Des cliniciens-chercheurs de l’Université de Nottingham ont découvert qu’un nouveau diagnostic pour permettre aux médecins d’identifier les jeunes qui sont le plus à risque d’avoir une tumeur épendymome (du système nerveux central de type kystique) permettrait d’effectuer un traitement-choc et de sauver davantage de vies.
Malgré des améliorations dans le traitement ces dernières années, le pronostic pour les enfants atteints de ce cancer reste faible – 40 % des enfants touchés meurent encore. La situation s’améliore peu, car jusqu’à aujourd’hui, les médecins n’ont pas été en mesure de prédire avec exactitude quelles étaient les tumeurs qui se comportaient plus agressivement que les autres.
Cette recherche pourrait donc aider les médecins à décider quels enfants avec la tumeur ont un meilleur pronostic et pourraient bénéficier de traitements moins intensifs, ce qui permettrait également de réduire l’exposition des petits à une gamme d’effets secondaires qui peuvent causer des handicaps permanents.
L’étude, qui sera publiée dans la revue Clinical Cancer Research, démontre que des copies anormales du chromosome 1q25 dans les cellules de tumeurs épendymomes ont été associées à un moins bon avenir pour 20 % des enfants malades sur 147 tumeurs observées en Europe. Les résultats auraient également été plus mauvais chez ceux qui ont été traités par chirurgie et chimiothérapie.
Le Dr Richard Grundy, l’un des auteurs de l’étude, espère maintenant que les résultats d’autres analyses en cours dans d’autres pays, comme aux États-Unis, correspondent aux leurs, car si c’est le cas, la présence d’un gain de copies du chromosome 1q25 pourrait tout changer dans l’avenir international sur la planification du traitement de ce cancer pédiatrique.
ATRX est le nom donné au gène de défectuosité (mutation génétique) nouvellement découvert comme étant plus fréquent chez les adolescents et les jeunes adultes que chez les enfants ou bébés atteints par ce cancer du tissu nerveux appelé le neuroblastome.
Ce constat est très important, car ce sont les bébés qui développent le plus souvent ce type de cancer. Habituellement, la maladie est curable et beaucoup moins agressive pour eux que pour un jeune plus âgé, confirme le coauteur Dr Alberto Pappo, directeur de la division tumeur solide à l’Hôpital de recherche pour enfants St. Jude à Memphis, dans la revue de l’American Medical Association.
Il faut dire que la maladie prend une voie différente en fonction de l’âge du patient. Les chercheurs soupçonnent depuis longtemps qu’il existe différents sous-ensembles susceptibles de neuroblastome. Selon eux, des mutations génétiques différentes peuvent expliquer les différences dans le pronostic selon l’âge.
Pour arriver à ces hypothèses, l’analyse du génome entier sur des échantillons tumoraux provenant de 104 nourrissons, enfants, adolescents et jeunes adultes atteints d’un neuroblastome avancé a été examinée.
Les chercheurs ont découvert que des mutations dans le gène ATRX étaient présentes chez la totalité des adolescents et jeunes adultes. Seulement 17 % des enfants de moins de 12 ans avait cette même mutation, et aucun des nouveau-nés testés ne l’avait.
Pour les chercheurs de cette étude préliminaire, cette découverte est un très bon début pour ouvrir la voie à de futures cibles thérapeutiques potentielles et vérifier si la mutation peut être associée à une meilleure survie.
Environ 90 % des neuroblastomes touchent les enfants de moins de 10 ans. Au moment du diagnostic, le taux de survie est évalué à 88 % pour les bébés de moins de 18 mois et à 10 % chez les adolescents et les jeunes adultes, selon l’information fournie dans l’étude.
En cas de conflits ou de difficultés, les personnes religieuses arriveraient mieux à survivre et à continuer à être heureuses que les personnes athées.
C’est ce qui ressort d’une étude de l’University of Illinois parue dans le Journal of Personality and Social Psychology.
Les chercheurs ont analysé des données recueillies entre 2005 et 2009 auprès de personnes provenant de 150 pays. Elles parlaient de leur religion, du soutien affectif qu’elles avaient et de leur satisfaction de la vie.
Apparemment, la religion apporterait un soutien affectif en cas de besoin, et les croyants se sentiraient valorisés et auraient moins de sentiments négatifs.
Des données qui seront fortement questionnées par d’autres chercheurs. Mais nous le savons, la religion est l’un des thèmes qui peuvent soulever les passions et les confrontations.</pas de conflits ou de difficultés, les personnes religieuses arriveraient mieux à survivre et à continuer à être heureuses que les personnes athées.
C’est ce qui ressort d’une étude de l’University of Illinois parue dans le Journal of Personality and Social Psychology.
Les chercheurs ont analysé des données recueillies entre 2005 et 2009 auprès de personnes provenant de 150 pays. Elles parlaient de leur religion, du soutien affectif qu’elles avaient et de leur satisfaction de la vie.
Apparemment, la religion apporterait un soutien affectif en cas de besoin, et les croyants se sentiraient valorisés et auraient moins de sentiments négatifs.
Des données qui seront fortement questionnées par d’autres chercheurs. Mais nous le savons, la religion est l’un des thèmes qui peuvent soulever les passions et les confrontations.
Crédit photo : dan / FreeDigitalPhotos.net
L’exercice régulier comme la marche, la natation ou le cyclisme est non seulement bon pour garder la forme, mais les patients atteints d’un cancer qui demeurent actifs voient leur chance de survie grandement améliorée.
L’activité physique semble également améliorer la qualité de vie des patients, en plus de freiner la progression de la maladie.
Le meilleur moment pour accoucher
On peut lire dans Obstetrics & Gynecology qu’un accouchement devrait idéalement être prévu au moins à la 39e ou la 40e semaine de grossesse. Les risques de décès de l’enfant en seraient ainsi réduits de moitié.
On peut donc comprendre, à la lecture de ces taux, qu’un poupon est exposé à des risques beaucoup plus faibles, voire minimes, si la grossesse se poursuit vraiment jusqu’à terme.
Des chercheurs de l’Université Edith Cowan en Australie se sont penchés sur le lien précieux existant entre un enfant et ses grands-parents. On remarque en effet dans nos sociétés la place importante que ces derniers occupent dans la vie de l’enfant, et ce, malgré les différences générationnelles.
On dirigera maintenant les recherches afin de trouver ce qui fait la particularité des grands-parents quant au développement des enfants. Il peut s’agir tout simplement de faire en sorte que l’enfant sait qu’il aura toujours près de lui quelqu’un de confiance sur qui compter.