Catégories
Uncategorized

La puberté est retardée chez les garçons en surpoids

Une nouvelle étude affirme que les garçons en surpoids voient leur puberté être retardée comparativement aux jeunes du même âge, mais de poids normal.
 
Selon les Archives of Pediatric and Adolescent Medicine, les garçons obèses ont deux fois plus de chances de ne présenter aucun signe de puberté à l’âge de 11 ans, alors que leurs congénères de poids normal commencent à voir apparaître quelques signes.
 
Un surplus de poids a donc des effets négatifs sur la croissance et le développement des jeunes préadolescents.
 
400 garçons ont participé à la recherche dont les conclusions démontrent que 14 % des obèses n’avaient pas vu des signes de maturité apparaître à la fin de l’étude, alors que ce taux était de 7 % pour les jeunes de poids normal du même âge.
 
Ce phénomène est tout le contraire chez les jeunes filles qui, si elles sont obèses, ont plus de chances de voir leur puberté se présenter plus tôt.
 
Le plus triste est que cela ajoute à la pression exercée chez les jeunes garçons obèses qui peuvent déjà être ridiculisés en raison de leur apparence et se voient ainsi stigmatisés par leur puberté tardive.
Catégories
Uncategorized

Le surpoids dû aux événements de la vie

Une étude dirigée par Judith Martin, une affiliée de l’INSERM en France, révèle qu’avoir un excès de poids peut être le résultat d’événements survenus dans notre vie.
 
L’analyse des données recueillies par la cohorte Santé, Inégalités et Rupture sociales (SIRS) mentionne que plusieurs facteurs peuvent être déterminants dans la prise de poids chez une personne.
 
Par exemple, autant pour les hommes que pour les femmes, avoir des enfants est l’un de ces facteurs qui augmentent les risques de prise de poids.
 
De plus, chez une femme, l’un des principaux facteurs de présenter un surpoids est d’avoir vécu une séparation ou un divorce. Toujours du côté de la gent féminine, on note d’autres facteurs de risque, notamment la nationalité africaine ou maghrébine des parents et avoir vécu une enfance malheureuse suivie d’une adolescence heureuse.
 
Du côté des hommes, outre le fait d’avoir des enfants, on note que vivre ou avoir vécu avec une partenaire atteinte d’une maladie grave joue un rôle dans la prise de poids, en plus du fait d’être un ancien fumeur. Par contre, le décès d’une conjointe ou avoir été gravement malade avant d’avoir 18 ans n’a aucune incidence sur le poids des hommes.
 
D’après l’analyse des données, les femmes ont tendance à présenter plus d’obésité que les hommes à raison de 9,7 % contre 7,7 % chez la gent masculine.
Catégories
Uncategorized

Moins de télévision pour perdre du poids

L’Américain moyen regarde environ 5 h de télévision par jour. Il s’agit de la troisième activité la plus pratiquée derrière dormir et travailler.

Les adultes en surpoids pourraient toutefois brûler plus de calories en regardant moins la télévision, selon le Journal of Archives of Internal Medicine.

L’Université du Vermont à Burlington, aux États-Unis, a recruté 36 personnes en surpoids (indice de masse corporelle (IMC) entre 25 et 29,9) et obèses (IMC de plus de 30) pour cette étude. Ces personnes écoutaient de trois à cinq heures de télévision par jour.

Après trois semaines, on a demandé à 20 personnes au hasard de diminuer de moitié le temps passé devant la télévision. Ces personnes sont devenues un peu plus actives et ont ainsi pu brûler 125 calories de plus par jour, contrairement aux 16 autres personnes qui ont continué leur habitude normalement.

Il serait donc grandement préférable que les adultes passent moins de temps devant la télévision. En plus d’être bon pour leur santé, ce comportement donnerait l’exemple à leurs enfants qui feraient sans doute comme eux.

Catégories
Uncategorized

Il est possible d’être gros et en santé

Lors du premier café scientifique de l’Institut de recherche clinique de Montréal, des spécialistes en endocrinologie, en nutrition et en kinésiologie ont affirmé qu’il est possible pour les personnes obèses ou en surpoids d’être en parfaite santé. En fait, jusqu’à 30 % de ces personnes le sont.

Certes, un surplus de poids est un facteur aggravant pour la santé, mais c’est surtout l’endroit où se situe le gras qui est problématique. Le gras viscéral par exemple, celui qui s’accumule sur l’abdomen, est responsable du diabète et des maladies cardiovasculaires.

Selon les experts, le poids santé n’est pas atteignable pour tout le monde. Il est la zone corporelle où il y a le moins de risques, mais avoir des livres en trop est également compatible avec une bonne santé.

Des recherches récentes démontrent que les personnes en surpoids qui perdent seulement de 5 à 10 % de leur poids éliminent presque totalement les risques de problèmes de santé. Dans ces cas, les taux glycémique, lipidique, le bon et le mauvais cholestérol et le tour de taille sont améliorés. Selon les scientifiques, il est irréaliste de demander à une personne de perdre de 60 à 70 livres pour avoir son poids santé.

Bien entendu, l’activité physique améliore les capacités cardiaques, ce qui est bénéfique à tout le monde. De plus, cela diminue les douleurs musculosquelettiques.

Catégories
Uncategorized

Les enfants avec un excès de poids ne sont pas moins actifs

À partir des données de Statistique Canada, l’Institut canadien de l’information sur la santé a comparé les habitudes de vie des jeunes de 6 à 17 ans.

Les résultats sont plutôt surprenants, puisqu’ils démontrent que les enfants ayant un surplus de poids ne seraient pas moins actifs que les jeunes ayant un poids normal.

La différence serait plutôt que les garçons en surpoids ont tendance à passer plus de deux heures par jour devant la télévision ou l’ordinateur et les filles consomment moins de cinq portions de fruits et légumes quotidiennement.

Les jeunes ayant un surplus de poids et ceux affichant un poids normal ont déclaré le même genre d’activité à raison d’une heure par jour.

Selon les experts, cela démontre toute la complexité du phénomène de l’obésité, puisqu’il n’est pas seulement le résultat d’un mode de vie sédentaire.