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Une autre façon de maigrir

La société japonaise Wacoal va lancer sur le marché un sous-vêtement amaigrissant destiné aux hommes qui font de l’embonpoint à la taille.

Le secret du succès réside dans l’ajustement aux cuisses et au bas des fesses, nécessitant un effort supplémentaire lors de la marche et favorisant le travail des abdominaux.

Le président de la firme nippone, Yoshikata Tsukamoto, est emballé par cette nouvelle façon de perdre du poids : « C’est un concept totalement nouveau, cela permet d’être en forme juste en portant des sous-vêtements qui transforment la marche en exercice. »

Le modèle destiné aux femmes connaît déjà un grand succès : 7,2 millions de ces sous-vêtements ont été vendus au Japon au cours des trois dernières années.

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L’obésité associée au cancer

Le Pr Andrew Renehan, de l’Université de Manchester au Royaume-Uni, a épluché 141 études afin d’établir un lien entre le surplus de poids et le cancer.

Parmi ses conclusions, on note qu’un excès de poids de 15 kilos chez les hommes augmente de 52 % le risque de cancer de l’oesophage et de 24 % le risque de cancer du côlon et du rein.

Le risque de cancer de l’utérus et de la vésicule biliaire passe à 59 % chez les femmes dont l’excès de poids est d’environ 13 kilos. Pour le cancer de l’oesophage, le risque est de 51 %.

Les cancers les moins liés à l’obésité sont les cancers du rectum et de la peau chez l’homme, les cancers du sein, du pancréas, de la thyroïde et du colon chez la femme.

Cette conclusion vient donc appuyer la recherche publiée en octobre dernier par le World Cancer Research Fund International.

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Au dodo les enfants !

Des scientifiques américains de l’École de médecine de l’Université Johns Hopkins affirment que les enfants qui manquent de sommeil ont davantage de risques de souffrir d’un surplus de poids que ceux qui ont un sommeil réparateur.

Selon le Dr Youfa Wang, dormir une heure supplémentaire réduit de 9 % le risque d’obésité infantile. « Notre analyse des données montre une association claire entre la durée du sommeil et le risque de surpoids et d’obésité chez les enfants. Le risque baisse si on dort davantage », a-t-il précisé.

Ce risque de surplus de poids passe à 92 % chez les bambins qui dorment peu.

En ce moment, les pédiatres recommandent les heures de sommeil suivantes : 

  • 11 heures par jour pour un enfant de moins de 5 ans
  • 10 heures pour un enfant de 5 à 10 ans
  • 9 heures pour un enfant de plus de 10 ans

 

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Les gènes coupables de l’obésité infantile?

Selon une récente étude britannique, 77 % du gain de poids chez un enfant serait attribuable à son hérédité et 23 % à l’environnement dans lequel il grandit.

« Ces résultats ne signifient pas qu’un enfant détenant plusieurs gènes susceptibles de le rendre obèse va nécessairement le devenir. Mais son code génétique le prédispose davantage », précise la directrice de l’étude, Jane Wardle, du Health Behavior Research Centre.

On conseille aux parents dont les enfants sont exposés à un grand risque d’élever leur progéniture dans un environnement santé.

Des études précédentes ont déterminé l’environnement comme la principale cause de l’obésité, un problème mondial qui augmente les chances de développer un diabète de type 2, un cancer et des problèmes cardiovasculaires.

L’Organisation mondiale de la santé évalue à 400 millions le nombre de gens obèses à l’échelle planétaire, dont 200 millions d’enfants âgés de moins de 5 ans.

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Le surplus de poids est nocif pour l’ossature

Une étude réalisée par le docteur Richard D. Lewis, de l’University of Georgia à Athens, démontre que l’ossature des jeunes adolescentes ayant un surplus de poids est plus fragile, ce qui pourrait augmenter considérablement le risque d’avoir une fracture plus tard.

Cent quinze femmes de 18 à 19 ans ont été observées et des radiographies en 3D de leur masse osseuse ont été effectuées.

Celles qui avaient un indice de masse corporelle supérieur à la moyenne voient leur ossature moins résistante de 8 à 9 % que les adolescentes minces.

Cette découverte va donc à l’encontre de la perception qui veut qu’une masse osseuse, qui doit soutenir un excédent de poids, est plus résistante.

Le docteur Lewis affirme que des recherches supplémentaires devront être effectuées afin d’analyser l’impact de l’obésité sur l’ossature.

Les résultats complets de cette étude sont publiés dans la revue médicale American Journal of Clinical Nutrition.

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Obésité rime avec cancer de la prostate

Selon une étude réalisée par une équipe de chercheurs de l’Université Duke, les hommes obèses s’exposent davantage au cancer de la prostate. En effet, leur volume sanguin est plus élevé que chez les hommes ayant un poids santé. Or, cela rend plus difficile l’évaluation du taux de PSA, une molécule habituellement détectée lors de tests de dépistage précoce. Le diagnostic s’en trouve retardé ainsi que le traitement des patients atteints de cette forme de cancer.

Les scientifiques ont démontré qu’un indice de masse corporelle de plus de 35 % masque de 11 à 21 % le taux de PSA dans le volume sanguin.

Une autre recherche effectuée à l’Université de Harvard dévoile que chez les hommes possédant un surplus de poids, les risques de récidive du cancer sont 1,8 fois plus élevés dans les huit années suivant le premier diagnostic. Dans cette étude, les processus hormonaux, en plus du PSA, pourraient expliquer ce phénomène.