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Le revers de la médaille du surpoids

Le surpoids, voire l’obésité, est-il une condition qui permettrait d’augmenter les chances de survie dans certaines situations données?

C’est la question que pose et sur laquelle se penche une nouvelle recherche du Baker IDI Heart and Diabetes Institute, des travaux rapportés par Top Santé.

Le professeur John Dixon dirige la recherche et croit que le surpoids permet en effet de diminuer les risques de décès dans certains cas, une affirmation qui peut sembler plus qu’étonnante.

« Ce phénomène est réel et certifié chez les personnes âgées qui sont protégées par leur surpoids, en particulier celles qui souffrent de maladies graves. Les personnes avec un IMC entre 23 et 33 vivraient plus longtemps que les personnes ayant un IMC dans l’extrémité inférieure du poids normal (entre 18,5 et 23) », affirme le professeur Dixon, citant quelques autres études.

Un autre professeur de l’Université de Melbourne, Joseph Proietto, abonde dans le même sens. Un individu à l’IMC bas a plus de risques de mourir d’une crise cardiaque à cause d’un taux élevé de cholestérol qu’un obèse. Comme son IMC ne révèle pas son taux de cholestérol, il sera probablement moins bien diagnostiqué que l’obèse et donc sûrement pas traité. »

Le phénomène porte même un nom, soit celui du « paradoxe de l’obésité ». Un paradoxe qui pourrait donner de l’espoir à ceux qui souffrent de surpoids, même si cette condition mène souvent en premier lieu à de sérieux problèmes de santé potentiels.

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Un an pour perdre le surplus de poids de votre grossesse

Des chercheurs de l’hôpital Mont Sinaï de Toronto, au Canada, ont observé la courbe de perte de poids de 300 femmes, suivant leur accouchement. Ils ont réalisé que la perte de poids débute habituellement 3 mois après la grossesse et peut s’échelonner, normalement, jusqu’à 12 mois.

Ce fut le cas, rapporte bbc.news, pour 75 % des femmes observées. Le quart des femmes qui n’ont pas réussi à perdre l’excès de poids à l’intérieur d’un an se sont avérées plus à risque de développer des problèmes de santé. Certaines d’entre elles avaient même repris des livres.

Selon l’équipe menée par Dr Ravi Retnakaran, ce 25 % de femmes présentait une pression plus élevée, des risques de développer du diabète de type 2, ainsi que des problèmes cardiovasculaires. De plus, elles augmentaient les chances d’être en surpoids 15 ans plus tard.

Retnakaran affirme qu’il est normal pour une femme de prendre un surplus de 20 % de son poids d’origine pendant la grossesse. Pour perdre ces livres en trop, il est essentiel de faire des activités physiques dès que possible.

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Les enfants de parents autoritaires sont plus susceptibles d’être obèses

La recherche a été présentée lors de la conférence de l’American Heart Association’s Scientific Sessions 2014. L’objectif était de valider si des facteurs familiaux peuvent accentuer l’obésité, afin que les différents intervenants puissent s’adapter à cette réalité.

« Les parents devraient à tout le moins être conscients de leur style en tant qu’éducateurs », déclare Dre Lisa Kakinami de l’Université McGill à Montréal, Canada.

Comme l’indique Medical News Today, l’autorité sans réceptivité émotionnelle est très différente de celle où l’on impose des limites, tout en accordant notre affection à l’enfant. Dans ce dernier cas, « ce sont les enfants les moins susceptibles d’être obèses ».

Pour l’étude, un groupe de 37 577 enfants canadiens âgés de 11 ans ont été observés et questionnés. Il en est ressorti 4 styles de parent.

– Autoritaire et détaché : strict, sans écoute des émotions;

– Autoritaire et engagé : strict avec affection et écoute émotionnelle;

– Permissif : à l’écoute, sans imposer de limites;

– Négligent : aucune limite ou discipline et sans dialogue.

Selon l’indice de masse corporelle, bien que les parents négligents causaient un risque d’obésité, ce sont ceux autoritaires et détachés qui créaient le plus grand risque associé au surpoids des enfants.

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Des résultats scolaires moins élevés chez les adolescentes obèses

Selon ce que rapporte Medical News Today, cette recherche est la première du genre à relier la variation des résultats scolaires à l’obésité. Le détail a été publié dans la revue International Journal of Obesity.

Selon les Centers for Disease Control and Prevention (CDC), en 2012, plus du tiers des adolescents aux États-Unis était en surpoids ou obèses.

Sur l’échantillon de 6000 adolescents de la présente étude, 71,4 % avaient un poids santé, 13,3 % étaient en surpoids, et 15,3 % étaient obèses. Les résultats scolaires ont été vérifiés à l’âge de 11, 13 et 16 ans.

Les résultats obtenus indiquaient que ce sont les filles obèses qui tendaient à une performance scolaire plus basse.

La recherche effectuée par le professeur John Reilly de l’Université de Strathclyde au Royaume-Uni a donc déterminé un lien clair chez les filles, mais pas chez les garçons.

« Nous devons continuer à tenter de comprendre pour quelle raison l’obésité a des conséquences négatives sur la performance scolaire. Il est clair que les adolescents, parents et responsables de l’éducation et de la santé publique doivent être conscients de l’impact à long terme sur l’éducation et l’économie de l’obésité. »

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Des enfants souffrant d’obésité morbide retirés des familles par les services sociaux

C’est une question à laquelle les parents de 74 enfants du Royaume-Uni n’ont pas eu le loisir de répondre. Dans le but de mettre un terme au phénomène d’obésité morbide chez les enfants, qui devient une réelle épidémie, les services sociaux ont pris le relai.

Cette procédure a lieu depuis les 5 dernières années. Les données démontrent que le poids de 183 enfants de moins de 11 ans en Angleterre, en Écosse et au Pays de Galles dépassait les 100 kg.

En plus, 8 d’entre eux pesaient au-delà de 127 kg, et le plus obèse affichait 147 kg sur la balance, selon un rapport publié, rapporte mid-day.com.

Selon les informations transmises par le Centre d’information sur la protection sociale, il y a eu une augmentation de 12 % du nombre d’enfants britanniques obèses de moins de 16 ans ayant été admis à l’urgence à cause de leur surpoids.

Parmi les enfants hospitalisés, entre 26 et 46 ont été pris en charge immédiatement par les services sociaux.

Un représentant du service d’éducation a déclaré : « Il ne s’agit pas de quelques livres en trop. Il faut protéger ces enfants qui sont face à de réels problèmes de santé pouvant mettre leur vie en danger ».

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Obésité infantile en baisse significative aux États-Unis

Il s’agit des résultats publiés par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), rapporte Top Santé. Si l’on compare les données de ce jour avec celles de 2003, l’obésité chez les 2 à 5 ans a diminué de 43 %.

Même Michelle Obama, femme du Président des États-Unis, a commenté ces résultats ahurissants. Elle s’implique énormément dans la santé des Américains et se dit « ravie des progrès accomplis ces quelques dernières années pour faire baisser le taux d’obésité parmi les plus jeunes Américains. »

Les 4 dernières années ont été décisives selon la Première dame. Les parents et enfants participent de plus en plus au programme Let’s Move, qui encourage l’activité physique et des habitudes de vie plus saines.

Top Santé indique que jeudi dernier, 27 février, la Maison-Blanche a déclaré obligatoire l’affichage de la valeur nutritionnelle sur les emballages des aliments. Une mesure qui permettra aux consommateurs d’effectuer des choix éclairés.

Rappelons qu’il s’agit néanmoins d’une petite victoire, puisque globalement, l’obésité chez le reste des Américains n’a pas diminué.

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L’obésité est maintenant aussi un phénomène européen

L’Amérique du Nord et les États-Unis n’ont plus le « monopole » de l’obésité, semble-t-il, alors que le phénomène semble maintenant s’étendre jusqu’en Europe.

C’est ce que rapporte Top Santé, qui reprend un rapport de l’OMS sur la santé des Européens et sonne l’alarme alimentaire sur le territoire du vieux continent.

Le rapport de l’OMS parle de « nouvelle norme » en matière de poids pour l’Europe, statuant que le surpoids est maintenant plus une moyenne qu’une exception, à l’image des Américains.

L’alimentation des citoyens des 53 pays analysés ferait très souvent largement défaut, ce qui fait augmenter les statistiques de surpoids chez les plus jeunes. 33 % des jeunes 11 ans seraient près de l’obésité, pour 27 % des adolescents, toujours en Europe.

« L’obésité gagne du terrain pour deux raisons. Un trop peu d’activité physique et une surconsommation de produits riches en sucre, en sel et en graisse. Cette combinaison de facteurs est mortelle, d’autant que le phénomène n’étonne plus », lance la directrice de l’OMS en Europe, Zsuzsanna Jakab.

Outre la sédentarité, il ne faudrait peut-être pas oublier de mentionner le phénomène « d’américanisation » observable un peu partout dans le monde, qui comprend ses avantages, mais aussi ses inconvénients.

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Les prix élevés des fruits et légumes associés au surpoids des jeunes enfants

Ce sont des chercheurs de l’American University qui ont soulevé ce lien. L’étude a été publiée dans la revue Pediatrics.

« Il y a une légère association, quoique significative, entre le prix des fruits et légumes et un indice de masse corporel (IMC) plus élevé chez les enfants », rapporte Taryn Morrissey, principale responsable de l’étude.

Dès que le prix de ces aliments frais grimpe, les familles à faible et moyen revenu ont tendance à les substituer pour des aliments de moindre coût, sans tenir compte de l’impact sur la santé et de la teneur calorique de ces derniers.

Les données récoltées sont basées sur l’Early Childhood Longitudinal Study-Birth Cohort, incluant les enfants jusqu’à l’âge de 5 ans. On y a associé l’historique de prix des aliments du Council for Community and Economic Research (C2ER), un index sur le coût de la vie.

Le revenu moyen des foyers étudiés était de 70 650 $ pour une famille de 4 personnes en 2013. Ces ménages sont considérés comme étant à 300 % sous le seuil de pauvreté aux États-Unis.

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Potins

Maurane ne croit pas au bonheur de ceux qui sont gros

Ces paroles de Maurane font écho aux propos blessants qu’elle avait rétorqués à une blogueuse qui disait être bien dans sa peau malgré son surpoids.

Rappel des faits, une internaute disant assumer son surpoids avait critiqué les passages répétés de la chanteuse dans les publicités de Weight Watchers. Ce à quoi Maurane avait rétorqué : « Je comprends… En regardant votre photo de profil, je me dis que la jalousie, c’est vraiment con… »

Même si l’artiste dit regretter profondément ce qu’elle a écrit, elle a ajouté : « J’ai vu sa réaction, et j’ai vraiment vu de la souffrance chez cette femme, ce qui prouve quand même que ses kilos ne sont pas très assumés ».

Maurane affirme aussi que « ça n’est pas compatible avec le bonheur, les kilos ».

7sur7 rapporte d’autres propos de la chanteuse, qui n’a pas mesuré ses mots en répondant à Michaël Vendetta, qui l’avait traitée de « grosse vache » sur Twitter. « La grosse vache t’enc*** à sec avec du papier de verre, du tabasco et un filet de citron. »

Maurane dit ne rien regretter de cet échange, qu’elle a écrit en rigolant alors qu’elle était avec des amis.

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Maurane ne croit pas au bonheur de ceux qui sont gros

Ces paroles de Maurane font écho aux propos blessants qu’elle avait rétorqués à une blogueuse qui disait être bien dans sa peau malgré son surpoids.

Rappel des faits, une internaute disant assumer son surpoids avait critiqué les passages répétés de la chanteuse dans les publicités de Weight Watchers. Ce à quoi Maurane avait rétorqué : « Je comprends… En regardant votre photo de profil, je me dis que la jalousie, c’est vraiment con… »

Même si l’artiste dit regretter profondément ce qu’elle a écrit, elle a ajouté : « J’ai vu sa réaction, et j’ai vraiment vu de la souffrance chez cette femme, ce qui prouve quand même que ses kilos ne sont pas très assumés ».

Maurane affirme aussi que « ça n’est pas compatible avec le bonheur, les kilos ».

7sur7 rapporte d’autres propos de la chanteuse, qui n’a pas mesuré ses mots en répondant à Michaël Vendetta, qui l’avait traitée de « grosse vache » sur Twitter. « La grosse vache t’enc*** à sec avec du papier de verre, du tabasco et un filet de citron. »

Maurane dit ne rien regretter de cet échange, qu’elle a écrit en rigolant alors qu’elle était avec des amis.