Catégories
Uncategorized

Une saine alimentation augmente les chances de survie après un cancer

L’American Cancer Society a lancé un guide pour les survivants du cancer dans lequel on apporte encore une fois la preuve que de saines habitudes de vie réduisent les risques d’une rechute et améliorent donc les chances de survie.
 
Une saine alimentation est la clé pour non seulement améliorer les chances de survie, mais aussi prévenir même l’apparition du cancer.
 
De nombreuses études lient un régime gras et riche en viande rouge à un risque accru de cancer du côlon et de la prostate.
 
Toutefois, une alimentation saine, composée de fruits, légumes, céréales complètes, volailles et poissons, aide à prévenir la maladie. De plus, l’activité physique est aussi une alliée indéniable.
 
Ainsi, dans les nouvelles recommandations contenues dans le guide, on dit de garder un poids raisonnable, de faire de l’activité physique régulièrement, de faire des choix alimentaires sains et de se méfier des compléments alimentaires qui peuvent avoir des effets indésirables chez les survivants du cancer, rapporte la revue Nutrition and Physical Activity Guidelines for Cancer Survivors.
 
Catégories
Uncategorized

Cancer du cerveau pédiatrique : une anomalie chromosomique en cause?

Des cliniciens-chercheurs de l’Université de Nottingham ont découvert qu’un nouveau diagnostic pour permettre aux médecins d’identifier les jeunes qui sont le plus à risque d’avoir une tumeur épendymome (du système nerveux central de type kystique) permettrait d’effectuer un traitement-choc et de sauver davantage de vies.

Malgré des améliorations dans le traitement ces dernières années, le pronostic pour les enfants atteints de ce cancer reste faible – 40 % des enfants touchés meurent encore. La situation s’améliore peu, car jusqu’à aujourd’hui, les médecins n’ont pas été en mesure de prédire avec exactitude quelles étaient les tumeurs qui se comportaient plus agressivement que les autres.

Cette recherche pourrait donc aider les médecins à décider quels enfants avec la tumeur ont un meilleur pronostic et pourraient bénéficier de traitements moins intensifs, ce qui permettrait également de réduire l’exposition des petits à une gamme d’effets secondaires qui peuvent causer des handicaps permanents.

L’étude, qui sera publiée dans la revue Clinical Cancer Research, démontre que des copies anormales du chromosome 1q25 dans les cellules de tumeurs épendymomes ont été associées à un moins bon avenir pour 20 % des enfants malades sur 147 tumeurs observées en Europe. Les résultats auraient également été plus mauvais chez ceux qui ont été traités par chirurgie et chimiothérapie.

Le Dr Richard Grundy, l’un des auteurs de l’étude, espère maintenant que les résultats d’autres analyses en cours dans d’autres pays, comme aux États-Unis, correspondent aux leurs, car si c’est le cas, la présence d’un gain de copies du chromosome 1q25 pourrait tout changer dans l’avenir international sur la planification du traitement de ce cancer pédiatrique.

Catégories
Uncategorized

Cancer neuroblastome : une anomalie génétique n’atteindrait pas les bébés

ATRX est le nom donné au gène de défectuosité (mutation génétique) nouvellement découvert comme étant plus fréquent chez les adolescents et les jeunes adultes que chez les enfants ou bébés atteints par ce cancer du tissu nerveux appelé le neuroblastome.

Ce constat est très important, car ce sont les bébés qui développent le plus souvent ce type de cancer. Habituellement, la maladie est curable et beaucoup moins agressive pour eux que pour un jeune plus âgé, confirme le coauteur Dr Alberto Pappo, directeur de la division tumeur solide à l’Hôpital de recherche pour enfants St. Jude à Memphis, dans la revue de l’American Medical Association.

Il faut dire que la maladie prend une voie différente en fonction de l’âge du patient. Les chercheurs soupçonnent depuis longtemps qu’il existe différents sous-ensembles susceptibles de neuroblastome. Selon eux, des mutations génétiques différentes peuvent expliquer les différences dans le pronostic selon l’âge.

Pour arriver à ces hypothèses, l’analyse du génome entier sur des échantillons tumoraux provenant de 104 nourrissons, enfants, adolescents et jeunes adultes atteints d’un neuroblastome avancé a été examinée.

Les chercheurs ont découvert que des mutations dans le gène ATRX étaient présentes chez la totalité des adolescents et jeunes adultes. Seulement 17 % des enfants de moins de 12 ans avait cette même mutation, et aucun des nouveau-nés testés ne l’avait.

Pour les chercheurs de cette étude préliminaire, cette découverte est un très bon début pour ouvrir la voie à de futures cibles thérapeutiques potentielles et vérifier si la mutation peut être associée à une meilleure survie.

Environ 90 % des neuroblastomes touchent les enfants de moins de 10 ans. Au moment du diagnostic, le taux de survie est évalué à 88 % pour les bébés de moins de 18 mois et à 10 % chez les adolescents et les jeunes adultes, selon l’information fournie dans l’étude.

Catégories
Uncategorized

Un mariage heureux est bon pour le coeur

Un mariage heureux est bon pour le cœur, rapporte le journal The Health Psychology.
 
Les personnes mariées et heureuses qui ont subi une chirurgie cardiaque s’en sortent mieux que les personnes malheureuses ou célibataires.
 
L’étude menée à l’Université de Rochester aux États-Unis démontre que 83 % des femmes mariées et heureuses en ménage qui avaient eu un pontage ont survécu 15 ans, comparativement à seulement 28 % de celles malheureuses en union et 27 % des célibataires.
 
Les experts croient que le fait d’être marié encourage à adopter de saines habitudes de vie. De plus, le bonheur au sein du couple est synonyme de beaucoup moins de stress également. Cela est donc bon pour le cœur et la santé en général.
 
Par le passé, on a démontré qu’une union heureuse pouvait aussi augmenter l’espérance de vie.
 
Catégories
Uncategorized

Les personnes religieuses seraient plus heureuses

En cas de conflits ou de difficultés, les personnes religieuses arriveraient mieux à survivre et à continuer à être heureuses que les personnes athées.

C’est ce qui ressort d’une étude de l’University of Illinois parue dans le Journal of Personality and Social Psychology.

Les chercheurs ont analysé des données recueillies entre 2005 et 2009 auprès de personnes provenant de 150 pays. Elles parlaient de leur religion, du soutien affectif qu’elles avaient et de leur satisfaction de la vie.

Apparemment, la religion apporterait un soutien affectif en cas de besoin, et les croyants se sentiraient valorisés et auraient moins de sentiments négatifs.

Des données qui seront fortement questionnées par d’autres chercheurs. Mais nous le savons, la religion est l’un des thèmes qui peuvent soulever les passions et les confrontations.</pas de conflits ou de difficultés, les personnes religieuses arriveraient mieux à survivre et à continuer à être heureuses que les personnes athées.

C’est ce qui ressort d’une étude de l’University of Illinois parue dans le Journal of Personality and Social Psychology.

Les chercheurs ont analysé des données recueillies entre 2005 et 2009 auprès de personnes provenant de 150 pays. Elles parlaient de leur religion, du soutien affectif qu’elles avaient et de leur satisfaction de la vie.

Apparemment, la religion apporterait un soutien affectif en cas de besoin, et les croyants se sentiraient valorisés et auraient moins de sentiments négatifs.

Des données qui seront fortement questionnées par d’autres chercheurs. Mais nous le savons, la religion est l’un des thèmes qui peuvent soulever les passions et les confrontations.

Crédit photo : dan / FreeDigitalPhotos.net

Catégories
Uncategorized

L’exercice régulier aide à vaincre le cancer

L’exercice régulier comme la marche, la natation ou le cyclisme est non seulement bon pour garder la forme, mais les patients atteints d’un cancer qui demeurent actifs voient leur chance de survie grandement améliorée. 

L’étude rapportée par MedicMagic et effectuée auprès de cancéreux montre que ceux qui s’entraînaient pendant et après les traitements anti-cancer avaient un taux de survie plus élevé et un taux de récidive moindre que ceux qui étaient moins actifs.
 
On a également démontré que l’activité physique pendant les traitements n’avait pas aggravé l’état de santé des malades, ne causait pas de fatigue, mais aurait plutôt eu des effets positifs sur l’humeur et le bonheur.
 
Après les traitements, l’exercice diminue l’incidence des effets secondaires comme l’anxiété, la dépression, la fatigue et les perturbations du poids.
 
Les femmes atteintes d’un cancer du sein qui pratiquaient une activité physique environ 150 minutes par semaine, à une intensité modérée, ont réduit les risques de décès et de récidive de 40 %.
 
Catégories
Uncategorized

L’activité physique pour prolonger la vie avec un cancer du cerveau

Le Journal of Clinical Oncology nous apprend que la pratique régulière d’une activité physique modérée peut prolonger l’espérance de vie des patients avec un cancer du cerveau.
 
243 personnes ont participé à une étude américaine sur le sujet. Elles avaient toutes un gliome malin récurrent.
 
En faisant une activité comme de la marche vigoureuse 30 minutes, cinq fois par semaine, les personnes ont pu prolonger leur espérance de vie de 36 %. Pour les plus actifs, on parle d’une survie moyenne de 22 mois après le diagnostic, et de 12 à 13 mois pour les sédentaires.
 
Pour un gliome malin récurrent, on parle habituellement d’un pronostic de 4 à 6 mois. Des médicaments peuvent prolonger jusqu’à un an en moyenne, mais il y a parfois des atteintes neurologiques importantes.

L’activité physique semble également améliorer la qualité de vie des patients, en plus de freiner la progression de la maladie.

Catégories
Uncategorized

Des médicaments contre l’hypertension augmentent la survie au cancer du sein

Les bêtabloquants, couramment utilisés pour combattre l’hypertension artérielle, aident à se remettre d’un cancer du sein.
Selon l’étude rapportée par le Daily Mail, les femmes qui prennent ce type de médicament ont de meilleures chances de survie à la maladie, et ce, sans récidive.
 
Deux études sur le sujet ont démontré les bienfaits de ces médicaments. Dans une première étude, les femmes qui en avaient ont survécu plus longtemps, sans récidive de la maladie, que les femmes qui ne prenaient pas de médicaments contre l’hypertension.
 
Dans la deuxième étude, les femmes avec ce traitement étaient moins susceptibles d’avoir un cancer agressif et d’en mourir.
 
Après trois ans, on a remarqué que 87 % des femmes sous bêtabloquants étaient encore en vie et en santé, comparativement à 77 % chez celles sans médicaments.
 
Maintenant, il reste à prouver le lien entre ces meilleures chances de survie potentielles et les médicaments contre la pression artérielle.
Catégories
Uncategorized

Le meilleur moment pour accoucher

On peut lire dans Obstetrics & Gynecology qu’un accouchement devrait idéalement être prévu au moins à la 39e ou la 40e semaine de grossesse. Les risques de décès de l’enfant en seraient ainsi réduits de moitié.

C’est la conclusion d’une étude américaine ayant porté sur les données de naissance des dernières années. Elle remet en question la perception courante selon laquelle tous les enfants nés entre 37 et 40 semaines de grossesse sont en parfaite santé.
 
Or, en 2006 par exemple, le taux de mortalité a été de 1,9 pour 1 000 naissances à 40 semaines. Quant aux bébés nés quelques semaines plus tôt, soit vers la 37e semaine, il a été de 3,9 sur 1 000 naissances.

On peut donc comprendre, à la lecture de ces taux, qu’un poupon est exposé à des risques beaucoup plus faibles, voire minimes, si la grossesse se poursuit vraiment jusqu’à terme.

Catégories
Uncategorized

Les liens forts entre enfants et grands-parents

Des chercheurs de l’Université Edith Cowan en Australie se sont penchés sur le lien précieux existant entre un enfant et ses grands-parents. On remarque en effet dans nos sociétés la place importante que ces derniers occupent dans la vie de l’enfant, et ce, malgré les différences générationnelles.

On peut donc lire dans Current Directions in Psychological Science que l’évaluation a porté sur différents facteurs, notamment psychologiques, sociologiques et biologiques.
 
Ce qui retient le plus notre attention concerne les causes anthropologiques de cette relation. Il semble en fait que dans les sociétés traditionnelles, l’implication des grands-parents a pu augmenter de manière substantielle les chances de survie durant la petite enfance et l’enfance.
 
Ce comportement humain est partagé par seulement une ou deux autres espèces, dont certaines sortes de baleines. Il semble évident pour les chercheurs que le grand rôle de soutien des grands-parents demeurera au sein des sociétés futures.

On dirigera maintenant les recherches afin de trouver ce qui fait la particularité des grands-parents quant au développement des enfants. Il peut s’agir tout simplement de faire en sorte que l’enfant sait qu’il aura toujours près de lui quelqu’un de confiance sur qui compter.