Selon le DailyMail, des études précédentes avaient mentionné qu’un composé libéré lorsque l’on mange du brocoli stimulait des enzymes de protection des tissus mammaires.
Maintenant, on souhaite donc exploiter le sulforaphane pour bénéficier de ses bienfaits.
Le sulphoraphane est produit par notre corps lorsque nous absorbons de la glucoraphanine, que l’on retrouve dans le brocoli.
Déjà, lorsque l’on consomme des légumes crucifères comme le brocoli, cela réduit les risques d’arthrite et de cancer, mais les raisons de ce phénomène demeurent encore floues.
Pour retirer le maximum de bénéfices, on doit consommer de trois à quatre portions de brocoli par semaine.
Naturellement, plus d’études sont nécessaires pour découvrir les mécanismes sous-jacents, mais ces résultats semblent très encourageants pour la lutte contre le cancer.