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Les enfants de parents qui se sont enlevé la vie ont plus de chance de se suicider

Voilà ce qui ressort de la plus grande étude américaine jamais réalisée à ce jour sur ce sujet. De plus, il semblerait que les enfants qui vivent le deuil de parents qui se sont suicidés ont également jusqu’à deux fois plus de risque d’être hospitalisés à la suite d’une tentative de suicide, d’une grave dépression, d’une psychose ou de troubles de la personnalité.

Selon les chercheurs de l’étude publiée dans le Journal of the American Academy of Child and Adolescent Psychiatry, les adultes vivent de façon très différente le suicide, si l’on compare aux réactions infantiles.

Un éventail d’émotions négatives et lourdes telles que la peine, la culpabilité, la colère et la honte, après avoir perdu un parent à cause d’un suicide, pousse les jeunes à s’isoler au lieu de demander de l’aide. Selon les spécialistes, cela peut entrainer les enfants à commettre l’impardonnable encore plus que l’aspect héréditaire ou génétique.

En 2002, l’Organisation mondiale de la santé a affirmé que ceux qui restent après un suicide souffrent plus intensément que s’ils devaient affronter toute autre situation de deuil.

De plus en plus de programmes d’aide pour les enfants sont développés, dans divers pays, pour les soutenir après une telle tragédie. Au Québec, selon un article de La Presse, l’intervenante de la Ressource régionale suicide de Laval du CSSS local, Josée Lake, se démarque par la qualité de son programme et vient en aide à plusieurs enfants à travers la province.

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Suicide : 40 % des enfants pensent à la mort

Le neuropsychiatre Boris Cyrulnik a rendu public son rapport intitulé Quand un enfant se donne la mort, publié aux Éditions Odile Jacob l’automne dernier.

Il semblerait malheureusement que le mal-être gagne des enfants de plus en plus jeunes. « 40 % des enfants pensent à la mort tant ils sont anxieux et malheureux », se désole l’auteur.

Difficile à estimer, mais de 30 à 100 enfants se tuent chaque année, avance Boris Cyrulnik. « Avant l’âge de 13 ans, 16 % des enfants pensent que la mort pourrait être une solution à leurs problèmes de famille, d’école ou de relations amicales », indique-t-il.

Pour éviter que ces chiffres ne cessent de grimper, le neuropsychiatre suggère de repenser l’école, de renforcer l’aide parentale et d’être plus attentif à la vulnérabilité émotionnelle de l’enfant, et ce, dès sa naissance. De mauvaises ondes pourraient d’ailleurs être envoyées par le parent, même in utero.

Des raisons qui peuvent sembler si dérisoires pour l’adulte, comme un accrochage avec un parent, une mauvaise note scolaire ou une interdiction de manger des sucreries, pourraient pousser l’enfant à commettre le pire.

Ceux-ci utiliseraient en majorité des outils à proximité, comme se pencher par la fenêtre ou traverser la rue en courant pour passer à l’acte.

Deuxième cause de décès chez les jeunes de 16 à 25 ans, le suicide serait gravement sous-estimé par ces derniers.

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Des pensées suicidaires dès l’enfance

Selon une étude parue dans le Journal of Adolescent Health, les pensées suicidaires seraient présentes dès l’enfance. Un enfant n’aurait donc pas encore atteint la puberté qu’il pourrait commencer à penser à s’enlever la vie ou entreprendre des comportements suicidaires.

En ce moment, on estime qu’environ un enfant sur neuf se sera suicidé avant de terminer ses études secondaires. Il semble aussi que près de 40 % des gens qui ont essayé de s’enlever la vie ont fait leur première tentative de suicide avant la fin de leur primaire.

Parallèlement, les chercheurs de la présente étude ont remarqué que les tentatives de suicide durant l’enfance et l’adolescence étaient liées à de plus forts taux de dépression au moment de l’acte.

Des interventions en santé mentale devraient donc être entamées dès l’école primaire, afin que les enfants soient pleinement conscients des premiers signes d’un comportement suicidaire, qu’ils se perçoivent mieux.

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La disparition du jeu libre chez l’enfant

Les enfants d’aujourd’hui ont beaucoup moins l’occasion de s’adonner au jeu libre. On a d’ailleurs remarqué une baisse radicale de ce type de jeu au cours des 50 dernières années. On accorde cette tendance aux parents, qui sont de plus en plus portés à diriger le jeu de leurs enfants.

Ces derniers s’adonnant beaucoup moins qu’autrefois au jeu libre, on peut y relier plusieurs problèmes de société. On lit sur ce une revue de plusieurs études dans une édition spéciale de l’American Journal of Play.

Le jeu libre représente une partie importante de l’enfance. Sa diminution entraînerait des conséquences sur notre développement social, mental et physique. Il permet à l’enfant de créer son propre univers, en particulier lorsqu’il s’agit d’un jeu extérieur.

On reconnaît entre autres une corrélation entre la baisse du jeu libre et l’augmentation des dépressions et des suicides. De plus, cette décroissance serait responsable de la montée du narcissisme chez les enfants comme les adolescents.

Le jeu libre aurait aussi des répercussions très positives quant aux capacités d’apprentissage de la lecture et des mathématiques. En se mêlant aux autres, les enfants développeraient leurs aptitudes à intégrer de nouvelles notions et à prendre leur place.

La diminution constante du jeu libre durant l’enfance a bien sûr des impacts sur la santé physique. Elle tiendrait un rôle important dans l’augmentation des cas d’obésité que nous connaissons depuis quelques années.

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Du lithium dans l’eau diminuerait le taux de suicide

Des chercheurs viennent de découvrir que le lithium ajouté dans l’eau potable diminuait le taux de suicide dans une population.
 
Le Bristish Journal of Psychiatry rapporte que les scientifiques ont analysé 6 460 mesures de lithium et ont comparé le taux de suicide de 99 districts en Autriche.
 
Dans les 10 zones où l’eau contenait le moins de lithium, le taux de suicide était de 16 pour 100 000 habitants. Cependant, dans les 10 zones avec une eau riche en lithium, le taux de suicide était de 11 pour 100 000 habitants.
 
On croit donc qu’ajouter une petite quantité de lithium dans l’eau permettrait de diminuer le taux de suicide général.
 
À forte dose, le lithium permet de traiter les troubles bipolaires et réduit même les pertes de mémoire à long terme. À faible dose, il améliore la connexion entre les neurones, ce qui diminue les états dépressifs.
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Nouvelle donnée troublante sur une cause du suicide

Cela peut paraître paradoxal, mais une étude démontre qu’habiter dans un pays où il fait bon vivre ne rend pas les gens nécessairement plus heureux. Du moins, cela n’empêche pas certains de commettre un suicide.

Telles sont les conclusions d’une étude menée par des chercheurs des universités de Warwick au Royaume-Uni et du Hamilton College de New York.

Malgré le fait que des pays tels le Canada, les États-Unis, l’Islande, l’Irlande et la Suisse obtiennent une note relativement élevée dans l’indice du bonheur, ces pays ont également un taux notablement élevé de suicides.

Pour expliquer ces faits, les chercheurs suggèrent que certains habitants de ces pays pourraient avoir de la difficulté avec leur amour-propre et se décourageraient plus facilement en voyant leurs pairs réussir leur vie.

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Le divorce affecte grandement la santé mentale des enfants

Il semble que les pensées suicidaires soient un phénomène plus souvent vécu par les enfants de parents divorcés. C’est ce que suggère une récente étude de l’Université de Toronto parue dans Psychiatry Research.

Que les parents soient toutefois rassurés, les chercheurs de cette étude ne suggèrent d’aucune façon que leur divorce destine leur enfant au suicide.

Pour établir la présente corrélation, on a questionné 6 647 adultes, dont 695 avaient vécu le divorce de leurs parents avant l’âge de 18 ans.

Il semble que l’idée du suicide soit fortement liée à des problèmes connexes et stressants, comme la perte d’emploi de la mère ou du père, des sévices et des problèmes de dépendance d’un parent.

De plus, chez les femmes n’ayant pas vécu ce type de problèmes durant leur enfance, les pensées suicidaires sont pratiquement inexistantes.

Chez les hommes, la pensée du suicide s’est avérée être deux fois plus fréquente chez ceux issus d’une famille ayant vécu un divorce, et ce, indépendamment de tout autre facteur.

Il semble donc que ce soit différemment vécu par les hommes et les femmes.

Ces résultats restent finalement à être confirmés par des recherches subséquentes.

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Musique

Un spectacle en l’honneur de Dédé Fortin ce samedi à Montréal

Le cabaret Lion d’Or, situé sur la rue Papineau à Montréal, sera le théâtre, ce samedi 13 novembre, d’un spectacle-hommage en l’honneur du regretté chanteur des Colocs, Dédé Fortin, qui s’est enlevé la vie il y a 10 ans déjà, le 8 mai 2000.

C’est le comédien Claude Legault qui sera l’animateur des deux spectacles successifs qui auront lieu à 19 h 30 et à 22 h.

Parmi les artistes qui viendront sur scène parler de Dédé Fortin en plus de chanter ses chansons, on retrouvera Pierre Flynn, Edgar Bori, Bon Débarras, Thomas Jensen, Gaëlle, Alexandre Belliard et Charles Dubé.

L’évènement musical intitulé Passe-moé la puck Dédé… pour la vie, en référence au titre du classique Passe-moé la puck issu du premier album des Colocs paru en 1993, sera suivi le lendemain par une partie de hockey amicale à l’Aréna St-Michel, pendant laquelle d’autres artistes interpréteront des chansons de l’auteur-compositeur entre les périodes.

Les billets pour assister à l’un ou l’autre des concerts du samedi soir coûtent 19,62 $ et pour la partie de hockey, ils se vendent 10 $ chacun. Les profits iront à la prévention du suicide.

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Le TDAH responsable de la dépression

Des chercheurs américains ont établi un lien entre le trouble déficitaire de l’attention avec hyperactivité (TDHA) et la dépression, nous apprend Canada.com.

D’après eux, les parents devraient faire preuve d’une plus grande vigilance pour les enfants atteints, car ceux-ci auraient plus souvent tendance à sombrer dans la dépression, voire à commettre un suicide.

Cette étude a été réalisée par les universités de Chicago et de Pittsburgh. On a suivi 123 enfants de 4 à 6 ans diagnostiqués avec un TDAH, et ce, pendant 14 ans, soit jusqu’à leurs 18 à 20 ans.

Ces enfants ont ensuite été comparés avec un groupe de 119 enfants dont le mode de vie était similaire. Ces derniers ont été observés une fois par jour pendant leurs 4 premières années de vie, puis de 6 à 9 ans et de 12 à 14 ans.

On a donc pu prouver que les enfants diagnostiqués entre 4 et 6 ans avaient 18 % plus de chances de vivre une dépression. Cela représente 10 fois plus de cas que chez les autres enfants.

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Potins

Timbaland n’a pas voulu s’enlever la vie

Tôt hier matin (25 août), plusieurs médias rapportaient que Timbaland avait fui sa résidence en voiture dans le but de s’enlever la vie après s’être fait voler une montre valant deux millions de dollars.
 
Le principal intéressé nie toute l’affaire. « J’ignore de quoi les gens parlent. Pourquoi aurais-je voulu me suicider? », a déclaré Timbaland à l’émission de radio de Ryan Seacrest.
 
« Quelque chose s’est effectivement passé. Ce n’est pas une montre qui a été volée, c’est autre chose. Je suis allé faire une balade en voiture pour faire le point », ajoute-t-il.
 
Selon People, un proche aurait contacté les autorités, car il était inquiet. Personne ne savait où Timbaland était parti et il disait que l’artiste avait pris des médicaments avant de prendre le volant.
 
Lorsque les policiers ont retracé Timbaland, celui-ci les a assurés que tout allait bien et est retourné en studio pour travailler avec Keri Hilson. « Je ne connais personne qui serait retourné en studio après avoir voulu se suicider », conclut Timbaland.