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Le sandwich responsable du surplus de sel que nous consommons?

Les résultats d’une récente étude publiée dans la revue Journal of the Academy of Nutrition and Dietetics révèlent que la moitié des Américains de plus de 20 ans mangent au moins un sandwich par jour.

On rapporte également que parmi eux, 20 % consomment leur apport maximal quotidien en sel avec un seul de ces sandwiches, mentionne Science World Report.

Les informations sur les habitudes alimentaires des participants ont été récoltées dans la base de données du ministère de la santé et des services sociaux américain. En regard de celles-ci, les spécialistes affirment que ce sont les ingrédients qui doivent être choisis méticuleusement.

« Les résultats de cette recherche mentionnant que les sandwiches apportent un surplus calorique inattendu soulignent l’importance de faire des choix alimentaires sains dans la sélection d’ingrédients », informe la nutritionniste Cecilia Wilkinson Enns.

« Plusieurs sandwiches comme le burger et les composantes telles que la poitrine de dinde, le fromage et les viandes transformées sont parmi les pires contributeurs de sel et de calories dans le régime des Américains adultes. »

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Le plomb peut rendre les bébés obèses

La prise de poids pourrait être importante dès les premiers mois de leur vie et jusqu’à l’âge adulte.

D’anciennes études ont démontré qu’une exposition au plomb peut provoquer des troubles neurologiques. Il peut se cacher dans l’eau potable, certains aliments, les anciennes peintures sur le marché ou encore dans de vieilles demeures, avant que l’utilisation de matériaux à base de plomb soit interdite. 

Voilà qu’une nouvelle recherche de l’Université du Michigan effectuée sur des souris enceintes et qui allaitaient démontre que l’exposition au plomb in utero peut provoquer un surplus de poids chez les souriceaux. 

Dès l’âge de 9 mois, les tests ont permis de voir que les souriceaux qui avaient été plus exposés au plomb avaient des apports alimentaires plus élevés que la moyenne. 

La dépense énergétique, la tolérance au glucose et la variété de l’alimentation sont des éléments qui ont été observés auprès des divers groupes de souriceaux qui avaient été exposés ou non à différents taux de plomb. 

Pour Christopher Faulk, scientifique responsable de l’étude : « Il n’existe pas de taux minimum garantissant l’innocuité », rapporte le site français Parents.

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Les enfants en surpoids n’ont pas conscience de leur obésité

Ce sont 81 % des garçons « joufflus » et 71 % des filles rondes qui ne sont pas au courant qu’ils font de l’embonpoint, révèle un sondage effectué auprès d’un grand échantillon (9,1 millions d’individus) de jeunes Américains âgés de 9 à 15 ans et suivis entre 2005 et 2012.

Selon des études antérieures, le manque de sensibilisation et le point de vue des parents y sont pour beaucoup. Ce sont 50 % des parents d’enfants qui ont un embonpoint qui font l’autruche et affirment que leur jeune n’a pas un surplus de poids.

Ce qui inquiète et exaspère en quelque sorte les spécialistes est que si ces enfants n’ont pas conscience qu’ils sont obèses, comment les aider, prévenir les maladies dangereuses pour leur vie et établir des stratégies de lutte contre l’obésité qui les concerneront ou les intéresseront?

« Les enfants ne font pas attention à ce qu’ils mangent et, dans leur insouciance, ne prennent pas conscience de leur corpulence », affirme le centre de contrôle et de prévention des maladies américain, qui s’est également aperçu que les jeunes provenant de familles plus riches sont plus en mesure de dire s’ils sont gras ou non que les adolescents des familles à faible revenu. Ces derniers seraient plus portés à faire des erreurs de jugement sur leur corpulence, indique Top Santé.

Bien qu’il y ait plus de filles qui se qualifient de rondes que de garçons, c’est 30 % des répondants qui n’ont pas une bonne perception de leurs kilos, en trop ou en moins. En effet, les chercheurs ont remarqué que plusieurs se disent obèses alors qu’ils ne le sont pas, et vice-versa.

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Encore un blâme salé pour les multinationales alimentaires

Top Santé rapporte un nouveau et énième rapport concernant les surdoses de sel contenues dans les différents produits alimentaires usinés retrouvés sur le marché.

Alors que la limite de sel prescrite quotidiennement pour un humain moyen est de cinq à huit grammes, plusieurs produits sur le marché facilitent le dépassement de cette indication, par beaucoup.

On note, du côté de l’Observatoire de la qualité de l’alimentation, que des améliorations ont été tentées et sont observables en ce qui a trait à certains produits, mais que ces changements sont généralement encore trop faibles pour assurer un impact significatif sur la santé des citoyens.

Les spécialistes rappellent l’urgence d’agir, alors que le sel est de plus en plus ciblé comme l’une des principales raisons qui expliquent plusieurs problèmes de santé modernes auxquels font face les populations occidentales.

On rappelle également l’importance de se faire à manger soi-même le plus souvent possible, en choisissant des ingrédients sains et frais, et de ne pas toujours compter sur les restaurants et les grandes compagnies alimentaires productrices de repas « déjà faits », ceux-ci renfermant des quantités de sel parfois ahurissantes.

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Des jeux vidéo excellents pour la santé des jeunes

Selon une nouvelle étude reprise par nlm.nih.gov, les jeunes qui jouent à des jeux vidéo considérés « actifs » (Kinect sur XBOX 360, Nintendo Wii, etc.) font augmenter leur rythme cardiaque, utilisent plus d’oxygène et dépensent plus d’énergie. Résultat : ils sont plus en forme.

Qui aurait cru que les jeux vidéo viendraient à la rescousse d’un problème qu’ils ont largement contribué à faire émerger : l’obésité chez les jeunes. Cette nouvelle vague de jeux, possible grâce aux technologies modernes de reconnaissance de mouvements, permet d’encourager l’activité physique chez les jeunes, affirment Stephen Smallwood et ses collègues de l’Université Chester, en Angleterre.

« Même s’il est peu probable que ces jeux puissent procurer, à eux seuls, la quantité recommandée d’exercice physique pour contrer l’obésité et assurer le bien-être physique, ils sont un facteur majeur à court terme », concluent les chercheurs.

L’étude a été réalisée sur 10 garçons et 8 filles âgés de 11 à 15 ans, qui jouaient sur des systèmes de reconnaissance de mouvements, comme la Kinect (Microsoft, XBOX 360).

Même s’ils ne peuvent faire le travail à eux seuls, ces jeux sont plus recommandables que les jeux traditionnels avec contrôle par manette, qui demandent d’être assis.

Par exemple, Dance Central et Kinect Sports: Boxing, ciblés durant l’étude, augmentaient le niveau d’énergie déployé par ces jeunes de 150 et 263 % respectivement, par rapport aux jeux traditionnels.

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Le vocabulaire des médecins peut blesser un enfant avec un surplus de poids

En fait, ces derniers trouveraient les termes « large » et « prise de poids excessive » plus appropriés afin d’établir un lien entre les enfants et les parents.

« Les termes qui sont plus neutres, moins critiques et moins stigmatisants devraient être employés. La plupart des familles voudront ce type de langage plus sensible. Et c’est que les cliniciens devraient vouloir, aussi, puisque c’est ce que les familles veulent », explique le chercheur au Département de Pédiatrie de l’Université de l’Alberta, Geoff Ball.

Certains parents, à l’usage de ces termes plus crus, se sentent blâmés pour le poids de leur enfant.

De plus, les parents estiment que c’est le rôle du médecin d’aborder le sujet, tandis que les médecins, de leur côté, trouvent la chose délicate et sont réticents puisqu’ils ne veulent pas offenser la famille et nuire à la relation qu’ils entretiennent avec leur patient.

Il est d’autant plus important que les experts entretiennent une relation de confiance avec leurs patients et leurs parents puisqu’il a récemment été prouvé que les connaissances des parents au sujet du surpoids de leur enfant comportaient d’importantes lacunes.

Rappelons que la majorité des parents ne sont pas conscients de ce qui cause l’embonpoint chez leurs enfants.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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Un surplus de neurones responsable de l’obésité

Le Nature Neuroscience nous apprend qu’un surplus de neurones dans le cerveau pourrait causer l’obésité.
 
Ces neurones se développent dans la région du cerveau nommée l’hypothalamus qui est liée au stockage de graisses. Cette région est également associée au sommeil, à la température corporelle, à la faim et la soif, entre autres.
 
Les chercheurs ont découvert que d’inhiber la prolifération de ces nouveaux neurones pourrait mener à un nouveau traitement de l’obésité.
 
Par contre, les médecins ne sont pas parvenus à expliquer les fonctions de ces nouveaux neurones qui se développent dans l’hypothalamus.
 
Leurs études menées sur des souris démontrent que celles avec un régime riche en graisses voyaient leur prise de poids être multipliée par quatre. Si on freinait les nouveaux neurones, la prise de poids était beaucoup moins importante.
 
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Obésité infantile : parents, perdez du poids!

C’est ce que révèlent des chercheurs de l’Université de Californie, San Diego School of Medicine, et de l’Université du Minnesota dans la revue Obesity.

À défaut de changer l’alimentation de son enfant, de l’inscrire à des cours d’activité physique et autres, si les parents ne perdent pas de poids et n’appliquent pas eux-mêmes ces changements dans leur vie, l’obésité ne diminuera pas chez l’enfant, qui a besoin d’être influencé et d’avoir un exemple.

En outre, l’élément clé d’une perte de poids réussie chez le jeune repose sur la perte de poids de ses parents.

Selon les chercheurs, « les parents sont les personnes les plus importantes dans l’environnement de l’enfant. Ces derniers jouent un rôle d’enseignants ».

C’est en évaluant trois types différents de comportement parental pendant cinq mois, auprès de 80 groupes parents-enfants obèses ou avec un surplus de poids et âgés de 8 à 12 ans, que les chercheurs ont conclu que seule une modification de l’indice de masse corporelle chez l’adulte pouvait produire des changements bénéfiques de poids chez l’enfant.

Conformément à des études publiées antérieurement, inciter le parent à maigrir sainement est le facteur prédictif d’une perte et d’une bonne gestion de poids chez l’enfant.

Selon les derniers chiffres, aux États-Unis, 31 % des enfants souffrent d’un surplus de poids important, et cette tendance semble vouloir se propager davantage au Canada.

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Perte de poids, maladie épidémique

Après les Américains, ce sont les Européens qui prennent le taureau par les cornes pour cesser la progression inquiétante du taux d’obésité, surtout chez les enfants. Selon Doctissimo.fr, le gouvernement et la Haute Autorité de santé en France (HAS) concertent leurs efforts pour sensibiliser et conscientiser les gens à une rééducation complète de leurs habitudes alimentaires.

L’obésité est désormais considérée comme une maladie épidémique, et ce, mondialement. En un peu plus d’une décennie en France, on compte une augmentation de plus de 70 % des cas d’obésités. La HAS a publié pour la première fois un guide pratique, accessible à la population, contenant non seulement des indications pour la perte de poids, mais aussi les coordonnées de spécialistes et médecins pouvant prendre en charge les cas de surpoids et d’obésité.

Le Dr Cédric Grouchka, membre du Collège de la HAS, rappelle l’importance du dépistage d’un surpoids ou d’une obésité future, surtout chez l’enfant. L’adage « mieux vaut prévenir que guérir » prend, selon lui, toute son importance lorsqu’il s’agit de perte de poids.

En effet, on connaît désormais les effets néfastes de régimes répétitifs et inappropriés sur la santé, tout autant que la prise de divers médicaments ou produits naturels réputés pour être miraculeux. Il s’agit donc ici d’une prise en charge complète par les spécialistes et les médecins, afin d’appliquer un régime alimentaire permanent et non temporaire.

Le Dr Grouchka insiste : « Il faut mettre l’accent sur l’éducation thérapeutique du patient diagnostiqué, de manière à lui transmettre un savoir suffisant pour qu’il comprenne sa maladie et ce qu’on lui demande d’atteindre comme objectif ».

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Un surplus de poids prolonge la vie des septuagénaires

Une étude menée en Australie affirme que les personnes septuagénaires présentant un surpoids ont moins de risque de mourir dans les dix années qui suivent que les personnes du même âge ayant un poids dit normal.

L’étude, publiée dans le journal de l’American Geriatrics Society, a suivi 4 677 hommes et 4 563 femmes âgés de 70 à 75 ans pendant dix ans ou jusqu’à leur décès s’il survenait durant l’étude.

Les personnes dont l’indice de masse corporelle indiquait qu’elles étaient en surpoids présentaient une baisse de 13 % des risques de mortalité dans les dix ans. Les chercheurs ont aussi tenu compte de l’état de santé et du mode de vie des participants.

Par contre, cette diminution n’était pas remarquée chez les personnes dont l’indice de masse corporelle indiquait une obésité.

Selon l’équipe de l’Université d’Australie-Occidentale, les normes de masse corporelle établies sont trop restrictives et devraient être corrigées. L’étude suggère que les personnes vivant jusqu’à 70 ans, en santé raisonnable, ont des bienfaits liés à leur poids que l’on ne retrouve pas chez les plus jeunes, ce qui devrait être pris en considération.