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Un traitement pour le coeur pourrait avoir une double utilité

www.nlm.nih.gov rapporte des conclusions tirées par des chercheurs qui croient qu’un médicament couramment employé pour contrôler la haute pression et le rythme cardiaque pourrait avoir une deuxième utilité.

En effet, les spécialistes pensent que le traitement appelé « bêta bloquant » serait également fort utile dans le suivi des patients qui se remettent d’un cancer du poumon.

On observerait une hausse des taux de survie de 22 % chez les patients en rémission qui utilisent ce traitement.

« Ces découvertes étaient les premières, à notre connaissance, démontrant une hausse des taux de survie avec l’utilisation des bêta bloquants parallèlement à la radiothérapie dans les cas de cancer du poumon. Ces résultats laissent présager qu’il y a peut-être un autre mécanisme inexploré qui pourrait aider les patients aux prises avec cette maladie très agressive », déclare le Dr Daniel Gomez, de l’Université du Texas.

Les résultats de ces recherches ont été publiés dans la plus récente édition des Annals of Oncology et laissent présager de nouvelles façons de faire en oncologie dans les cas de cancer du poumon.

Les chercheurs tiennent à spécifier que les statistiques concernant les rémissions et les taux de survie peuvent aussi varier en fonction de l’âge et de la condition physique des patients.

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Meilleures chances de survie en Colombie-Britannique

Les rois de la longévité au Canada en 2011-2012 sont les gens de la Colombie-Britannique, annonce Radio-Canada.

On rapporte une étude du Bureau de l’état civil de la Colombie-Britannique sur le sujet, qui parle d’une légère augmentation de l’espérance de vie moyenne dans la province de l’Ouest, passant de 81,7 ans à 82 ans tout juste.

L’étude propose plusieurs chiffres sur la vie et la mort des citoyens canadiens. On y apprend notamment, et tristement, que le cancer est toujours la cause numéro un de mortalité en Colombie-Britannique, tout comme dans toutes les autres provinces canadiennes.

On note cependant que les taux de mortalité concernant le VIH et le SIDA sont encore en baisse, avec 59 décès en 2011.

La population de la Colombie-Britannique a aussi augmenté, avec un gain de 31 776 citoyens, toujours selon l’étude.

Ces recherches sont effectuées chaque année afin de compiler le plus de statistiques possible sur la mort, les causes de mortalité, la vie ainsi que sa qualité, et les variations de population, afin de mieux réagir aux problèmes sociaux, notamment en santé.

L’espérance de vie ailleurs au Canada était de 80,8, en moyenne, en 2010.

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Meilleures chances de survie en Colombie-Britannique

Les rois de la longévité au Canada en 2011-2012 sont les gens de la Colombie-Britannique, annonce Radio-Canada.

On rapporte une étude du Bureau de l’état civil de la Colombie-Britannique sur le sujet, qui parle d’une légère augmentation de l’espérance de vie moyenne dans la province de l’Ouest, passant de 81,7 ans à 82 ans tout juste.

L’étude propose plusieurs chiffres sur la vie et la mort des citoyens canadiens. On y apprend notamment, et tristement, que le cancer est toujours la cause numéro un de mortalité en Colombie-Britannique, tout comme dans toutes les autres provinces canadiennes.

On note cependant que les taux de mortalité concernant le VIH et le SIDA sont encore en baisse, avec 59 décès en 2011.

La population de la Colombie-Britannique a aussi augmenté, avec un gain de 31 776 citoyens, toujours selon l’étude.

Ces recherches sont effectuées chaque année afin de compiler le plus de statistiques possible sur la mort, les causes de mortalité, la vie ainsi que sa qualité, et les variations de population, afin de mieux réagir aux problèmes sociaux, notamment en santé.

L’espérance de vie ailleurs au Canada était de 80,8, en moyenne, en 2010.

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Le tamoxifène serait plus efficace sur une période de dix ans

Le tamoxifène est un traitement bien connu contre le cancer du sein, et ses bienfaits sont reconnus par l’ensemble de la communauté scientifique.

Voilà que l’on apprend, via santelog.com, que le traitement serait bien plus efficace lorsqu’utilisé sur une période de dix ans, au lieu des cinq années de traitement normalement offertes.

Ces conclusions ont été publiées dans la plus récente édition de Lancet, la même publication qui avait précédemment confirmé les effets du tamoxifène sur une période de cinq ans.

Cette fois, des chercheurs de l’Université Oxford (en collaboration avec d’autres instituts de recherche) ont analysé les dossiers de deux groupes de patientes. Le premier groupe a été traité au tamoxifène durant cinq ans, et le deuxième pendant dix ans.

On a recensé un nombre évident de cas en moins de récidives et de décès pour le groupe des « dix ans », contrairement à ceux des « cinq ans ».

D’autres études sont à prévoir sur le sujet, mais les chercheurs pensent pouvoir affirmer dès maintenant que les femmes, notamment celles diagnostiquées très tôt, devraient être traitées au tamoxifène durant une décennie, même après la disparition prétendue de la maladie.

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Le Liverpool Care Pathway – une euthanasie utilisée même chez les nouveau-nés

Le Liverpool Care Pathway est scruté à la loupe, à la suite de révélations choquantes de la part d’un médecin qui a souhaité demeurer dans l’anonymat.

En fait, à priori, le processus vise à mettre fin à la vie d’un vieillard dont les jours sont comptés. Il s’agit de lentement le priver de l’hydratation et des nutriments qui sont injectés par intraveineuse. Ce procédé permet une mort rapide (10 jours) et sans souffrance.

Cependant, le gouvernement britannique a ordonné qu’une enquête indépendante soit effectuée à la suite des déclarations d’un médecin. Dans l’article publié, selon telegraph.co.uk, des détails poignants y sont décrits sur les changements physiques atroces subis par les nourrissons, qui « rapetissent et se dessèchent ».

Bien que 130 000 personnes âgées meurent chaque année de cette façon, les familles des vieillards ou des nourrissons qui subissent le Liverpool Care Pathway ne sont jamais préparées voir ça.

En plus, comme le mentionne le médecin en question, « ils sont déjà en état de choc, puisque leur proche chéri mourra. Il est insupportable pour eux de le voir ainsi dépérir ».

L’autre préoccupation du gouvernement est que les familles ne sont pas toujours avisées que les nourrissons mourants sont soumis à ce processus. La grande majorité représente des nouveau-nés atteints d’anomalies génétiques.

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Un médicament efficace contre le cancer du cerveau

TopSanté rapporte que des chercheurs ont découvert de nouvelles propriétés encourageantes à un médicament déjà connu par les spécialistes en oncologie à travers le monde.

Pour nous, l’Avastin n’est pas si familier, mais il pourrait s’agir d’un nom à retenir. Produit par l’industrie Roche (au cœur d’un possible scandale concernant le Tamiflu, cet antidote contre la grippe), le médicament avait déjà démontré de belles qualités dans le traitement de plusieurs cancers, dont celui du poumon, du sein et colorectal.

Cette fois, les chercheurs croient que l’Avastin pourrait être efficace également contre un type de cancer du cerveau très agressif. Les cas de glioblastomes sont dévastateurs, et les médecins espèrent pouvoir utiliser le médicament pour des cas similaires.

Combiné à la chimiothérapie et à la radiothérapie, l’Avastin permettrait d’abaisser les risques de mortalité de 36 %, selon les chercheurs, par rapport à groupe-test qui n’a subi que de la chimiothérapie (et placebo).

Le taux de survie global passerait ainsi à 72 %, ce qui est encourageant.

Les résultats finaux de ces études seront présentés en 2013, au congrès annuel de la Société de neuro-oncologie qui se déroule à Washington.

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Plus de chance de survivre à un arrêt cardiaque à l’hôpital maintenant qu’avant

Les patients qui subissent un arrêt cardiaque et qui sont déjà dans un centre hospitalier ont beaucoup plus de chances de survivre à l’incident qu’avant, rapporte www.nlm.nih.gov.

C’est ce que révèle une nouvelle étude sur le sujet, qui analyse les données recueillies en centre hospitalier depuis le tournant des années 2000.

Les chercheurs constatent une forte amélioration du taux de survie suivant un arrêt cardiaque, la courbe entre 2000 et 2009 affichant une progression constante (pour le mieux). On parle maintenant de 22 % de chances de survie après un arrêt cardiaque, contre 14 % seulement il y a dix ans.

Également, encore au chapitre des bonnes nouvelles, il semble que les séquelles et conséquences après un arrêt cardiaque à l’hôpital soient aussi moins fréquentes que jadis.

Dr Saket Girotra, de la division des maladies cardiovasculaires de l’University of Iowa Hospitals and Clinics, explique : « Nous observons que les chances de survie dans de tels cas se sont améliorées, et ce, pour deux raisons. D’abord, les praticiens font un meilleur travail en réanimation, et ils deviennent aussi meilleurs quand vient le temps de prodiguer les soins urgents à la suite d’une réanimation ».

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Plus de chances de survivre à un arrêt cardiaque selon la classe sociale

Même s’il semble discriminatoire de tenir de tels propos, www.nlm.nih.gov avance une étude qui prétend que les chances de survie lors d’un arrêt cardiaque peuvent varier selon l’endroit où vous vous trouvez et votre classe sociale.

En fait, il semble que les gens issus ou résidants d’un milieu plus aisé soient plus enclins à tenter des manœuvres de réanimation (RCR) sur une victime que les autres.

La Dre Comila Sasson, de l’école de médecine de l’Université du Colorado, résume : « L’endroit où vous aurez une crise cardiaque aura un impact sur vos chances de survie, et celles-ci peuvent même varier selon le côté de la rue où vous vous trouvez. Il s’agit d’un phénomène psychosocial et économique réel ».

Chaque année en Amérique, plus de 300 000 personnes sont victimes d’un arrêt cardiaque, et l’endroit où la crise se produit influence les chances de voir un pur étranger leur venir en aide.

Plus de 14 225 de ces cas ont été étudiés, tous en milieux urbains, et la moyenne statistique des chances qu’un inconnu tente des manœuvres de réanimation seraient de 29 %. Celles-ci passeraient à 55 % dans les quartiers les plus favorisés, un écart très significatif.

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Le taux de survie après une anesthésie générale s’améliore grandement

Le nombre de personnes qui survivent à une opération sous anesthésie générale s’améliore constamment depuis les 50 dernières années, estime un rapport canadien repris par le site nlm.nih.gov.

L’amélioration s’est fait sentir à travers le monde entier, même si les statistiques s’appliquent davantage aux pays les plus développés. Ainsi, il semble que le pourcentage de mortalité relié à l’anesthésie générale ait chuté de 90 % depuis 1970.

« Les anesthésies sont de plus en plus sécuritaires, et cela ne devrait que continuer de s’améliorer », affirme le Dr Daniel Bainbridge, du département d’anesthésie de l’Université Western Ontario.

Du même souffle, il note qu’il est de la responsabilité mondiale de s’assurer que de telles statistiques puissent également s’appliquer aux pays en voie de développement. « Les efforts sont en route, mais devraient être appuyés de façon plus convaincante », ajoute-t-il.

L’étude analysait plus de 21,4 millions de cas d’anesthésie générale dans le monde entier. Les conclusions tirées démontrent que même si de plus en plus d’opérations complexes et potentiellement mortelles sont pratiquées, les chances de mourir sous anesthésie générale sont 90 % moins grandes qu’auparavant.

De meilleurs traitements et médicaments, une science de la médecine qui avance constamment et le souci de sécurité des patients de la part des médecins et praticiens sont tous des facteurs qui contribuent à augmenter les chances de survie durant une anesthésie générale.

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Aspirine : une alliée de choix pour les hommes avec le cancer de la prostate

Après une chirurgie et de la radiothérapie, la prise d’aspirine augmente le taux de survie des patients avec un cancer de la prostate. C’est ce que révèle une étude publiée dans le Journal of Clinical Oncology.
 
Déjà, l’aspirine était liée à un meilleur taux de survie du cancer du côlon. Pour certains scientifiques, la prise d’aspirine devrait être insérée dans les mesures de prévention du cancer puisque jusqu’à présent, on y trouve des bénéfices non négligeables.
 
6000 hommes avec un cancer de la prostate ont été suivis pour la présente recherche. Après dix ans, le taux de mortalité était beaucoup moins élevé chez ceux ayant pris l’aspirine, soit 3 % contre 8 % dans le groupe n’ayant pas eu l’aspirine.
 
Ce médicament aurait la faculté de prévenir la croissance tumorale. De fait, il réduit considérablement les risques de récidives et de métastases osseuses.
 
Plus d’études doivent maintenant être faites afin de trouver l’usage optimal qui devrait être recommandé éventuellement.