins mobile, plus fatiguée, peut-être même alitée. Restez vigilante!

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Des outils pour éviter que les jeunes soient tentés par la malbouffe

L’obésité chez l’enfant n’est pas unique à l’Europe. Cependant, la firme TEMPEST, regroupant plusieurs chercheurs, dont Liliya Nureeva de l’Université Aarhus, a choisi de se pencher sur les outils nécessaires pour enrayer la tentation à la base.

La raison est simple, on ne peut pas éliminer la malbouffe, les sucreries et autres collations malsaines. Il faut donc s’attaquer à la tentation de céder à ces gâteries déjà prêtes à consommer et faciles à se procurer.

La première solution consiste à responsabiliser l’enfant sur ses propres habitudes alimentaires et le faire participer activement à la solution pour améliorer sa santé.

Selon Nureeva, « certains enfants s’octroient, par exemple, le droit de manger des sucreries seulement le weekend, alors que d’autres s’obligent à manger des fruits chaque jour. Il est important qu’ils déterminent eux-mêmes une partie de leurs limites ».

Dans un livre de poche qui sera publié d’ici la fin de l’année, la firme TEMPEST décrira de nombreux trucs et astuces pour aider les enfants à se départir de leurs mauvaises habitudes alimentaires, mais également des trucs pour les parents, professeurs ou tout autre adulte en contact avec les enfants.

Le problème demeure complexe, mais TEMPEST a bon espoir de diminuer considérablement les catalyseurs de la tentation.

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Le sucre bientôt règlementé?

Trois chercheurs américains affirment que les aliments sucrés devraient être règlementés au même titre que l’alcool et le tabac.
 
Ils avancent que les autorités devraient interdire les publicités avec des sucreries, gâteaux, boissons sucrées ou autres, et interdire leur vente dans les dépanneurs, restaurants et autres commerces près des écoles.
 
Ils demandent à ce que d’ici 10 ou 15 ans, il y ait un âge minimum pour s’en procurer, car ces aliments sont aussi nocifs pour la santé.
 
« Les trois quarts des frais médicaux aux États-Unis sont consacrés au traitement des problèmes métaboliques associés à l’alimentation, essentiellement au sucre. De plus en plus d’études montrent que manger trop de sucre dérègle l’appétit et crée une dépendance. Aucune étude n’a jamais comparé les coûts de l’alcool, du tabac et du sucre, mais à mon avis, c’est comparable aux coûts qu’entraînent le tabac et l’alcool, tant pour les consommateurs que pour ceux qui respirent la fumée secondaire et périssent dans des accidents de la route causés par l’alcool », explique un des auteurs de l’étude, Robert Lusting, dans la revue Nature.
 
Voilà donc des affirmations qui ne risquent pas de gagner la faveur publique, mais le débat est maintenant lancé.
 
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Les sucreries mèneraient à la violence

Le British Journal of Psychiatry a dévoilé les résultats d’une étude controversée sur les effets de l’alimentation des enfants sur leur comportement une fois à l’âge adulte.

Des chercheurs de l’Université de Cardiff, au pays de Galles, ont analysé 17 415 Britanniques nés en 1970. Ils ont conclu que les enfants de 10 ans qui mangeaient des bonbons ou du chocolat tous les jours avaient un taux de condamnation pour violence plus élevé lorsqu’ils étaient âgés de 29 à 34 ans.

Parmi ces personnes violentes, 62 % avaient mangé des sucreries presque quotidiennement durant leur enfance. Chez les personnes non violentes, 42 % avait reçu leur dose quotidienne de sucre.

On explique ce comportement en mentionnant que donner des sucreries aux enfants tous les jours les empêche d’apprendre à patienter pour obtenir ce qu’ils veulent et cela les pousse à avoir un comportement impulsif.

Toutefois, cette étude est décrite comme totalement absurde par la Fédération britannique des industries alimentaires et boissons. Selon elle, la violence découle de facteurs beaucoup plus profonds, comme l’environnement et l’éducation.