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La double mastectomie n’améliore pas le taux de survie au cancer

De plus en plus de femmes aux États-Unis optent pour l’ablation des deux seins lorsqu’elles en sont aux premiers stades du cancer du sein, afin de prévenir la diffusion de la maladie.

Cependant, des chercheurs du Cancer Prevention Institute en Californie affirment que le taux de survie demeure inchangé. « Le taux de décès n’est pas plus bas chez les femmes qui ont une double mastectomie en comparaison à celles qui conservent l’autre sein », rapporte Scarlett Gomez.

En analysant les données de 189 000 patients atteints du cancer du sein en Californie, les scientifiques ont découvert que de 1998 à 2011, le taux de double mastectomie est passé de 2 à 12,3 %.

En 2011, le tiers des femmes de moins de 40 ans optaient pour cette opération, comparativement à 4 % en 1998, informe Medline Plus.

On rapporte également que l’opération de l’actrice Angelina Jolie en 2013 a encouragé les femmes à faire de même. Elle a procédé à une double mastectomie de façon préventive à cause de son historique médical familial.

La recherche a été publiée dans la revue Journal of the American Medical Association.

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Du homard gaspésien facilement accessible en 2014

C’est parti pour la saison du homard, et particulièrement celle du savoureux homard de Gaspésie, nous rappelle par voie de communiqué l’équipe de promotion de ce produit hautement convoité dans notre province.

Près de 200 pêcheurs ont pris la mer à la fin de la semaine dernière, apprend-on, afin de trouver le homard gaspésien, et il semble que la récolte soit bonne.

De plus, plusieurs nouveautés s’ajoutent au processus de pêche et de vente du produit, ce qui fait dire au directeur général du Regroupement professionnel des pêcheurs du sud de la Gaspésie (RPPSG), Oneil Cloutier, que les Québécois pourront trouver encore plus facilement le produit local au marché près de chez eux.

« Pour les Québécois, le homard de la Gaspésie sera encore plus facile à trouver cette année, puisque nous avons fait développer et produire un nouvel identifiant de qualité alimentaire qui est installé sur le coude d’une pince de chaque homard, directement sur le bateau lors de la pêche », lance M Cloutier.

Autre fait intéressant, la pêche aux homards est maintenant assortie d’une obligation pour les pêcheurs d’être équipés d’un système de communication intelligent capable de transmettre les données des pêches en temps réels à Pêches et Océans Canada. Le processus est en place depuis quatre ans et permet d’assurer la survie de l’espèce, et d’autres beaux printemps québécois sous le signe du homard pour les années à venir.

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Les fibres seraient de précieuses alliées santé à la suite d’une crise cardiaque

Une nouvelle étude vante de nouveau les mérites des fibres sur la santé cardiovasculaire, plus spécialement en ce qui concerne les patients qui ont survécu à une crise cardiaque.

Les chercheurs en tête de l’étude estiment que les patients ayant subi un incident cardiaque qui mangent leur part de fibres par la suite vivent plus longtemps que les autres.

Les fibres les plus bénéfiques seraient par ailleurs celles des grains entiers, que l’on retrouve dans l’avoine et dans certains pains et céréales, révèle l’étude.

Ce constat est le fruit d’une analyse des dossiers de 4000 adultes américains qui ont subi une première crise cardiaque, rapporte The National Library of Medicine.

Bien qu’aucune cause à effet ne soit établie, les spécialistes de Harvard derrière la recherche n’hésitent pas à conseiller vivement l’ajout de fibres au régime alimentaire de ce type de patients.

« Les survivants d’une crise cardiaque devraient considérer la consommation de plus de produits à haute teneur en fibres, incluant les grains entiers, les fruits et les légumes », résume le professeur Eric Rimm.

Les conclusions de l’étude ont été publiées dans l’édition virtuelle de BMJ.

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Réduire l’apport en calories de 10 % pourrait vous sauver la vie

Une nouvelle étude américaine propose des conclusions qui pourraient bien en motiver plusieurs à apporter quelques changements à leur style de vie et à leur régime alimentaire.

Selon des chercheurs du Wisconsin, réduire son apport calorique quotidien de 10 % pourrait vous sauver la vie, en plus de vous épargner potentiellement l’apparition de certaines maladies.

C’est en analysant les comportements et l’évolution du bilan de santé de 76 singes rhésus, sur une période de 25 ans, que les chercheurs sont parvenus à établir de façon claire les impacts d’une réduction calorique sur la santé.

Le premier groupe de singes s’est vu obligé de suivre une diète plus stricte avec une réduction de 30 % des calories, alors que le second groupe pouvait manger selon ses désirs. Ce deuxième groupe aurait affiché trois fois plus de cas de maladies, en plus d’un risque de décès prématuré aussi trois fois plus élevé.

30 % moins de calories pour une chance de survie qui triple, voilà un peu le constat que proposent les chercheurs du Wisconsin dans l’étude. Ces derniers croient par ailleurs qu’une réduction de l’apport calorique de 10 % peut déjà améliorer la qualité de vie et la longévité, en plus de prévenir de plusieurs maladies.

L’étude rapportée par le Daily Mail (UK) a été effectuée au Wisconsin National Primate Research Center.

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Réduire l’apport en calories de 10 % pourrait vous sauver la vie

Une nouvelle étude américaine propose des conclusions qui pourraient bien en motiver plusieurs à apporter quelques changements à leur style de vie et à leur régime alimentaire.

Selon des chercheurs du Wisconsin, réduire son apport calorique quotidien de 10 % pourrait vous sauver la vie, en plus de vous épargner potentiellement l’apparition de certaines maladies.

C’est en analysant les comportements et l’évolution du bilan de santé de 76 singes rhésus, sur une période de 25 ans, que les chercheurs sont parvenus à établir de façon claire les impacts d’une réduction calorique sur la santé.

Le premier groupe de singes s’est vu obligé de suivre une diète plus stricte avec une réduction de 30 % des calories, alors que le second groupe pouvait manger selon ses désirs. Ce deuxième groupe aurait affiché trois fois plus de cas de maladies, en plus d’un risque de décès prématuré aussi trois fois plus élevé.

30 % moins de calories pour une chance de survie qui triple, voilà un peu le constat que proposent les chercheurs du Wisconsin dans l’étude. Ces derniers croient par ailleurs qu’une réduction de l’apport calorique de 10 % peut déjà améliorer la qualité de vie et la longévité, en plus de prévenir de plusieurs maladies.

L’étude rapportée par le Daily Mail (UK) a été effectuée au Wisconsin National Primate Research Center.

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Leucémie : Un traitement expérimental pourrait augmenter les chances de survie

The National Library of Medicine rapporte la création d’un nouveau type de traitement contre la leucémie, qui semble faire ses preuves à la suite des premiers essais expérimentaux.

Baptisé l’idelalisib, le traitement sous forme de médicament permettrait d’augmenter considérablement les chances de survie à la maladie, croient des chercheurs de l’Université de Californie.

De plus, le traitement s’effectuerait sans chimiothérapie et causerait donc moins de dommages et de problèmes aux patients qui le subiraient.

« Je crois que si l’idelalisib est approuvé, les patients ont une chance de voir une incroyable extension de leurs chances de survivre en bonne santé », explique par ailleurs David Fruman, professeur à UCLA.

D’autres experts ont déjà qualifié ces résultats de « fantastiques », et on sent un véritable enthousiasme chez des professionnels pourtant largement modérés la plupart du temps.

On attend donc maintenant les conclusions de la FDA, qui doit évaluer le produit et donner son aval au lancement.

Les résultats et analyses concernant l’idelalisib ont été publiés dans le New England Journal of Medicine.

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Amélioration notable du taux de survie chez les patients en cardiologie

The National Library of Medicine rapporte des statistiques proposées par la Clinique Mayo, aux États-Unis, et qui dressent un bilan positif des avancées dans le domaine de la cardiologie au cours des dernières années.

Tellement qu’il semble que de moins en moins de patients admis en cardiologie meurent d’une maladie ou d’un trouble cardiovasculaire. Ces patients auraient maintenant plus de chances de mourir d’une autre maladie que de succomber aux traitements d’un trouble cardiovasculaire.

Ces étonnantes révélations se basent sur les observations effectuées par des spécialistes de la Clinique Mayo au cours de trois périodes distinctes, soit de 1991 à 1996, de 1997 à 2002, et de 2003 à 2008.

« Nous avons découvert que les patients aux prises avec une maladie cardiovasculaire établie dans l’ère moderne ont environ une chance sur trois de mourir des suites de ce problème, contre deux chances sur trois de mourir à la suite d’un autre problème, non cardiaque », résume le Dr Rajiv Gulati, de la Clinique Mayo.

Un phénomène étonnant, mais qui confirme bien les superbes avancées et percées observées au cours des dernières décennies dans le monde médical, notamment en cardiologie.

Ces observations ont été publiées dans le journal Circulation en février.

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La survie à long terme est possible pour les enfants transplantés du coeur

Dre Hannah Copeland et ses collègues de la Loma Linda University en Californie ont suivi l’évolution de 337 cas en pédiatrie depuis 1985.

« Le taux de survie moyen chez les adultes qui subissent une transplantation cardiaque est à l’heure actuelle de 10 ans », a affirmé Dre Copeland. « Nous avons étudié les taux de survie en transplantation cardiaque pédiatrique lorsqu’il dépasse 15 ans et en avons appris plus sur la qualité de vie possible et les facteurs qui ont mené à l’amélioration du taux de survie. »

Selon Medical News Today, plus de 54,3 % des enfants suivis ont survécu au-delà de 15 ans après la chirurgie (183/337). Sur ces survivants, 151, soit 82,5 %, sont toujours en vie et démontraient une bonne fonction cardiaque lors du plus récent suivi.

Les chercheurs ont pu établir que les entraves à la survie sont principalement une complication vasculaire grave et un dysfonctionnement rénal. Cependant, une seconde transplantation de cœur et une transplantation rénale sont possibles. Combiné aux médicaments immunosuppresseurs et à un suivi rigoureux, « la vie du patient peut être prolongée ».

Les résultats de la recherche ont été dévoilés lors de la 50e édition de l’Annual Meeting of the Society of Thoracic Surgeons.

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Le taux de survie au cancer directement lié au PIB?

C’est une constatation aussi horrible que triste à laquelle arrive une équipe de chercheurs belges, alors que le PIB d’un pays aurait une incidence directe sur les chances de survie à un cancer de ses citoyens.

Une inégalité scandaleuse, mais qui s’avère malheureusement vérifiable, selon le Dr Ades qui commente l’étude dans un communiqué. Il s’agirait d’une réalité encore plus grave en ce qui a trait au cancer du sein.

« Le cancer du sein est le meilleur exemple des avantages du dépistage du cancer. Ainsi, il a été prouvé que le dépistage réduit la mortalité. Nous avons vu que le lien entre le niveau de vie et les dépenses de santé avec le taux de mortalité du cancer du sein était bien plus élevé que pour les autres cancers (…) Par ailleurs le ratio décès sur cas diagnostiqués de cancers du sein reste plus faible dans les pays d’Europe de l’Ouest que dans les pays d’Europe de l’Est », résume le Dr Ades.

Top Santé dévoile d’autres chiffres qui reflètent cette triste cause à effet partout dans le monde, et on constate l’impact direct de l’argent investi en santé par habitant sur les chances de survie de celui-ci, à la suite d’un diagnostic de cancer.

Ces conclusions ont été publiées dans la plus récente parution du Annals of Oncology.

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Les hommes mariés ont plus de chances de survivre à un cancer

La théorie avait déjà été avancée il y a quelque temps, et voilà qu’une nouvelle étude la confirme : les hommes mariés auraient bel et bien plus de chances de survivre à un cancer.

C’est ce que rapporte Santé Log, qui propose les conclusions avancées par une équipe de chercheurs américains et publiées dans le Journal of Clinical Oncology.

De plus en plus, on reconnait les choix et le style de vie comme étant des facteurs primordiaux sur la santé. Vivre en solitaire, par exemple, aurait une incidence sur la durée de vie, les célibataires endurcis voyant leur longévité s’abréger, statistiquement parlant.

L’inverse serait donc aussi vrai, c’est-à-dire que les personnes mariées auraient de meilleures chances de vivre plus longtemps. Dans le cas des hommes, cette conclusion permet de croire que ceux qui vivent en relation ou qui sont mariés ont plus de chances de battre le cancer.

L’équipe de Harvard a étudié les cas de milliers de patients en oncologie, et après avoir analysé les données associées aux différents styles de vie, elle conclut que les hommes mariés ont trois fois plus de chances de survie à la suite d’un diagnostic de cancer.

Une statistique absolument éloquente, qui confirmerait encore une fois à quel point les décisions prises au cours d’une vie influencent plusieurs aspects de la santé d’un individu… et ses chances de survie.