Des chercheurs de l’Université du Missouri ont établi des preuves irréfutables selon lesquelles l’absence d’un déjeuner est en lien direct avec le surplus alimentaire et les fringales. Évidemment, ces accès incontrôlés à la nourriture mènent inévitablement à un surplus de poids.
Le déjeuner riche en protéines stimule la région du cerveau reliée au sentiment de récompense, et celui-ci se poursuit tout au long de la journée, diminuant les fringales.
Les scientifiques ont bon espoir qu’en contrôlant cet aspect chimique du cerveau, il est possible d’éviter l’embonpoint, indique Science World Report.
« Notre étude a démontré que les gens voient leur envie de sucreries diminuer radicalement lorsqu’ils déjeunent », rapporte Heather Leidy. « De plus, lorsque le déjeuner est élevé en protéines, l’envie de matières grasses se résorbe également. »
L’étude a été menée lorsqu’on a constaté que dans les 50 dernières années, il y avait une corrélation entre l’augmentation de l’obésité et la diminution de la fréquence des repas. Le détail se retrouve dans la revue Nutrition Journal.