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Est-ce que vous devriez mettre votre enfant au régime?

La première chose est évidemment de revoir son alimentation, et en fait, probablement celle de toute la famille. Sans aller dans l’extrême, ce serait en effet très injuste et difficile pour un enfant de devoir « se priver de dessert » alors que tout le monde en mange autour de lui.

Éliminez d’abord la malbouffe, les plats préparés, et évitez d’avoir de mauvaises collations dans la maison. Préparez des repas équilibrés, avec une prépondérance d’aliments nourrissants et « bourratifs », tout en étant bons pour la santé.

Vous pouvez aussi contrôler les portions. Souvent, les gens mangent ce qu’il y a devant eux, peu importe la quantité. Commencez par servir une petite assiette, quitte à lui en redonner un peu s’il a encore vraiment faim par la suite.

Évitez également d’en parler trop ou de culpabiliser l’enfant. Ceci peut se faire de manière fluide, sans que l’enfant s’en aperçoive trop ou ait l’impression qu’il « est trop gros ». Son estime de lui est importante à travers tout ça.

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L’antagoniste du fructose : le glucose

On a beaucoup parlé, et encore tout récemment, du fructose et de ses effets néfastes sur la santé. On vous apprenait cette semaine que les études concluent non seulement que le fructose est mauvais pour la santé (notamment parce qu’il est employé dans plusieurs produits de consommation usinés sous la forme de sirop de maïs, par exemple), mais aussi parce qu’il donne une impression de faim… sans fin.

Le fructose ne donne donc pas l’impression de satiété, ce qui pousserait les gens à manger davantage, malgré l’ingestion d’une tonne de calories.

Cependant, ce n’est pas le cas du glucose, qui fait ici figure d’antagoniste à son camarade. En effet, selon santelog.com, le glucose réussit quant à lui à envoyer le bon message de satiété à l’organisme, ce qui ne donne pas envie à l’individu qui en consomme de manger de nouveau tout de suite après.

Les chercheurs de Yale en tête de l’étude croient même que le glucose offre plus qu’une impression d’être rassasié, mais aussi un sentiment de plénitude, de bien-être.

C’est ce qu’observent les chercheurs chez les sujets qui favorisent le glucose au fructose, et c’est aussi vérifiable chez les animaux.

Bien sûr, on rappelle que le sucre en général est mauvais pour l’organisme, et que l’on doit en limiter sa consommation.

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Étude contradictoire dans le dossier du surpoids et de la longévité

Voilà une étude qui fait jaser et qui continuera de le faire au fil des prochaines semaines. Le Journal of the Medical American Association (JAMA) vient de publier des recherches qui indiquent la possibilité d’une meilleure espérance de vie chez les gens légèrement en surpoids.

Voici qui contredit à peu près tout ce qui a été publié jusqu’à maintenant en matière de poids, de santé et de longévité.

La nouvelle de cette publication est reprise par plusieurs médias, dont Radio-Canada. On explique par ailleurs que cette étude n’en est pas une mince, mais plutôt ce que l’on appelle une « méta-étude ». On entend par là que cette étude analyse les résultats de plusieurs autres études précédentes sur un même sujet, dans ce cas-ci plus de 97 recherches couvrant pas moins de trois millions de personnes.

On parle de l’indice de masse corporelle, qui pourrait favoriser une plus grande durée de vie chez ceux qui en affichent une plus grande que la moyenne (IMC de 25 à 29,9, par exemple, contre 18,5 à 24,9 pour la moyenne).

Passé ces chiffres, les risques de mortalité prématurée grimpent en flèche. On parle donc d’un « bénéfice » observable dans les cas de surpoids léger.

Les chercheurs expliquent le phénomène par plusieurs théories plausibles, à commencer par celle qui veut que ces graisses en trop puissent bien fournir des énergies supplémentaires lorsque le corps tente de combattre les virus et maladies.

On peut s’attendre à voir d’autres études et recherches réagir à celle-ci dans un avenir rapproché.

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Obésité et surpoids ne font pas bon ménage avec la maternité

(AFP) – L’obésité et le surpoids qui touchent un nombre croissant de femmes en âge de procréer ne font pas bon ménage avec le désir d’avoir un enfant et font courir des risques aux futures mères comme à leurs bébés, soulignent des spécialistes.

Plus de complications pendant la grossesse (notamment hypertension et diabète) et au moment de l’accouchement (davantage de césariennes et d’hémorragies postpartum) pour les femmes, risque accru de fausses couches, de morts in utero, de prématurité, de malformations congénitales (neurologiques et cardiaques) chez les enfants, la liste des conséquences négatives de l’obésité n’a cessé de s’allonger ces dernières années.

« Il y a de vrais risques pour la femme et l’enfant qui ne sont pas suffisamment connus des futures mères et des médecins », souligne la Dre Joëlle Belaïsch Allart, spécialiste de l’infertilité et vice-présidente du Collège national des gynécologues et obstétriciens français, qui tient ses 36es Journées à Paris.

Elle ajoute que les risques débutent dès le surpoids et augmentent ensuite parallèlement au poids, faisant de toute femme obèse une candidate à une « grossesse à risque ».

L’obésité de la mère multiplie également par deux ou trois les risques d’obésité chez son enfant entre 2 et 4 ans.

Peu fréquente autrefois, l’obésité de la femme enceinte est en passe de devenir un problème de santé publique, avec un taux d’obésité et de surpoids atteignant désormais 32 % chez les femmes âgées de 25 à 34 ans (dont 11 % d’obèses) et 37 % chez les femmes de 35 à 44 ans (dont 16 % d’obèses), selon la dernière enquête nationale sur l’obésité ObEpi 2012.

Perdre du poids avant la grossesse

Au-delà des risques encourus, les femmes obèses sont plus fréquemment confrontées à l’infertilité, un phénomène également lié à l’augmentation de l’âge maternel.

Les troubles de l’ovulation sont ainsi nettement plus fréquents tandis que les traitements de stimulation ovarienne sont plus longs et moins efficaces que chez les autres femmes.

« La seule solution pour toutes ces femmes est de perdre du poids avant la grossesse », souligne le Pr Pierre Mares, professeur de gynécologie obstétrique au CHU de Nîmes, qui préconise une prise en charge systématique avant la grossesse, avec l’aide d’équipes pluridisciplinaires.

Mais l’obésité masculine a également sa part de responsabilité dans l’infertilité, en raison d’un risque accru d’anomalie dans leur sperme et d’une baisse de la qualité de celui-ci.

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Plus de problèmes de poids chez les enfants en garderie

1649 enfants âgés de 18 mois à 4 ans, correspondant à un échantillon représentatif de la société québécoise, ont participé à l’étude. Ceux-ci étaient classés selon différentes catégories : 30 % étaient dans une garderie en installation, 35 % fréquentaient une garderie en milieu familial, 11 % étaient sous la supervision d’un membre de la famille élargie, 5 % avaient une nounou, et 19 % restaient avec leurs parents.

Les chercheurs ont ensuite effectué un suivi du poids et de la taille des enfants, jusqu’à ce que ceux-ci atteignent l’âge de 10 ans. Les enfants qui avaient fréquenté la garderie étaient ainsi environ deux fois plus à risque que les autres d’être en surpoids.

Les résultats ont été ajustés pour tenir compte de facteurs externes tels que le statut socio-économique des parents, la durée de l’allaitement, l’indice de masse corporelle de la mère et le statut d’emploi de celle-ci. Malgré tout, le risque a perduré, ce que les chercheurs ne pouvaient pas vraiment expliquer.

« Les parents ne doivent pas s’inquiéter, mais ils peuvent simplement s’assurer que leurs enfants mangent bien et sont actifs », a rassuré l’auteure, la Dre Sylvana Côté, citée par Science Daily.

Les chercheurs ont toutefois voulu préciser qu’ils croient fermement que la garderie a un potentiel important de réduire des problèmes de poids chez les enfants, en faisant la promotion d’un mode de vie sain.

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Comment répondre à votre enfant qui demande s’il est gros?

Un enfant obèse dépasse l’IMC (indice de masse corporelle) normal qui devrait être associé à son âge, son sexe et sa grandeur, entre autres. Mais parfois, la marge est mince. Pour un enfant, 20 kg peut représenter le poids normal, 22 kg de l’embonpoint, puis 25 kg de l’obésité. Ainsi, si vous vous posez la question, demandez à votre médecin.

Il se peut même que la question fatidique vienne justement à la suite d’une rencontre avec le pédiatre. « Maman? Est-ce que je suis gros (ou grosse)? »

D’abord, soyez honnête, mais préparez-vous des réponses positives et réalistes.

Il faut avouer à son enfant que selon son médecin, ou selon votre constat, il faudrait qu’il soit plus en santé. Dites-lui qu’il est beau de toute façon, qu’un surplus de poids n’empêche en rien le charme d’une personne. Cependant, apportez-lui des faits, causés par l’obésité à long terme. Difficulté à faire des activités, douleurs physiques, souffle court, etc.

Axez également la conversation sur l’importance de bouger, de choisir des aliments qui éviteront que notre ventre crie après 1 heure. Dites-lui que vous êtes là pour l’accompagner dans le processus.

S’il le faut, emmenez votre enfant à l’épicerie et faites le tour des allées avec lui pour qu’il se familiarise avec les changements que vous devez, vous aussi, apporter à votre alimentation.

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Enfant unique, enfant obèse?

Menée auprès de 12 700 enfants de 2 à 9 ans, et ce, dans 8 pays européens, cette recherche à grande échelle affiche des résultats sans équivoque. Ceux-ci, selon santelog.com, sont publiés dans la revue Nutrition and Diabetes.

De plus, le surpoids et l’obésité chez les enfants uniques ne présentaient aucune corrélation avec le mode de vie de l’enfant, et c’est ce qui préoccupe les chercheurs. Ainsi, malgré le questionnaire soumis aux parents, relativement à l’activité physique, le sexe, le poids de naissance, etc., ce ne sont que les enfants seuls qui présentaient un risque accru d’obésité de 50 %.

« Être un enfant unique est donc un facteur de risque de surpoids indépendant des autres facteurs explicatifs », note une chercheuse de l’Université de Göteborg, Monica Hunsberger.

Cette étonnante constatation pousse les responsables à vouloir effectuer de nouvelles recherches, mais cette fois concentrées uniquement sur les familles ayant un enfant unique. La raison est simple : plus de 22 millions d’enfants en Europe présentent un surpoids, et les familles ont de moins en moins d’enfants.

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Le sucre, responsable d’une prise de poids excessive pendant la grossesse

Une nouvelle étude, menée par l’Institut de Médecine en Irlande, suggère de réduire les glucides au maximum pour éviter la prise de poids excessive pendant cette période.

Les résultats démontrent que 48 % des femmes ayant conservé le même régime alimentaire pendant la grossesse ont pris plus de poids que prévu. Quant aux femmes ayant modifié leur régime pour abaisser la consommation de sucre, seulement 38 % d’entre elles ont pris plus de poids que recommandé.

L’Institut de Médecine a effectué cette étude auprès de 800 femmes, dont 400 ont suivi le régime alimentaire bas en glucides. Selon ce que rapporte myhealthnewsdaily.com, une femme enceinte de poids normal ne devrait pas dépasser un gain de poids se situant entre 25 et 35 livres.

Les chercheurs vont plus loin : « La prise de poids excessive pendant la grossesse est associée à un risque plus élevé de césarienne, une rétention de poids après la naissance et un risque d’obésité plus tard dans la vie ».

Ainsi, il faut éviter les sucres rapides, c’est-à-dire préférer le riz et le pain bruns plutôt que leurs versions transformées. Les gâteries sucrées devraient aussi demeurer sur les rayons de l’épicerie et être remplacées par des fruits.

Les résultats de cette étude ont été publiés dans l’édition de septembre du British Medical Journal.

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Pas plus de risque de décès pour les obèses

Une nouvelle étude publiée dans le Journal of American Board of Family Medicine remet en cause la croyance populaire qu’un surplus de poids est synonyme d’un plus grand risque de décès.
 
En fait, l’obésité ne devient plus « meurtrière » que si elle est accompagnée de diabète ou d’hypertension. Sans ces deux facteurs, les chercheurs vont même jusqu’à dire que les personnes en surplus de poids ont moins de risques de décès que les personnes ayant un poids normal.
 
Attention, l’étude ne dit pas que l’obésité est l’idéal et n’affecte pas la santé. Elle demeure tout de même une menace qui affecte la qualité de vie. Elle a une incidence sur la santé et peut aussi causer de l’apnée du sommeil, des maladies cardiaques, de l’arthrose et autres.
 
Cependant, les données recueillies sur 51 000 personnes ayant de 18 à 90 ans, suivies pendant 6 ans, démontrent qu’un surplus de poids n’entraîne pas automatiquement plus de risques de décès.
 
« Durant les 6 années de suivi de l’étude, nous avons constaté que seule une obésité sévère a été associée à un risque accru de décès, en raison de ses comorbidités », déclare le professeur Anthony Jerant.
 
L’étude dévoile également que peu importe la présence de diabète ou non, les personnes trop maigres doublent par contre leur risque de décès.
 
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Boire, fumer ou être en surpoids n’affecte pas la fertilité masculine

Les hommes qui souhaitent devenir pères peuvent bien prendre un verre d’alcool de temps à autre pour se détendre.
 
Selon une nouvelle étude des universités Manchester et Sheffield, boire, fumer ou être en surpoids n’affecte pas la fertilité des hommes.
 
Pourtant, depuis longtemps, on recommande aux hommes de s’abstenir de boire et de fumer ainsi que de maintenir un poids santé pour maximiser leurs chances d’être pères.
 
Selon le Human Reproduction, ces facteurs n’auraient en réalité que très peu d’impact sur la fertilité masculine.
 
2249 hommes de 14 cliniques de fertilité ont répondu à des questionnaires détaillés sur leur mode de vie. Les résultats de 939 hommes ayant moins de spermatozoïdes ont été comparés à ceux de 1310 hommes avec plus de spermatozoïdes.
 
On constate que les facteurs qui influencent beaucoup la qualité du sperme, et par conséquent la fertilité, sont plutôt les chirurgies testiculaires, les origines ethniques ou encore le type d’emploi occupé.