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Un rôle touchant et troublant pour Marina Orsini

Jouer dans Sur le rythme a été un plaisir pour Marina Orsini. « C’est certain que pour des personnages de second plan, on a peu de temps pour établir les choses. Il faut faire les bons choix, mais ce n’était pas difficile. C’était prenant par contre dans le sens où je trouvais que la mère était un peu dure. Étant moi-même mère ça te renvoie un regard sur toi-même aussi. Ça te fait revivre également des choses de ton enfance. On voit qu’il y a un rapport trouble entre la mère et la fille dans le film. C’était un rôle touchant de jouer cette mère qui n’est pas heureuse au fond. Le regard de sa fille, le jugement qu’elle porte aussi sur sa mère. C’est certain qu’à l’adolescence on confronte plus nos parents, c’est douloureux aussi », explique Marina à BUM Interactif.

C’est Caroline Héroux (scénariste et productrice) qui a approché la comédienne encore une fois pour jouer dans son film. « Je suis un peu sa maman de service. Elle a fait appel à moi pour À vos marques party 1 et 2, pour Noémie le secret aussi. Caroline avait 14 ans quand je l’ai connue, son père Claude Héroux produisait Lance et compte. En plus, cette fois elle a écrit le scénario et je trouve qu’elle a une belle plume. Elle m’a épatée et dans tout ce qu’elle fait elle est tellement passionnée. Elle se donne corps et âme. Son histoire était touchante et il y avait un beau message. »

Ce message qui indique la possibilité d’aller au bout de ses rêves, notamment, peut aussi faire réfléchir certains parents. « On veut tous le bien de nos enfants, mais c’est quoi? Décider pour eux, leur dire ce qui est bien pour eux? Non, je pense qu’il faut les accompagner de la meilleure façon qui soit. Ce qui est bien pour nous ne l’est pas forcément pour eux. Si ça ne leur convient pas, il faut le respecter », ajoute la comédienne.

En plus de Sur le rythme qui est présentement à l’affiche, Marina Orsini sera de retour dans l’émission 30 vies à Radio-Canada et sur les ondes radio de Rock Détente.

 

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La belle rencontre de Paul Doucet

Pour la première fois dans sa carrière, Paul Doucet avait accepté de jouer dans Sur le rythme, avant même de lire le scénario.

« Caroline (Héroux, scénariste et productrice) m’a téléphoné. Elle m’a fait un discours incroyable. Elle m’a parlé du film pendant trois quarts d’heure. J’ai accepté et ça commençait 2-3 jours plus tard. Elle était convaincante, elle doit être quelque chose lorsqu’elle doit vendre ses projets aux institutions (rires) », confiait Paul à BUM Interactif.

De plus, ce projet lui permettait de retravailler avec Marina Orsini, avec laquelle il avait joué sur 30 vies. 

Le rôle était intéressant également. « Il y avait quelque chose là. Oui, il aurait peut-être préféré que sa fille choisisse un autre parcours, mais en même temps, il livre un message d’aller au bout de ses rêves. Lui, on constate qu’il regrette quelque chose, qu’il y a une chose qu’il n’a pas réalisée. »

Sur le rythme aura également fait connaître à Paul Doucet un jeune réalisateur de talent, Charles-Olivier Michaud. « C’était la rencontre de deux univers. Charles-Olivier avait réalisé son film Snow & Ashes avant, qui va sortir bientôt. C’est un film plus sombre avec une atmosphère totalement différente. C’était intéressant comme rencontre, on a eu beaucoup de plaisir à travailler ensemble, à travailler les scènes, c’était très dynamique. En plus, il y avait de la place pour qu’on y apporte nos idées. J’aime beaucoup lorsque je peux y mettre mon grain de sel. »

Cet automne, Paul nous disait que son agenda est libre pour tout autre projet, car ses tournages sont terminés. Nous le verrons notamment dans Mauvais Karma, Mirador et dans le film La peur de l’eau au début de 2012, mais aucun tournage n’est prévu pour lui cet automne. Avis aux intéressés.

Sur le rythme est présentement à l’affiche.

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Mylène St-Sauveur s’identifiait à son personnage

En acceptant de jouer dans le film Sur le rythme, Mylène St-Sauveur aimait l’idée de donner aux jeunes un personnage auquel ils pouvaient s’identifier et les inspirer à réaliser leurs rêves. 

« Il y a beaucoup de positivisme dans le film. Les jeunes peuvent se reconnaître, c’est ce qui m’a inspiré le plus. Aussi, je me reconnaissais moi-même dans ce personnage. Delphine a des questionnements sur la vie, son métier, si elle sera capable d’en vivre, moi aussi. Après Sur le rythme est-ce que ça va continuer? J’ai les mêmes questionnements », confiait l’actrice à BUM Interactif.
 
Avant de tourner, Mylène a eu un entraînement en danse d’un mois; deux semaines avec des professeurs que Nico Archambault lui avait recommandés et deux semaines avec Nico afin de modeler les chorégraphies, de façon à ce qu’elle puisse aussi les exécuter pour le film.
 
« C’était un gros défi. Pour la portion actrice, j’avais de l’expérience, ça me stressait moins, même s’il y a des scènes que j’ai dû amener à un autre niveau. Mais la danse c’est quelque chose que je ne connaissais pas du tout, ça me faisait plus peur, mais ça c’est tellement bien passé que j’ai perdu mes craintes. J’ai eu la piqûre, je vais continuer à danser (rires). »
 
Cet automne, Mylène St-Sauveur sera notamment de retour dans Destinées, dès septembre, sur les ondes de TVA.

 

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Nico Archambault n’aurait jamais pensé faire du cinéma

Avec Sur le rythme, Nico Archambault en était à sa première expérience cinématographique. « J’ai été surpris qu’on m’appelle, je ne suis pas acteur. Mais c’était une belle opportunité pour apprendre, pour travailler avec la caméra aussi, c’était nouveau. Je suis très content. Me faire diriger m’a aussi inspiré quand je dois diriger les danseurs et que j’ai des demandes spécifiques », confiait Nico Archambault à BUM Interactif.  

Bien qu’il ait aimé son expérience, Nico nous disait qu’il n’était pas pressé de refaire un film. « J’ai eu la piqûre, oui et non. Dans le sens où j’ai vraiment aimé mon expérience et j’espère la répéter, mais je ne suis pas pressé, je ne veux pas juste faire des films parce que je peux le faire. Je ne veux pas non plus que les gens se tannent (rires). Je veux apprendre et avoir l’impression que je peux apporter quelque chose à un projet. »
 
Jouer comme acteur a été un grand défi pour Nico, mais c’est surtout d’apprendre à se détacher de ses différentes tâches qui a été le plus difficile. « Être chorégraphe et acteur, de compartimenter les affaires. Quand j’étais devant la caméra à performer, je devais couper le réflexe que j’ai de m’occuper des autres danseurs », ajoute-t-il.
 
Dès la mi-septembre Nico Archambault sera à la tête de la nouvelle émission Ils dansent présentée sur les ondes de Radio Canada. Il a d’ailleurs commencé les tournages. « On peu s’attendre à beaucoup de danse de qualité, à entrer plus intimement dans l’univers de la danse, à s’attacher à ces dix gars, beaux chacun à leur façon, passionnés, et à se laisser emporter par eux », conclu Nico.
 
Sur le rythme prend l’affiche aujourd’hui (10 août).
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France Castel sera la mère de Paul Doucet dans Sur le rythme

Le film Sur le rythme, qui mettra en vedette le danseur Nico Archambault dans le rôle principal, ajoute France Castel et Paul Doucet à son générique, selon ce que rapporte La Presse.
 
Archambault incarne un danseur qui aide une jeune femme, Delphine (Mylène Saint-Sauveur), à réaliser son rêve de devenir une danseuse étoile. Elle se heurte toutefois à l’opposition de ses parents, interprétés par Marina Orsini et Paul Doucet. France Castel sera la mère de Doucet, donc la grand-mère de Delphine, qui aidera sa petite-fille dans la poursuite de ses ambitions.
 
Le tournage est en cours depuis le 31 mai et prendra fin le 30 juin prochain. Il s’agit de la deuxième réalisation de Charles-Olivier Michaud (Snow & Ashes).
 
Doté d’un budget de deux millions de dollars, le film est coproduit par Caroline Héroux de Gaïa Films et de Christian Larouche de Christal Films.
 
Sur le rythme devrait prendre l’affiche le 17 avril 2011.