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Les écoles envoient des lettres aux parents concernant le poids de leurs enfants

SheKnows rapporte entre autres le cas d’une mère d’une jeune fille de 11 ans, mesurant 5 pieds 3 pouces et pesant 124 livres. La lettre indiquait que sa fille était à risque de devenir obèse. Cette enfant est décrite par sa mère comme étant athlétique.

Le système scolaire se base souvent sur une simple mesure de l’indice de masse corporelle (IMC). Cette donnée à elle seule ne peut pas servir de prédiction d’obésité. Sans compter qu’ils envoient l’information par le biais de l’élève! Même sous lettre scellée, c’est inconsidéré.

Les mères interrogées sont d’accord pour dire que c’est aux parents et au pédiatre ou médecin de s’occuper du surpoids des jeunes. Pourtant, selon une étude datant de 2004 publiée dans Pediatrics, 86 % des mères qui avaient un enfant ayant un IMC supérieur au 95e percentile ne jugeaient pas leur enfant en surpoids.

Mais le système scolaire, qui diminue constamment ses heures d’éducation physique et offre le choix de repas santé (ou non) dans les cafétérias, devrait être pointé du doigt plutôt que de se permettre le rôle d’avocat du diable.

Plusieurs mères étaient d’avis que les dirigeants des écoles devraient mettre ces efforts pour enrayer l’intimidation plutôt que d’exacerber le problème de surpoids.

 

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Les efforts pour contrer l’obésité des jeunes commencent à porter des fruits

C’est Medical News Today qui rapporte ces données encourageantes. Bien que l’obésité infantile demeure préoccupante, les résultats sont tout de même encourageants.

En 2010, selon les centres de prévention et de contrôle des maladies, aux États-Unis, plus d’un tiers des enfants et adolescents présentaient un surplus de poids ou étaient déjà obèses. Cependant, entre 2008 et 2011, à la suite de mesures prises par le système de santé, le taux d’obésité a chuté dans 19 États.

La nouvelle étude menée par Eunice Kennedy au National Institute of Child Health and Human Development, à Bethesda, offre des résultats appréciables. Les données récoltées auprès de 35 000 enfants et adolescents démontrent qu’entre 2001 et 2009, les habitudes alimentaires et l’exercice physique ont pris une plus grande place chez les jeunes.

Par exemple, en 2001, la consommation de fruits et de légumes était présente de 2 à 4 jours par semaine. En 2009, elle a grimpé de 5 à 6 jours. D’autre part, les jeunes sont désormais plus conscients de l’importance de manger un déjeuner et consomment moins de boissons sucrées.

Bien que l’exercice soit encore loin de l’heure par jour recommandée, les jeunes ont tout de même augmenté de 4,33 à 4,53 les heures d’activité physique par semaine. De même, le temps passé devant la télévision a diminué.

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Les enfants obèses consomment beaucoup plus de calories que prévu

Des chercheurs ont établi un nouveau calcul mathématique tenant compte des besoins énergétiques réels, selon des facteurs tels que le sexe, l’âge, la croissance et l’activité physique. Les résultats ont été publiés dans The Lancet Diabetes & Endocrinology.

En réalité, auparavant, le modèle suivi était le même pour le jeune enfant que l’adolescent en pleine croissance, peu importe le sexe. Or, les garçons, lors de la puberté, brûlent plus de calories que les filles, notamment à cause du développement musculaire. Ainsi, l’apport calorique représentant une prise de poids est désormais ajusté et plus important chez les garçons que chez les filles.

D’autre part, cette nouvelle équation prouve qu’il ne s’agit pas uniquement de faire de l’exercice pour faire perdre du poids à nos enfants. Ils doivent également revoir les calories ingérées pour s’assurer une perte de poids efficace, d’autant plus que l’on doit considérer les périodes de croissance rapide.

Ainsi, comme l’indique Hall, l’auteur de la recherche, « un enfant qui n’a pas encore perdu son “gras de bébé” avant la puberté sera à l’étape idéale pour entreprendre un nouveau régime alimentaire plus équilibré. Il sera ainsi à même de transformer ce poids en masse musculaire équilibrée ».

Le Dr David Katz, directeur du Yale Prevention Research Center, fait également l’éloge de ce nouveau modèle nutritionnel. Anciennement, l’échelle indiquait qu’un enfant de 5 ans ayant accumulé un surpoids de 22 livres à 10 ans avait consommé 40 calories de trop quotidiennement pour en arriver à ce résultat. La nouvelle formule constate qu’il s’agit plutôt de près de 400 calories par jour. Un résultat beaucoup plus représentatif.

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Une mauvaise alimentation pendant la grossesse apporte de lourdes conséquences chez l’enfant à naître

Déjà, dans une recherche précédente, on expliquait qu’une alimentation excessive de sucre et de gras modifiait la réponse du cerveau relativement à la « récompense ». En d’autres termes, elle prédisposait à la suralimentation et à diverses dépendances.

Or, cette nouvelle étude, menée par la neuroscientifique Nicole Avena, de l’Université de Floride, vient appuyer ces conclusions. Dès la gestation, le fœtus est sensible à l’apport en graisses et en glucides, et une surexposition le prédispose aux dépendances d’alcool et de drogues.

Ces conséquences se développeraient plus tard, à l’âge adulte, selon Santé Log, et s’ajoutent au risque très élevé de surpoids dès la naissance.

Dans le cas présent, ce sont deux groupes de rats qui ont été testés, le premier constitués de rats nés de mères nourries avec un régime alimentaire équilibré, et le second avec des rats dont les mères avaient été gavées de sucre et d’aliments gras.

La sensibilité à l’alcool et aux amphétamines des rats du second groupe était nettement plus élevée que ceux du premier groupe. Des résultats qui, malheureusement, sont très probants.

Cela encourage cependant les futures mères à prendre en compte leur alimentation dès les premiers trimestres de la grossesse.

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Samoa Air crée une classe XL pour les passagers obèses

Samoa Air, une petite compagnie aérienne des Samoa, a annoncé la création d’une classe « XL » pour les passagers obèses qui se verront proposer des sièges plus confortables et des rampes d’accès réservées.

Samoa Air était déjà à l’origine fin 2012 d’une initiative originale en établissant une grille tarifaire en fonction du poids du passager, destinée à lutter contre l’obésité et la hausse des cours du carburant.

« Souvent, l’accès (aux avions) est difficile, et une fois installé dans votre siège, vous n’avez plus de place pour les jambes », a expliqué Chris Langton, le patron de la compagnie, à la radio télévision australienne ABC.

« Nous n’avons pas une grande flotte, mais nous voulions montrer que nous nous préoccupons de cette question », a-t-il ajouté.

Les rangées en classe « XL » seront plus larges d’environ 30 centimètres.

« On le fait bien pour les chemises, les vêtements et d’autres choses encore (…). Le transport aérien devra s’adapter », selon lui.

Selon l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), les Samoa ont un taux d’obésité parmi les plus élevés au monde.

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Les habitudes alimentaires au travail blâmées dans le dossier de l’obésité

Le dossier du surpoids en Amérique du Nord ne cesse de faire jaser et d’alimenter les pages web spécialisées en santé et en nutrition.

On cherche des coupables, des solutions, et voilà qu’une nouvelle théorie vient d’être émise par des sondeurs de la compagnie CareerBuilder, une théorie rapportée par le Daily Mail (UK) notamment.

C’est après avoir réalisé un sondage auprès de 3700 travailleurs que les chercheurs sondeurs ont commencé à apercevoir des similitudes entre certaines réponses.

Ainsi, les habitudes alimentaires au travail pourraient être responsables dans certains cas de surpoids ou d’obésité. Notamment, on parle du manque d’activité physique découlant d’emplois statiques ou de bureau, en plus de l’absence de gym ou de temps, tout simplement.

Puis, les fameux 5 à 7 sont aussi ciblés, en plus des nombreuses sucreries rapportées sur les lieux de travail, comme les beignes.

Au final, 55 % des répondants affirment afficher un surpoids, et 41 % d’entre eux blâment directement leur actuel emploi pour cette prise de poids!

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Diabète et surpoids : Le jeûne intermittent vanté par des spécialistes

Le jeûne intermittent, ou le fait d’arrêter de manger selon un programme bien précis, semble gagner en popularité chez certains experts afin de contrer d’éventuels problèmes de santé graves chez les gens diabétiques.

C’est ce qui ressort de l’étude publiée par des chercheurs de l’Université d’Ashton, rapportée par Santé Log, alors que ces derniers se sont penchés sur ce controversé traitement.

Selon ce qu’on peut lire dans le British Journal of Diabetes and Vascular Disease, les experts concluent que le jeûne intermittent peut contrecarrer certains dangers liés au diabète, comme les maladies cardiaques ou encore ceux liés à l’obésité.

On rappelle que le diabète de type II est souvent lié à un surpoids ou à un régime alimentaire non équilibré.

Les experts estiment que beaucoup de patients pourraient gagner à tenter l’expérience du jeûne intermittent, en plus d’éviter la fameuse opération bariatrique, invasive et complexe s’il en est une.

Mais voilà, plusieurs spécialistes viennent contredire ces conclusions et croient plutôt que les bienfaits du jeûne intermittent restent à être démontrés.

De toute façon, il est primordial de ne pas prendre une décision du genre (opération ou jeûne) avant d’avoir consulté son médecin de famille pour des conseils généraux.

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Des exercices même pour les bébés d’un an

Cela dépend de votre point de vue. Selon la pédiatre Sylvie Hubinois, dès que les enfants sont en âge de marcher, on devrait les faire bouger beaucoup plus chaque jour. On éviterait ainsi le surpoids.

La réalité d’aujourd’hui est à ce point inconsciente, à cause de la vitesse à laquelle nous vivons, que nous ne prenons pas le temps de réaliser qu’il n’y a pas que nous qui manquons d’exercice. Dès 18 mois, le jeune enfant devrait avoir maîtrisé la marche et, bien sûr, la course.

Au lieu de l’en faire profiter, nous le traînons au magasin, au parc, à l’épicerie, toujours en poussette ou assis dans le carrosse. Dès qu’il n’est plus dans son siège, nous le prenons dans nos bras. Et il finit non seulement par apprécier, mais bientôt, il refuse de marcher et veut absolument qu’on le porte.

Il faut à tout prix cesser cette pratique. Habituons nos jeunes enfants à marcher, grimper, courir, faire des roulades, jouer à cache-cache ou n’importe quelle autre activité qui demande un peu d’effort.

Limitons également les heures passées devant la télévision. Allumons plutôt la radio pour que bébé danse un peu avec nous, puis seul, éventuellement, s’il en prend l’habitude. Faisons les tâches ménagères en gambadant d’une pièce à l’autre, en jouant à « coucou » avec l’enfant.

Les idées ne manquent pas, le temps non plus. C’est à nous de renverser la vapeur et d’en prendre conscience.

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Trop manger et boire s’avère dommageable pour le foie

La population, notamment les femmes, doit se conscientiser sur les impacts d’une trop grande consommation d’alcool et de nourriture, rapporte Top Santé.

C’est une récente étude sur les habitudes de consommation alimentaire qui lance un signal d’alarme aux citoyens, plus particulièrement aux femmes.

Les chercheurs du UCL Institute of Liver and Digestive Health de Londres ont analysé et démontré les risques associés à une consommation d’alcool trop élevée et à l’obésité sur la santé.

Plus particulièrement, c’est le foie qui serait à risque de développer de sérieux problèmes, un organe que l’on ne peut tout simplement pas se permettre d’endommager.

Plus encore, les femmes seraient plus touchées que les hommes par le phénomène de risque, ce qui pousse le Dr Paul Trembling, auteur de l’étude, à servir un avertissement bien senti à la gent féminine épicurienne.

Le risque de maladie grave et mortelle du foie serait jusqu’à trois fois plus élevé chez la femme que chez l’homme, surtout lorsqu’une femme en surpoids abuse de l’alcool.

Malgré ces pronostics plutôt sombres, on croit que cette récente étude permettra de mieux traiter plusieurs patients et ainsi sauver plus de vies en améliorant la qualité de l’aide et les campagnes de prévention.

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Manger sous le coup de l’émotion exposerait au risque de surpoids

Les émotions, ça creuse, a-t-on coutume de dire. Mais manger sous le coup de l’émotion, une réaction plus répandue chez les femmes et chez ceux qui font un régime, peut provoquer du surpoids, selon une étude sur plus de 35 000 adultes français.

L’influence des facteurs psychologiques sur le surpoids et l’obésité est de plus en plus reconnue. Mais, de fait, relativement peu d’informations sont disponibles sur « l’émotionalité alimentaire » (le fait de manger sous le coup de l’émotion) et son association avec le surpoids, selon la chercheuse Sandrine Péneau qui s’est penchée sur le sujet.

Elle a, avec ses collègues, interrogé par questionnaire un échantillon de 35 641 adultes français participant à l’étude NutriNet-Santé qui regroupe plus de 244 000 internautes.

Les femmes (52 %) ont davantage tendance à manger sous le coup de l’émotion que les hommes (20 %), selon l’étude mise en ligne par l’American Journal of Clinical Nutrition.

Dans l’ensemble, les gens au régime ont davantage tendance à manger sous le coup de l’émotion (71 %) que ceux qui ont fait un régime par le passé (58 %) ou les personnes qui disent n’avoir jamais fait de régime amaigrissant (35 %).

Le questionnaire a permis de mesurer la tendance à manger sous le coup d’émotions négatives (se sentir seul, nerveux, déprimé). Toutefois, même si celles qui n’ont jamais fait de régime sont moins nombreuses à manger sous le coup de l’émotion, celles qui le font sont bien plus souvent en surpoids.

« Ainsi, parmi les femmes qui n’ont jamais fait de régime, celles qui ont une forte “émotionalité alimentaire” ont cinq fois plus de risque d’être en surpoids en comparaison de celles qui ne mangent jamais sous le coup de l’émotion », indique à l’AFP la chercheuse Sandrine Péneau.

Chez les femmes ayant déjà fait un régime, le risque est 3 fois plus élevé, et chez celles sous régime, le risque est 2,6 fois élevé.

L’association entre surpoids et « émotionalité alimentaire » s’observe également chez les hommes, mais sans grande différence selon qu’ils fassent ou non un régime amaigrissant. Le risque d’être en surpoids est ainsi environ 2 fois plus élevé chez les hommes déclarant manger fréquemment sous le coup de l’émotion, par rapport à ceux qui affirment que ce n’est jamais le cas.