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Faites bien dormir vos enfants

Il existerait bel et bien une relation entre les heures de sommeil chez l’enfant et sa propension à l’obésité. Cette fois, le problème a été abordé par des scientifiques sous un nouvel angle.

Des chercheurs de l’Université d’Otago, en Nouvelle-Zélande, expliquent donc dans BMJ que chaque heure de sommeil par nuit est liée, chez un enfant, à une réduction de 63 % de l’indice de masse corporelle (IMC).
 
Pour en arriver à ce constat, 244 enfants âgés de 3 à 7 ans ont été suivis. Pour tous les âges, le temps de sommeil moyen était de 11 heures par nuit.
 
D’autre part, même si une évidence statistique n’a pu être établie hors de tout doute, on a aussi remarqué que les heures de sommeil supplémentaires entre 3 et 5 ans représentaient une baisse de 51 % de l’IMC, une fois l’âge de 7 ans atteint.

On a donc pu remarquer, encore une fois, un lien évident entre les habitudes de sommeil et le surpoids des enfants. Il semble ainsi que les enfants qui manquent d’heures de repos ont plus tendance à souffrir d’obésité en bas âge.

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Risque d’anémie pour l’enfant à naître

On connaît déjà plusieurs de problèmes de santé auxquels est exposé un fœtus lorsque la maman souffre d’obésité. Des chercheurs de l’Université du Wisconsin parlent maintenant de risques d’anémie.

Selon les résultats qu’ils ont présentés au congrès des Pediatric Academic Societies et ce que nous pouvons lire dans Sciences, le fer risquerait grandement de ne pas être transporté dans les intestins lorsqu’une femme enceinte a un surpoids.
 
Cela aurait pour résultat que le fer ne se rende pas au placenta. Rappelons que la moitié du fer dont l’enfant aura besoin pour grandir est pris avant sa naissance. Ce risque d’anémie pourrait mener jusqu’à des retards de développement cérébral.

Cette étude a porté sur 281 mères et leur poupon. Toutes les femmes participant à cette recherche avaient un indice de masse corporelle supérieur à 30.

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Un surpoids cause également des dommages au cerveau

Un petit gâteau ne vous fera pas seulement prendre du poids. En effet, les chercheurs mentionnent qu’une mauvaise alimentation et un surplus de poids causent également des dommages au cerveau.
 
Cela peut causer des problèmes de mémoire et augmenter les risques de démence en vieillissant entre autres. Cela fait également vieillir prématurément la matière grise de 16 ans.
 
La matière grise est liée à la pensée et gère les muscles pour voir, entendre et parler. Elle est aussi liée à la mémoire et aux émotions. La matière blanche, elle, permet de relier les cellules entre elles.
 
L’embonpoint peut changer notre façon de penser, affecter notre jugement et nous donner envie d’aliments caloriques. Nous nous retrouvons donc comme un toxicomane qui a besoin de sa drogue.
 
Les régimes riches en matières grasses affectent les artères et la santé cardiaque. Ils ont les mêmes effets sur le cerveau, selon le Daily Mail.
 
Ce genre d’alimentation rétrécit le cerveau. Les scientifiques ont constaté que le cerveau des personnes obèses ou en surpoids était de 4 à 8 % plus petit que le cerveau des personnes avec un poids santé.
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Crise cardiaque à neuf ans

Il semble que les enfants peuvent souffrir d’une crise cardiaque à partir de l’âge de neuf ans. C’est ce que nous apprennent les résultats d’une étude suédoise menée par l’Hôpital universitaire Skane.

Après avoir suivi 123 garçons et 100 filles âgés de 9 à 10 ans, les chercheurs ont statué que les enfants peuvent être à risque dès cet âge, et ce, même s’ils ne souffrent pas d’obésité. Leurs résultats sont parus dans l’Acta Paediatrica Journal.
 
Il semble en fait que les enfants qui font très peu ou pas d’activité physique et qui passent plutôt leurs journées devant le téléviseur courent le risque d’une crise cardiaque dès cet âge.
 
C’est qu’en manquant d’exercice, la consommation d’oxygène requise par le corps n’est pas atteinte, ce qui a diverses conséquences sur les fonctions des organes, dont le rythme cardiaque.

Afin de tirer ces conclusions, les chercheurs ont mesuré l’indice de masse corporelle des participants, en plus d’avoir évalué leur rythme cardiaque par électrocardiogramme. L’activité physique des enfants a été relevée par accéléromètre. On leur a aussi fait subir des tests sanguins.

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Étude controversée sur des femmes enceintes obèses

Pas moins de 400 volontaires testent en ce moment une pilule qui pourrait s’avérer une solution quant à la prévention de l’obésité et de ses maladies sous-jacentes. Il s’agit d’une étude controversée portant sur des patientes de trois hôpitaux anglais (Liverpool, Édimbourgh et Coventry).

Les femmes de cette étude, toutes obèses, mais non diabétiques, prennent donc de la metformine depuis près de 12 semaines. Elles peuvent en prendre jusqu’à trois fois par jour. Mentionnons au passage que la moitié des participantes prennent un placebo.
 
Selon le DailyMail, ce médicament, qui serait sans danger et qui est déjà pris par des diabétiques, pourrait empêcher ces femmes de mettre au monde un bébé obèse. La metformine réduirait l’apport de nourriture transmis à l’enfant.
 
On se demande bien sûr pourquoi des médecins se tournent vers cette voie, alors que ce problème pourrait être éradiqué par de meilleures habitudes alimentaires et de l’exercice. Il semble toutefois que l’épidémie d’obésité est trop importante et qu’il faut agir.
 
En ce moment, près de la moitié des femmes enceintes ont un surpoids ou sont obèses et plus de 15 % d’entre elles souffrent d’obésité. On pense de plus en plus qu’un fort poids de naissance est directement lié à un futur surpoids.

On a déjà reconnu que les problèmes de poids peuvent être créés dès que le bébé est dans le ventre de sa mère. De plus, un surpoids peut entraîner des problèmes de santé durant la grossesse, comme la prééclampsie.

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Les repas en famille préviennent l’obésité

Selon Pediatrics, on aurait démontré que les repas en famille font en sorte que les enfants mangent plus de légumes et se nourrissent en général de manière plus santé.

En fait, les enfants qui mangent avec leurs parents au moins 3 fois par semaine sont 12 % moins à risque de développer un surpoids, selon une recherche ayant porté sur près de 183 000 jeunes âgés de 2 à 17 ans. Elle a été dirigée par l’Université de l’Illinois.
 
De plus, les enfants étaient 20 % moins portés à consommer de la malbouffe et 24 % plus enclins à manger des aliments sains, comme des légumes. Il semble finalement que les jeunes couraient 35 % moins de risque d’avoir des troubles de l’alimentation.

Certains soutiennent toutefois qu’il ne s’agit ici que d’une simple corrélation. Malgré tout, s’asseoir en famille semble constituer une bonne avenue pour régler les problèmes de santé que sont le surpoids et l’obésité dans la société actuelle. Rappelons qu’en 2008, aux États-Unis, 1 fille sur 7 et 1 garçon sur 6 étaient considérés comme obèses.

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Perte de poids efficace chez l’enfant

Une récente étude parue dans Pediatrics a fait la preuve que les parents doivent absolument participer lorsque leur enfant doit perdre du poids.

Des chercheurs ont suivi 165 enfants âgés de 6 à 10 ans ayant un surpoids. Les participants étaient divisés en trois groupes.
 
Une première partie suivait un programme amaigrissant basé sur l’atteinte de résultats, la résolution de problèmes et le renforcement positif. Celui-ci était expliqué aux parents par des diététistes.
 
Un second groupe suivait un programme d’activités physiques destiné aux enfants et expliqué par des enseignants en éducation physique. Les parents devaient alors démontrer leurs encouragements, et ce, très tôt.
 
Finalement, un dernier groupe suivait un programme combiné des deux premières façons de faire, dans lequel enfants et parents devaient participer.
 
Deux ans plus tard, les enfants qui démontraient une plus grande différence quant à leur indice de masse corporelle et leur circonférence de taille étaient ceux qui avaient suivi le dernier programme, soit une combinaison des deux premiers.

Il est donc primordial que les parents participent afin que leur enfant perde efficacement du poids.

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La perception du poids est familiale

Une récente étude américaine a démontré que dans les familles où les membres ont un surpoids ou sont obèses, ces derniers sous-estiment très souvent leur poids corporel.

Après avoir pris le poids des participants de l’étude, on a relevé que 68,5 % des mères étaient obèses ou en surpoids et que 38,9 % des enfants l’étaient.
 
Or, après que les participants aient répondu à un sondage, on a remarqué que 81,8 % des femmes obèses sous-estimaient leur poids corporel. La même chose a été observée chez 86 % des enfants obèses.

Ces données sont assez inquiétantes, car nous savons que l’obésité est en hausse dans les sociétés industrialisées et que ses conséquences peuvent être aussi graves que le diabète et les maladies du cœur.

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Lien entre l’asthme et l’obésité

D’après Medpage Today, une recherche américaine a établi un lien entre l’obésité à un jeune âge et l’asthme. Pour tirer cette conclusion, on a suivi plus de 800 enfants et jeunes adultes.

Il semble en fait que les enfants étant en surpoids et qui conservent ce surplus lorsqu’ils deviennent de jeunes adultes courent beaucoup plus de risques de souffrir de l’asthme que ceux qui conservent un poids normal en grandissant.
 
Précisément, ces jeunes étaient 2,4 fois plus à risques de devenir asthmatiques. Le lien était par ailleurs plus marqué chez les garçons. Ces derniers couraient donc 3,3 fois plus de risques, contre 1,9 chez les filles.

Finalement, les enfants en surpoids à l’âge de six à huit ans, mais qui étaient revenus à un poids normal avant la fin de leur secondaire, n’avaient pas de risques de devenir asthmatiques.

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L’exercice est bon pour les maths!

Une recherche de l’Université des sciences de la santé de la Géorgie a démontré que les enfants souffrant d’un surpoids auraient tout à gagner en faisant de l’exercice sur une base régulière. 

En effet, il semble que les enfants que l’on a suivis sont devenus meilleurs en mathématiques après être devenus plus actifs.

Parue dans Health Psychology, l’étude en question a porté sur 171 enfants âgés de 7 à 11 ans. Ils étaient tous sédentaires lorsque la recherche a débuté.

On a pu mesurer leur cognition en leur faisant passer un test qui évalue certaines aptitudes scolaires et mathématiques ainsi que la lecture : le Cognitive Assessment System and Woodcock-Johnson Tests of Achievement III.

Certains des participants ont par ailleurs passé des tests de résonnance magnétique afin d’évaluer l’augmentation ou la baisse de l’activité dans certaines zones de leur cerveau.

Les enfants qui avaient fait plus d’exercices ont connu une hausse de leur activité cérébrale dans leur cortex préfrontal. Rappelons que cette zone est reliée à la pensée complexe et à la prise de décision, entre autres.

Quant aux résultats au test d’intelligence, les jeunes qui étaient actifs 40 minutes par jour y ont connu une amélioration de 3,8 points en moyenne.

On voit donc que les enfants auraient tout à gagner si l’exercice quotidien reprenait plus de place à l’école, car en faire leur permet de maintenir une bonne forme physique et mentale.