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Jessica Alba regrette de ne pas avoir fait d’études supérieures

Quand on dit que la célébrité n’efface pas tout, et qu’il est possible d’avoir des regrets et une certaine nostalgie d’éléments plus « réels », Jessica Alba devra maintenant être citée en exemple en la matière.

La belle actrice regrette en effet de ne pas être allée à l’université. Elle admet qu’elle ressent depuis toujours une certaine insécurité face à son manque d’études supérieures, rapporte BANG Media International.

« J’ai toujours été inquiète à propos du fait de ne pas aller à l’université, et je ne me suis jamais sentie assez intelligente. Durant mon adolescence et ma vingtaine, je ne me sentais pas sûre de moi et je ressentais le besoin de m’excuser », dévoile Jessica Alba.

La star de Sin City: A Dame To Kill For donne cependant du crédit à sa famille et au fait de prendre de l’âge pour sa confiance renouvelée au fil des ans.

« Je me sens mieux maintenant. Surtout après mes 30 ans. C’est fou ce qui arrive », conclut l’actrice de maintenant 33 ans.

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La surqualification pourrait mener à la dépression

Êtes-vous trop qualifié pour le poste que vous occupez actuellement?

Votre niveau d’études est-il beaucoup plus impressionnant que votre feuille de route? Attention, ce genre de constat pourrait vous mener tout droit vers une dépression…

C’est du moins la conclusion à laquelle arrivent des chercheurs belges, notamment après avoir analysé les dossiers de plus de 16 000 employés à travers l’Europe.

Présentées devant l’American Sociological Association, ces conclusions parlent d’un risque accru de troubles de l’humeur et de dépression chez les gens trop qualifiés pour leur emploi actuel, entre autres explicable par un manque de motivation et de stimulation.

« La raison pour laquelle les gens surqualifiés présentent un risque élevé de détresse psychologique pourrait être parce que, par définition, ils ne sont pas stimulés dans leur emploi et ne peuvent pas utiliser toutes les compétences qu’ils ont acquises au cours de leurs études », explique Piet Bracke, une professeure belge, à Live Science.

Ces propos, repris par Top Santé, sont accompagnés d’une mise en garde voulant que si le marché du travail ne connaît pas la même croissance que la popularité des hautes études, les sociétés modernes pourraient se retrouver avec de plus en plus de travailleurs dépressifs.