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Découvrez la molécule TIC 10

Santé Log nous apprend l’existence d’une molécule qui s’avère une alliée de taille dans la lutte au cancer, selon des recherches publiées dans la plus récente édition du magazine Science Translational Medicine.

Appelée TIC 10, cette molécule « pousserait les cellules cancéreuses au suicide », une image dramatique qui explique bien ses méthodes de fonctionnement. Cette molécule TIC 10 favoriserait la création de la protéine baptisée Trail, qui lutte contre les cellules cancéreuses.

Le problème, c’est que la protéine Trailperd de son efficacité lorsque le cancer gagne du terrain. Il est donc primordial de lui redonner les outils afin qu’elle poursuive son combat tout au long de la terrible maladie.

C’est là qu’intervient la fameuseTIC 10, qui stimule les facultés et le rôle joué par la protéine. D’ailleurs, l’appellation « TIC » signifie « TRAIL-Inducing Compound ».

Le processus a été étudié sur des souris, et dans plusieurs cas, celui-ci s’est avéré efficace pour contrer les cellules cancéreuses, et ce, en moins de trois semaines.

D’autres recherches sur des rongeurs sont prévues avant de commencer les essais, cliniques, mais il s’agit d’une autre percée porteuse d’espoir.

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Mindy McCready – l’homme de sa vie s’est suicidé

La découverte du corps s’est faite à la résidence de David Wilson, le 13 janvier, à Heber Springs en Arkansas.

Selon le shérif du comté de Cleburne, le producteur de musique de 34 ans a succombé à la blessure par balle qu’il s’est infligée. Wilson a été transporté à l’hôpital, mais le New York Daily News rapporte que son décès a été rapporté un peu après son arrivée.

Mindy McCready, chanteuse de Guys Do It All the Time, pleure la perte de « l’homme de sa vie » et du père de son jeune fils Zayne, à peine âgé de 9 mois. La musicienne de 37 ans est également la mère de Zander, son garçon de 6 ans, dont le père est le chanteur country Billy McKnight.

Dans un communiqué publié hier (14 janvier), McCready a déclaré : « Nous pleurons aujourd’hui la perte de l’homme de ma vie et le père de mon enfant, David Wilson. Il était mon âme sœur et avait le cœur sur la main. Il était le guide de nos enfants, Zander et Zayne. Il était un don précieux de Dieu pour nous tous ».

Rappelons que Mindy McCready, qui a participé à l’émission Celebrity Rehab with Dr. Drew, a elle aussi fait plusieurs tentatives de suicide par le passé. Espérons que la chanteuse est maintenant bien entourée.

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Cesar Millan se confie à propos de sa tentative de suicide

Alors qu’il était au sommet de sa carrière, Cesar Millan a perdu deux êtres importants dans la même année. Son émission remportait alors un succès grandissant. Millan, devenu une sommité, aidait même des célébrités à surmonter les difficultés avec le dressage de leur chien.

En 2010, son pitbull et fidèle compagnon, Daddy, s’est éteint à l’âge respectable de 16 ans. Pour Millan, il s’agissait de son meilleur « associé » pour démontrer le calme et la soumission qu’un chien peut atteindre avec le bon entraînement.

Par la suite, encore ébranlé par cette perte, Millan a dû faire face à la demande de divorce de sa femme, au mois de juin 2010. Elle mettait ainsi un terme à une relation de 16 ans.

Peoplepets.com rapporte le commentaire de Cesar Millan sur son blogue, en août de cette année : « J’étais au plus bas, physiquement et émotionnellement ».

En fait, il était au fond du baril et a tenté de mettre fin à ses jours en consommant une dose massive de médication. Les détails de sa vie seront d’ailleurs dévoilés lors du documentaire Cesar Millan: The Real Story, sur la chaîne NatGeo Wild, le 25 novembre.

Lorsqu’il a survécu à la surdose, Cesar Millan a préféré le travail, l’exercice et l’affection aux antidépresseurs. Aujourd’hui, il a une nouvelle femme dans sa vie et souhaite lui offrir un conte de fées à la Cendrillon.

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Le risque de suicide chez les enfants serait surestimé

Des chercheurs new-yorkais ont constaté que les enfants étaient peut-être trop rapidement référés par les écoles pour un risque suicidaire, après avoir noté que moins de la moitié de ces enfants envoyés à l’urgence ont finalement reçu un traitement psychiatrique.

« Les écoles ont une politique de tolérance zéro envers les enfants qui disent vouloir se tuer. Ils les envoient immédiatement passer une évaluation psychiatrique », a noté l’auteur de l’étude, le Dr Mark Weems.

Ce dernier a analysé les données provenant de 581 enfants, incluant 160 qui avaient été référés à un hôpital pour des idées suicidaires, contre 421 qui l’avaient été pour des problèmes comportementaux.

De ceux-ci, 49,6 % des jeunes du premier groupe ont nécessité une intervention significative, contre 56,5 % des enfants du deuxième groupe « de contrôle ». Les garçons et les filles avaient un reçu un traitement dans une proportion égale.

Un expert en développement et comportement chez les enfants, le Dr Jeffrey Okamoto, a par contre exprimé des doutes sur le fait que ces enfants étaient identifiés comme étant suicidaires trop rapidement. Il a plutôt émis l’hypothèse que ces derniers « recevaient peut-être un traitement inadéquat ».

Ces données ont été présentées au congrès de l’American Academy of Pediatrics.

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Le suicide du cinéaste Tony Scott tarde à s’éclaircir

Selon starpulse.com, le rapport complet du coroner devrait être dévoilé dans 2 semaines. Les policiers tentent encore d’élucider l’affaire. Rappelons que Tony Scott s’est jeté du haut du pont Vincent Thomas en Californie cet été.

Autre que le suicide lui-même, le rapport de toxicologie mentionne qu’une forte concentration du médicament Lunesta, un calmant, combiné à du Mirtazapine, un antidépresseur, a été retracée dans le système du défunt.

Ainsi, les policiers se demandent si ce sont les effets des médicaments qui ont porté le cinéaste au suicide, et se questionnent encore sur le fait qu’en plus, il ait sauté en bas du pont. Selon le Los Angeles Times, la noyade est également considérée comme un facteur du décès.

Malheureusement, les enquêteurs n’ont tiré aucun indice supplémentaire de la part de la famille ou des collègues de Tony Scott.

Sa femme, Donna W. Scott, et les jumeaux nés de leur union, Max et Frank, 12 ans, ont reçu un héritage de 1,2 million de dollars.

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Le suicide plus mortel que les accidents de voiture

Selon nlm.nih.gov, une nouvelle étude fait passer le suicide devant les accidents de voiture comme cause de mortalité principale aux États-Unis.

Dans les dix dernières années, le nombre d’accidents automobiles aurait diminué, rapporte l’étude. Le suicide demeure un fléau grandissant dans bon nombre de régions du monde, et les statistiques ne seraient pas encore exactes, selon Ian Rockett, professeur d’épidémiologie à l’Université West Virgina.

« Le suicide est mal répertorié dans nos recherches, par le fait que tous ne sont pas rapportés. Je crois que le problème est encore plus grave que ce que les données officielles indiquent », affirme Rockett.

Il croit que jusqu’à 20 % des suicides ne sont pas rapportés. De plus, les morts par empoisonnement sont en hausse, et plusieurs de celles-ci pourraient en fait s’agir de suicides. Cette statistique comprend également les morts par surdose de médicaments d’ordonnance, toujours nébuleuses.

Le professeur poursuit : « La situation est devenue hors de contrôle, et j’aimerais voir autant d’efforts mis dans cette cause que dans celle des accidents de la route ».

Le rapport publié utilisait les données compilées par le U.S. National Center for Health Statistics.

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Le Ritalin peut conduire au suicide

Perte d’appétit, anxiété, dépression, stress, sommeil perturbé, problèmes cardiovasculaires, d’estomac et cutanés, étourdissements, développement de tics et ecchymoses ne sont que quelques différentes avenues qui peuvent attendre les enfants consommant du Ritalin, relate le Daily Mail.

Quoiqu’encore rares, les effets secondaires mortels comme la psychose et les pensées suicidaires sont de plus en plus courants, affirment les spécialistes.

Des chiffres dévoilés au début mai ont démontré que les prescriptions de Ritalin ont quadruplé durant la dernière décennie, passant de 158 000 en 1999 à 661 463 en 2010. Le médicament est de plus en plus prescrit pour lutter contre l’hyperactivité.

Alors que cette médication n’est pas recommandée aux enfants d’âge préscolaire, il a été prouvé que dès l’âge de trois ans, des petits en consomment déjà.

Les spécialistes appellent à la prudence et à la bienveillance des parents, car devant un système de santé lourd où il y a un manque de professionnels et où ces derniers sont débordés, des diagnostics « ignorants » sont facilement donnés pour « régler le problème rapidement ».

« Les enfants qui sont anxieux peuvent être agités et se conduire mal, mais ces symptômes ne doivent pas être confondus avec le TDAH », revendique l’Agence européenne des médicaments. Cette dernière déclare que tous les patients doivent être surveillés pour des symptômes psychiatriques au cours du traitement et devraient être pesés tous les six mois, en lien avec la perte d’appétit.

L’agence a ajouté qu’étant donné le manque d’informations sur les effets à long terme du Ritalin, les enfants devraient arrêter le traitement au moins une fois par an pour voir s’il est encore nécessaire.

Au bout d’un certain temps, le Ritalin ne fait plus son effet, et c’est ainsi que les doses sont sans cesse augmentées et peuvent causer des dommages irréversibles.

Des tests en laboratoire sur des rats ont permis de croire que les enfants sur le Ritalin risquent également d’avoir de graves problèmes de mémoire et de dépression à l’âge adulte.

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Les risques de crises cardiaques après l’annonce d’un cancer sont sérieux

Les résultats de l’étude, publiés dans le New England Journal of Medecine, révèlent qu’au cours de la semaine suivant le diagnostic, le risque de suicide est 12 fois plus élevé et celui de faire une crise cardiaque l’est 6 fois plus.

Par contre, ces risques augmentent lors de diagnostic de tumeurs malignes à un mauvais pronostic. Ce qui prouve que l’élévation du risque est directement liée à l’annonce du diagnostic lui-même, plus qu’avec la souffrance morale ou physique liée à la progression de la maladie.
 
Auparavant, on attribuait ces risques accrus au stress de vivre avec une maladie potentiellement mortelle et au traitement souvent exigeant physiquement. « Mais ces nouvelles données suggèrent que le diagnostic peut, en soi, être associé à une augmentation marquée du risque de décès et de maladies liées au stress », peut-on lire dans les résultats.
 
Cependant, l’augmentation des risques de suicide et de crise cardiaque diminue rapidement après la première semaine.
 
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Idées suicidaires pour les intimidateurs et leurs victimes

Les enfants impliqués dans des cas d’intimidation, à la fois comme une victime et un agresseur, ont trois fois plus de chances d’avoir des pensées suicidaires au moment où ils atteindront 11 ans, selon une nouvelle étude de l’Université de Warwick. 

Dans un article publié dans le dernier numéro du Journal of the American Academy of Child and Adolescent Psychiatry, les chercheurs ont constaté que ces enfants ont des risques très accrus de suicide ou d’automutilation.
 
Pour arriver à ces conclusions, l’équipe a examiné les données de 6043 enfants entre 4 et 10 ans et la prévalence des pensées suicidaires à 11-12 ans.
 
Les enfants qui intimident les autres, mais qui ne sont jamais devenus des victimes étaient également susceptibles d’avoir des pensées et des comportements suicidaires ou d’automutilation.
 
« Nos résultats suggèrent que le comportement lié au suicide est un grave problème pour les jeunes préadolescents : 4,8 % de cette population a rapporté des pensées suicidaires et 4,6 % a signalé un comportement suicidaire ou d’automutilation. Les praticiens de la santé devraient être conscients de cette relation entre l’intimidation et le suicide » a expliqué l’un des auteurs.
 
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Les antidépresseurs et le suicide chez les enfants : un débat sans fin?

Selon les chercheurs qui ont réexaminé quatre études cliniques antérieures portant sur l’administration de fluoxétine chez des enfants et des adolescents, les antidépresseurs ne pousseraient pas nécessairement les jeunes de 7 à 18 ans à commettre l’irréversible, même en cas d’efficacité du médicament sur les symptômes dépressifs. Leurs résultats sont parus dans Archives of General Psychiatry.

Ce nouveau constat n’empêche tout de même pas différents spécialistes de rester sur leur garde concernant la prescription et l’administration de fluoxétine chez les enfants. Il s’agit encore là d’une situation délicate et embêtante, car chaque personne réagit différemment au médicament.

Pour ces spécialistes, la nouvelle étude fait une erreur monumentale en concluant que l’antidépresseur peut avoir les mêmes effets chez un enfant de 7 ans que chez un adolescent de 18 ans.

Pour la présidente de la Société française de psychiatrie de l’enfant, de l’adolescent et des disciplines associées, Marie-Michèle Bourrat, « il est déconseillé de prescrire un antidépresseur en première intention à un mineur, notamment en raison des effets indésirables de ces molécules : risque cardiaque, céphalées, insomnies, désinhibitions, etc. ».

Pour plusieurs experts, la psychothérapie et des consultations urgentes et rigoureuses demeurent encore la solution à prioriser, qui doit absolument accompagner la prise d’antidépresseurs.

« C’est tout un ensemble de mesures de soins et d’accompagnement, pouvant inclure le traitement antidépresseur, qui va créer des conditions de sécurité et de confiance, pour essayer de prévenir au mieux les éventuels risques de passage à l’acte », explique le Pr Jean-Philippe Raynaud, chef du service de psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent au CHU de Toulouse.

Même si de nouvelles études tendent à affirmer le contraire, depuis le milieu des années 2000, bien des agences de médicaments à travers le monde continuent de mettre en garde les parents contre les dangers sur la santé mentale et physique de l’antidépresseur pour leurs enfants.