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Une autre étude accorde une plus grande longévité aux végétariens

Une autre bataille de la guerre opposant les amateurs de viande et les végétariens vient d’être gagnée par ces derniers, selon Nutrition News, alors qu’une nouvelle étude sur le sujet accorde encore une fois plus de chances à ceux-ci de vivre plus longtemps.

C’est ce qui ressort, et de façon éclatante, d’une recherche effectuée par des chercheurs de l’Université Loma Linda en Californie.

Les chercheurs américains ont suivi les cas de plus de 70 000 personnes, tous membres d’un regroupement qui prône le végétarisme, sur une période de près de six ans.

Après avoir compilé les données, incluant les types de repas ingérés par les participants, l’équipe de spécialistes conclut que le groupe des végétariens a subi 12 % moins de décès que celui des carnivores.

On parle notamment de 19 % moins de chance de mourir d’un problème cardiovasculaire et d’une réduction des risques de mort par une dysfonction des reins, par exemple, ou encore du diabète. Voilà quelques exemples qui ont semblé tous pencher en faveur des végétariens.

Les risques de développer un cancer, cependant, ont semblé être les mêmes chez les deux groupes.

Pour terminer, l’incidence de la viande et du végétarisme semble affecter davantage les hommes que les femmes!

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Pourquoi bébé n’a-t-il pas peur des hauteurs?

Ce n’est pas avant l’âge d’environ 9 mois qu’un bébé commencera à comprendre le danger de se « lancer » dans le vide.

Par exemple, il saisira qu’il ne faut pas rouler en bas de la table à langer ou qu’il ne doit pas aller dans les marches. Avant cet âge, les petits sont de véritables casse-cou!

Selon une nouvelle étude publiée dans le Psychological Science, une revue de l’Association for Psychological Science, les nourrissons développent la peur des hauteurs à la suite de leurs expériences mobiles dans leur environnement.

Alors qu’il s’agit d’une habileté essentielle à la survie, des chercheurs ont tenté de déterminer pourquoi elle n’était pas développée plus tôt.

En plaçant les enfants près d’un vide virtuel, dans ce cas une table recouverte de verre qui révélait l’étage en dessous, plutôt que d’en avoir peur, ils se sont montrés captivés par le vide.

Les chercheurs présument que cette période d’intrépidité pourrait servir à explorer notre environnement et à l’élaboration de stratégies de déplacement, ce qui aide à s’adapter au terrain. Étrangement, les chutes et blessures liées à cette inhibition ne jouent aucun rôle sur le développement de la crainte.

« Paradoxalement, une tendance à explorer des situations à risque peut être l’une des forces du développement des compétences », écrivent les chercheurs.

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L’influence de la lune sur le coeur serait bien réelle

La pleine lune et ses effets sur l’être humain sont bien connus, et ce, depuis la nuit des temps. Or, il ne s’agit en fait que de théories, puisqu’elles sont souvent rejetées par la communauté scientifique qui n’aime pas ce genre d’histoires.

Voilà maintenant que certains spécialistes, dont des chirurgiens, avouent être en mesure de tracer et d’admettre un lien entre le cycle de lune, particulièrement la pleine lune, et des réactions cardiaques, selon le Daily Mail (UK).

Ces révélations et observations sont compilées dans une étude, effectuée à l’hôpital du Rhode Island, qui a suivi 210 patients entre 1996 et 2011.

Tous ces patients ont subi une chirurgie sérieuse à un moment ou à un autre, et la tendance tend à démontrer que ceux qui ont eu la « chance » de se retrouver sur la table d’opération alors que la lune est à son plus faible avaient de meilleures statistiques de survie.

« On a découvert que les chances de mourir des suites d’une procédure étaient grandement réduites durant la décroissance de la lune… », explique entre autres le chirurgien cardiothoracique et chercheur en chef, Frank Sellke.

Bien que plusieurs personnes n’acceptent carrément pas l’existence du phénomène, on est en droit de se demander combien d’autres théories concernant les effets de la lune pourraient être confirmées si celle-ci s’avère exacte!

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L’huile d’olive améliorerait les chances de survivre à un cancer de la prostate

Les huiles végétales obtiennent encore une belle presse ces temps-ci, alors que leurs bienfaits semblent s’empiler et se confirmer à un rythme effarant.

Il semble difficile de ne pas faire le choix des huiles végétales, donc, et notamment de l’huile d’olive. Cette dernière, rapporte Santé Log, est d’ailleurs vantée dans une nouvelle étude qui parle d’amélioration des chances de survie à un cancer de la prostate chez les patients qui en consomment.

On vante également les huiles extraites de noix, mais l’huile d’olive semble avoir un effet particulièrement efficace contre le cancer de la prostate. Un effet qui contribue à de meilleures chances de guérison, mais aussi à faire baisser les risques de développer la maladie, croient les chercheurs de l’Université de San Francisco qui publient cette plus récente recherche sur le sujet.

On risque d’entendre parler des bienfaits de ces huiles encore longtemps, car on commence à peine à sensibiliser la population à leurs bienfaits, spécialement en cuisson des aliments. 

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Plus de diagnostics de cancer, mais aussi plus de rémissions au Québec

La hausse des diagnostics de cancer au Québec a de quoi rendre les citoyens nerveux, mais il faut d’abord comprendre que ces chiffres sont notamment explicables par le vieillissement global de la population.

De plus, la statistique va de pair avec celle concernant les taux de rémissions, qui sont aussi en hausse! Plus de diagnostics de cancer, donc, mais aussi plus de guérisons.

Avec une prévision de près de 50 000 nouveaux cas de cancer en 2013 au Québec, dont 20 000 décès, les chances de survie s’élèveraient donc maintenant à plus de 60 %.

Le cancer de la prostate et de la thyroïde sont même passés au-delà de la barre des 90 % de chance de survie, selon ce que rapporte Radio-Canada.

La Société canadienne du cancer demeure donc optimiste face à ces taux de succès, mais rappelle l’importance de ne pas fumer, alors que de plus en plus de jeunes commenceraient à découvrir les joies du tabagisme, comparativement aux dernières années.

« C’est malheureux à dire, mais on est peut-être en train de remplacer une génération de fumeurs par une autre. Donc, les gains qu’on avait peut-être réalisés au cours des dix dernières années, on va peut-être les perdre. Le tabagisme continue d’ailleurs à distinguer le Québec et l’est du pays », lance André Beaulieu, de la Société canadienne du cancer.

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Plus de chance de survivre à son opération lors d’un jour ouvrable?

Santé Log rapporte un phénomène aussi surprenant qu’inquiétant, alors que des chercheurs britanniques affirment avoir décelé des variations de statistiques des chances de survie selon le jour d’une intervention.

Ainsi, les chercheurs de l’Imperial College croient pouvoir affirmer qu’il est plus risqué de se faire opérer durant le week-end. On parle même d’une hausse de 9 % des risques par jour, à mesure que la fin de semaine approche.

Les conclusions des chercheurs en tête de l’étude ont été publiées dans le fameux BMJ Open et risquent de faire jaser la communauté médicale ainsi que les patients.

Les raisons avancées pour expliquer « l’effet week-end » sont la réduction du personnel lors des fins de semaine en centre hospitalier, la baisse d’énergie et de concentration des médecins sur place, qui sont de surcroît souvent des praticiens avec moins d’expérience…

On croit donc que le lundi serait la journée idéale pour se faire opérer, alors que les chances de survie diminueraient à mesure qu’approche le vendredi.

Une équipe de médecins canadiens, basés à Toronto, vient de confirmer l’existence d’un « effet week-end », comme quoi le phénomène ne se limite pas à l’Angleterre.

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Les hommes mariés auraient plus de chances de survivre à un cancer de la prostate

Mauvaise nouvelle pour les célibataires endurcis, alors que le Daily Mail (UK) rapporte une étude qui révèle des statistiques étonnantes en matière de chances de survie après un diagnostic de cancer de la prostate, et selon votre état civil.

Ainsi, on apprend que les hommes mariés auraient jusqu’à 40 % moins de chances de mourir de ce cancer que leurs homologues célibataires.

Attention, on précise ici que les chercheurs canadiens en tête de l’étude parlent d’un mariage heureux, et non nécessairement de toutes les unions maritales.

On expliquerait le phénomène par plusieurs facteurs, à commencer par le fait que les hommes mariés seraient davantage poussés à subir des tests de prévention et à parler de leurs problèmes de santé que lorsqu’ils sont célibataires.

Ces révélations vont dans le même sens que plusieurs autres études sur les relations, qui affirment qu’il existe des bénéfices nets sur la santé à être dans une relation stable et heureuse, plutôt que de vivre seul.

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Boire de l’alcool n’influencerait pas les chances de survivre à un cancer du sein

Une nouvelle étude surprend en concluant que la consommation d’alcool n’a pas de réelle incidence négative sur les chances de survie d’une patiente atteinte d’un cancer du sein, rapporte CNN.

Plus encore, les chercheurs en tête de l’étude croient plutôt que si l’alcool influence le taux de survie des femmes aux prises avec la maladie, ce serait plutôt à la hausse!

« Les résultats de l’étude montrent qu’il n’y a pas de relation négative entre la consommation d’alcool avant le diagnostic et les chances de survie du cancer du sein. »

« On a en fait découvert qu’en opposition aux femmes qui ne boivent pas, celles qui buvaient de façon modérée affichaient un taux de survie modestement supérieur », résume Polly Newcomb, qui dirige le programme de prévention du cancer du Fred Hutchinson Cancer Research Center de Seattle.

Les femmes qui reçoivent un diagnostic de cancer du sein pourraient donc continuer à boire de l’alcool avec modération, si l’on en croit ces conclusions, mais il est important de rappeler que plusieurs autres études associent la consommation d’alcool à des risques accrus de développement de la maladie (prédiagnostic).

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Le tabagisme influence aussi le taux de survie du cancer du côlon

On apprend par The National Library of Medicine que les taux de survie à la suite d’une opération pour un cancer du côlon sont grandement influencés à la baisse chez les fumeurs.

Sur une période donnée de trois ans, les statistiques de survie et de rémission complète après une ablation partielle du côlon se chiffreraient à 74 % chez les non-fumeurs, contre 70 % pour les fumeurs.

Une autre bonne raison pour arrêter de fumer, croit Amanda Phipps, auteure de l’étude et spécialiste au Fred Hutchinson Cancer Research Center de Seattle.

« Il y a une différence. Les pronostics chez les fumeurs sont plus sombres. Les effets du tabagisme peuvent s’étendre au-delà du risque accru de cancer du côlon, mais aussi sur la suite des choses après un diagnostic. C’est bien lorsque les recherches dressent un portrait constant concernant la santé publique », déclare Phipps, en faisant référence aux nombreuses campagnes anti-tabac et à la lutte constante au tabagisme dans nos sociétés.

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Des vies prolongées grâce à un virus modifié

Le magazine britannique Nature Medicine a publié un rapport qui relate certains tests concluants effectués sur des patients atteints du cancer du foie, qui ont vu leur vie être prolongée grâce à une nouvelle percée médicale prometteuse.

De fait, ce sont 30 patients en phase terminale de la maladie qui ont reçu le traitement, que l’on décrit comme un virus modifié capable de cibler les cellules cancéreuses.

C’est clairement la nouvelle approche de la communauté scientifique en matière de cancer, c’est-à-dire de créer des éléments qui peuvent « tuer » les cellules cancéreuses.

On a pu observer que les patients qui avaient reçu des doses importantes de ce virus modifié, appelé Pexa-Vec, ont prolongé leur vie de 7 à 14 mois en moyenne, selon les sujets.

« C’est la première fois dans l’histoire de la médecine que nous avons pu montrer qu’un virus issu du génie génétique pouvait améliorer la survie de patients atteints du cancer », lance David Kim, coauteur des recherches.

La chimiothérapie a ses limites, de l’aveu même des spécialistes, et de telles techniques permettraient de combattre sur plusieurs fronts et sur une période de temps plus longue.