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Un enfant sur trois est gras en Angleterre

Certaines statistiques révèlent que presque 1/5 des enfants ayant un surplus de poids sont obèses, ce qui signifie qu’ils sont si gras qu’ils risquent de voir arriver la mort plus tôt. En à peine quatre ans, le nombre d’enfants dans cette catégorie a augmenté de presque 10 %.

Les médecins sont inquiets et tiennent à rappeler que ces enfants ont de fortes chances de rester gras toute leur vie, et ainsi développer du diabète, des problèmes cardiaques et d’autres maladies sérieuses.

Les spécialistes reprochent d’ailleurs au gouvernement de ne pas en faire suffisamment pour combattre les problèmes d’obésité chez les jeunes.

Ces chiffres proviennent d’une banque de données du National Child Measurement Program, où plus d’un million d’enfants ont calculé leur indice de masse corporelle. La différence de poids selon leur âge a été enregistrée, lors de la première année et de la dernière année de l’école primaire.

On apprend également que les enfants vivant en ville auraient plus de chances de développer de l’obésité que ceux vivant en campagne.

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Grossesse : combien de poids devrait prendre une femme obèse?

Malgré plusieurs discussions sur ce sujet, il n’y a toujours pas décision générale qui a été prise concernant le poids santé que devrait prendre une femme obèse ou avec un surplus de poids, lors de la grossesse.

En 2009, même si tous n’étaient pas en accord, l’Institut de médecine a changé ses critères à la baisse, mentionnant qu’une femme dans cette situation devrait prendre de 11 à 20 livres.

Une étude a été réalisée auprès de 691 femmes obèses. Sur ce nombre, 57,7 % avaient, avant la grossesse, un indice de masse corporelle (IMC) de 30 à 34,9 (considéré niveau I d’obésité), 27,1 % obtenaient 35 à 39,9 (niveau II obésité) et 15,2 % avaient un IMC de 40 ou plus.

Parmi ces femmes, environ la moitié prenait 25 à 35 livres, soit un poids dit habituel et commun. Quant aux autres, elles prenaient le poids considéré sain par l’Institut de médecine, soit 11 à 20 livres.

Peu importe le poids accumulé durant la grossesse, aucune différence n’a été remarquée entre les deux groupes concernant le poids du bébé à la naissance ou encore le nombre d’admissions à des unités de soins spécialisés.

Cependant, il semblerait que plus de césariennes sont pratiquées et davantage de haute pression est remarquée pour les femmes ayant pris le poids recommandé par l’Institut de médecine.

Malgré ces points et le fait que rien n’a été encore prouvé concernant les effets à long terme sur la santé, les scientifiques suggèrent tout de même aux femmes obèses de prendre de 11 à 20 livres pendant la grossesse.

 
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Des suppléments de calcium pour perdre du poids?

Le Nutrition Reviews mentionne que des suppléments de calcium pourraient avoir des effets sur la perte de poids, mais ceux-ci seraient tout de même modestes.
 
Une étude britannique arrive à cette conclusion après avoir analysé sept études sur un lien possible entre la perte de poids et les suppléments de calcium.
 
Toutefois, on se fait très prudent avec ces résultats, car une seconde analyse de cinq des sept études ne voit aucun impact du calcium sur le poids.
 
L’étude qui arrive à la conclusion que les personnes obèses et en surplus de poids pourraient prendre des suppléments de calcium pour les aider a regroupé 794 personnes.
 
Pendant six mois, elles devaient tous les jours prendre 1 000 mg de calcium ou un placebo.

On a ainsi noté une diminution moyenne du poids corporel de 1,5 kg (3,3 livres) par année et une diminution de la masse adipeuse de près de 2 kg (4,5 livres) par année.

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L’asthme chez les enfants lié au surplus de poids chez les mères

Selon une recherche de l’Institut national de la santé publique et de l’environnement des Pays-Bas, les enfants sont plus à risque de développer de l’asthme si un ou les deux parents ont un historique de la maladie et que la mère a un surplus de poids.

L’étude a porté sur 4 000 enfants qui ont été suivis de la naissance jusqu’à l’âge de huit ans. Les mères avaient environ 30 ans et 21 % d’entre elles présentaient un indice de masse corporelle supérieur à 25.

Les résultats démontrent que si la mère est en surpoids avant la grossesse et qu’un ou les deux parents sont asthmatiques, l’enfant a 65 % plus de risques de le devenir également. Par contre, si les parents ne souffrent pas de l’asthme, il n’y aurait aucun lien.

Malgré tous les progrès, la maladie est responsable de 5 000 décès par année aux États-Unis.

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La relation entre l’obésité et la douleur chronique

Les travaux menés par le Dr Richard B. Lipton, du Collège de médecine Albert Einstein de New York, lui permettent de conclure que les personnes âgées ayant une surcharge pondérale sont plus à risque d’être touchées par la douleur chronique.

840 sujets de plus de 70 ans ont participé à cette étude publiée dans le Journal of the American Geriatrics Society. 52 % d’entre eux avouaient souffrir de douleur chronique, particulièrement les femmes.

Ceux qui étaient obèses étaient deux fois plus touchés par la douleur chronique que les participants ayant un poids santé.

De plus, le Dr Lipton affirme que ce phénomène peut être attribué au fait que l’obésité fait travailler davantage les articulations du corps, ce qui peut exacerber la douleur chronique.

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Déjeuner pour être mince

Les jeunes qui déjeunent sur une base régulière auraient un meilleur régime alimentaire et seraient plus actifs physiquement, révèle une étude publiée dans Pediatrics.
 
« Il existe une relation significative entre le nombre de déjeuners rapportés par les enfants et le poids qu’ils ont accumulé au fil des ans. Notez que nous avons considéré d’autres facteurs alimentaires et (la fréquence) de l’activité physique (dans le cadre de notre recherche) », affirme Mark Pereira, coauteur de l’étude.

Cette recherche a nécessité la supervision de plus de 2000 adolescents pendant cinq ans. Les participants ont régulièrement rempli des sondages sur leurs habitudes alimentaires tout en fournissant des informations sur leur grandeur, leur poids, leur masse musculaire et leurs activités physiques.

Des recherches précédentes ont démontré que les adolescents sautant le petit déjeuner risquaient davantage de devenir obèses. Les gens qui ne déjeunent pas, spécialement lors de l’adolescence, auraient plus tendance à grignoter entre les repas, augmentant du même coup leur consommation de matières grasses.

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Le cerveau, responsable de l’obésité?

Une recherche effectuée sur des rats par des scientifiques de l’université Southern California pourrait aider à mieux comprendre le surplus de poids chez les humains.

Selon les chercheurs, les neurones du noyau arqué, un groupe de cellules de l’hypothalamus, présentaient des défauts, ce qui avait pour conséquence de dérégler la sensation d’appétit et d’augmenter les réserves de graisse chez les rongeurs.

Ce phénomène a été observé dès les premières semaines de vie des rats. Les prochaines études sur le sujet devront se concentrer sur les façons de contourner cette prédisposition cérébrale qui entraînerait l’obésité.

On pourra consulter les résultats complets de cette étude dans l’édition de février du Cell Metabolism.

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La minceur motive

Une recherche menée par l’Université Mount Allison, au Nouveau-Brunswick, démontre que le degré de motivation à suivre un entraînement physique est plus élevé chez les personnes minces que chez celles qui ont quelques kilos à perdre.

L’auteur principal de cette étude, le Dr Terry Belke, mentionne : « Bien qu’il puisse y avoir de fortes incitations – sociales et cognitives – à s’entraîner pour une personne au poids excessif, cela peut ne pas être suffisant pour lui permettre de surmonter le désir instinctif de s’asseoir et de se relaxer. »
 
Il semble que plus le poids baisse, plus il y a un élément gratifiant à poursuivre un entraînement physique dans le but de perdre plus de poids.
 
Le Dr Belke croit également que notre mode de vie sédentaire peut expliquer la hausse de l’obésité. « Nous sommes entourés, en tout temps, d’aliments riches en calories, et nous n’avons pas besoin de travailler dur pour nous les procurer. »