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Risque de maladies cardiovasculaires pour les enfants obèses

Un communiqué de la Société de la Fondation des maladies du coeurnous fait part d’un constat des plus alarmants.

Les enfants souffrant d’obésité présentent un durcissement des vaisseaux sanguins semblable à celui observé chez les adultes ayant des maladies cardiovasculaires.

Lors du Congrès canadien de santé cardiovasculaire 2010, le Dr Kevin Harris du B.C. Children’s Hospital a présenté les données d’une récente étude sur le sujet.

Avec son équipe, il a comparé les échographies cardiaques de 63 enfants en surpoids à celles de 55 enfants de poids normal. L’âge moyen des participants était de 13 ans.

Or, si la pression artérielle systolique n’était pas de beaucoup plus élevée chez les jeunes obèses, la vitesse d’expulsion du sang des artères était anormale.

Ainsi, l’élasticité de leur aorte est réduite, ce qui peut provoquer un durcissement de celle-ci. Il s’agit là d’un signe avant-coureur de maladies cardiovasculaires.

Le Dr Harris prévient des dangers imminents de ce constat, car en plus des maladies du coeur, les dangers encourus par l’obésité chez les enfants sont l’hypertension artérielle et le diabète de type 2.

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Les risques de transmission du diabète de père en fille selon l’état de santé

Parue dans Nature, l’étude nous apprend que les parents atteints de diabète qui sont en surpoids et qui ont une alimentation riche en gras transmettraient plus facilement le diabète.

En fait, ces facteurs causeraient une intolérance au glucose et une résistance à l’insuline chez leurs enfants.

De plus, il semble que les pères ayant une alimentation déficiente mettraient au monde des filles ayant des cellules anormales qui produisent l’insuline.

Ainsi, des facteurs non génétiques seraient en cause dans l’apparition du diabète de type 2.

Pour arriver à ces conclusions, des rats en surpoids, en conséquence d’une alimentation à taux élevés de gras, ont été accouplés avec des femelles normales.

La progéniture femelle présentait des déficiences, en grandissant, en ce qui concerne la tolérance au glucose et la production d’insuline.

Les chercheurs ajoutent que l’augmentation de l’obésité dans toutes les tranches d’âge et chez les deux sexes est reliée à cette émergence hâtive du diabète de type 2.

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La pression sanguine des enfants obèses améliorée par une légère perte de poids

Des chercheurs de l’École de médecine de l’Université de l’Indiana viennent de démontrer que toute perte de poids fait baisser substantiellement la pression sanguine des enfants obèses.

Comme nous l’apprenons sur HealthDay News, cette équipe a recueilli des échantillons sanguins de 1 113 enfants pour arriver à cette conclusion.

Ils ont ensuite comparé l’indice de masse corporelle de ces enfants à des données de pression sanguine normale selon l’âge, le sexe et la taille.

Selon le chercheur en chef Wanzhu Tu, professeur de médecine, la variation de la pression est beaucoup plus marquée chez les enfants en surpoids que chez les autres enfants.

Pour les garçons en surpoids, l’indice de masse corporelle avait 4,6 fois plus d’impact sur leur pression sanguine que chez les garçons normaux. Les résultats étaient similaires chez les filles.

La haute pression observée chez les enfants peut se traduire à l’âge adulte par des maladies du coeur et du diabète, entre autres.

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L’obésité infantile est génétique

Une recherche menée par le Center for Applied Genomics (CAG), à l’hôpital pour enfants de Philadelphie, a été présentée dans l’American Journal of Human Genetics.

On peut y apprendre qu’une variation génétique augmentant le risque de surpoids chez les enfants a été remarquée après cette étude comparative.

Pour y arriver, les gènes de deux groupes ont été observés. Le premier était composé de génomes de centaines d’enfants obèses et le deuxième était un groupe témoin.

Les chercheurs ont pu dénombrer les manques ou répétitions appelés les copy number variations (CNV). Il a donc pu être clairement démontré que les personnes ayant les CNV découverts, qui sont rares dans la population en général, sont plus portées à devenir obèses.

De plus, certains CNV appartiennent uniquement aux Euro-Américains et aux Afro-Américains.

Bien que cette découverte n’offre pas dans l’immédiat un traitement à l’obésité, elle a pu établir un lien hors de doute entre les gènes et l’obésité chez les enfants.

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Les gras trans durant l’allaitement causent un excès de poids

Une étude présentée dans l’European Journal of Clinical Nutrition nous en dit un peu plus sur les dangers des gras trans.

Des chercheurs américains ont suivi 96 femmes et leur enfant. Ils ont découvert que les bébés qui ingéraient 4,5 grammes de gras trans par jour avaient 2 fois plus de chances d’avoir un haut pourcentage de graisse.

Dans le même ordre d’idée, les mères qui consommaient 4,5 grammes de gras trans par jour avaient 6 fois plus de chances d’avoir un surpoids.

Cela veut dire que la période durant laquelle une femme allaite est plus propice que toute autre à l’accumulation de poids.

De futures études pourront nous en dire plus sur le lien entre la santé des enfants et les habitudes alimentaires de leur mère.

Les enfants pourraient donc être suivis de la naissance à l’adolescence afin de voir l’incidence de la consommation de gras trans sur leur poids.

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Le manque de sommeil des bébés augmente les risques d’obésité

Bien que l’on ne s’explique pas les causes du phénomène, des chercheurs de l’Université de Washington viennent d’établir un lien entre le manque de sommeil chez les bébés et l’obésité.
 
On croit que c’est peut-être la fatigue due au manque de sommeil qui empêche les enfants de bouger plus. Quoi qu’il en soit, le manque de sommeil chez les moins de cinq ans se résulte souvent en une prise de poids entre 5 et 9 ans.
 
Après avoir suivi 1 930 enfants pendant cinq ans, les chercheurs ont constaté que les plus jeunes dormaient environ une dizaine d’heures par nuit, alors que les plus vieux dormaient neuf heures et demie. Par contre, on note chez les deux groupes que certains jeunes enfants ne dorment que cinq heures et demie par nuit, ce qui est beaucoup trop peu à cet âge.
 
« On a constaté que, parmi ceux qui dormaient peu au début de l’étude, les enfants ayant un poids normal présentaient cinq ans plus tard un surpoids et ceux qui avaient un surpoids devenaient obèses », mentionnent les auteurs des travaux.
 
D’autres facteurs que le manque de sommeil, comme le poids des parents, l’alimentation et le niveau d’activité physique, peuvent influencer le poids des enfants, rappelle le journal Archives of Pediatrics and Adolescent Medicine.
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Les enfants avec un trouble de coordination sont plus susceptibles d’être obèses

Les enfants qui présentent un trouble de développement de leur coordination ont plus de chances de souffrir d’embonpoint ou d’être obèses.
 
1 979 jeunes de 75 écoles en Ontario ont été suivis pendant deux ans. On a mesuré leur indice de masse corporelle (IMC) et fait passer des tests standards pour définir leur coordination et leur équilibre notamment.
 
111 d’entre eux (46 garçons et 65 filles) ont été identifiés comme ayant des troubles de coordination et leur IMC était supérieur aux autres.
 
Communément appelé le Syndrome de l’enfant maladroit, celui-ci est souvent identifié lorsque l’enfant a du mal à lacer ses chaussures, à attacher ses boutons ou sa fermeture éclair, à écrire lisiblement ou encore à prendre part à des activités physiques.
 
En raison de leurs difficultés, ces jeunes sont moins actifs physiquement donc plus susceptibles d’avoir des problèmes de poids, ce qui peut conduire au diabète de type 2 et à d’autres problèmes de santé.
 
Selon les chercheurs, il est donc primordial d’identifier ces jeunes le plus tôt possible afin d’intervenir et de prévenir les problèmes de santé.
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Moins d’enfants en surpoids en France

Le ministre français de la Santé et des Sports a dirigé un programme, entre 2005 et 2010, afin de mieux informer les consommateurs et les diriger vers de meilleurs choix pour leur santé. Ceci dans le but de faire une lutte acharnée aux maladies cardiovasculaires, au cancer, au diabète et à l’obésité, un fléau qui touche tous les pays développés.
 
Maintenant, le ministère annonce un recul des enfants en surpoids. En effet, ceux-ci sont passés de 18 % à 16 % entre 2000 et 2007, rapporte Top Santé.
 
De plus, les spécialistes sont heureux de constater que plus d’adultes consomment cinq fruits et légumes quotidiennement, une augmentation de 16 % pour être précis. La consommation de sucre a quant à elle marqué un recul de 10 %.
 
C’est un pas en avant vers une population en meilleure santé, même s’il reste encore un long chemin à parcourir afin d’enrayer notamment l’obésité, qui ne cesse de gagner du terrain à travers la planète.
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Marcher améliore la qualité de vie des femmes en surpoids

Marcher d’un bon pas serait un bon moyen d’améliorer la qualité de vie des femmes ayant un surplus de poids, selon une nouvelle étude de l’Université Laval à Québec.
 
Une cinquantaine de femmes se sont soumises à l’exercice. Elles étaient ménopausées ou préménopausées. Aucune ne prenait des hormones. Pendant quatre mois, elles ont dû marcher d’un bon pas pendant 45 minutes trois fois par semaine.
 
Bien entendu, elles ont toutes observé une légère perte de poids (en moyenne 4 %), mais leurs capacités cardiovasculaires ont été améliorées de 19 %. Toutefois, elles ont surtout noté qu’elles se sentaient mieux physiquement et mentalement. Elles ressentaient une plus grande vitalité, beaucoup moins de douleurs et étaient plus en mesure de gérer leurs émotions. Leur bien-être général était grandement amélioré.
 
Par contre, pour la présente étude, on ne note aucune diminution du stress ou une meilleure qualité de sommeil. Les habitudes alimentaires sont également demeurées les mêmes.
 
Rappelons que la ménopause amène souvent son lot d’inconvénients. Une activité physique modérée pratiquée régulièrement peut améliorer la qualité de vie des femmes.
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La lutte contre l’obésité débute dès les premiers mois de vie

Des chercheurs mentionnent que le poids des enfants devrait être plus surveillé, car la lutte contre l’obésité doit débuter dès le plus jeune âge.
 
Selon une étude publiée dans le Clinical Pediatrics, une équipe de chercheurs américains a voulu connaître à quel moment de son développement un enfant était plus susceptible de devenir obèse. Après avoir examiné 184 patients obèses ou en surpoids âgés de 2 à 20 ans, on a déterminé que l’âge critique était de 22 mois et que le quart des enfants étaient déjà en surpoids à l’âge de 5 mois seulement.
 
Malheureusement, selon les spécialistes, beaucoup de gens ne surveillent pas assez le poids de leur enfant en raison du mythe du « beau bébé joufflu en bonne santé » qui est encore très présent dans les mentalités.
 
Une étude américaine démontre que près de la moitié des enfants présentent des problèmes de poids. On suggère donc une surveillance accrue de la prise de poids des jeunes enfants, et ce, afin de prévenir l’obésité et non de tenter de régler le problème une fois qu’il est bien implanté.