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Le pronostic de survie à un cancer s’améliore avec le temps

Plus une personne survit à un cancer longtemps, plus son pronostic de survie augmente avec le temps.
 
C’est ce que révèle un rapport plutôt encourageant de Statistique Canada. Pour presque tous les cancers, on note une nette amélioration avec le temps.
 
Ainsi, pour le cancer du pancréas, même si le pronostic est de 6 % au moment du diagnostic, il grimpe à 28 % si une personne est encore vivante après un an et va jusqu’à 88 % après une survie de cinq ans.
 
Pour le cancer de l’œsophage, le pronostic au départ est de 13 %, mais après cinq ans, il est de 83 %.
 
Les personnes qui survivent à un cancer du côlon avaient un pronostic de survie initial de 63 %, mais après cinq ans, il grimpe à 97 %.
 
Plus le temps avance après l’annonce de la maladie et plus des chances de survie s’améliorent. La seule exception est pour la leucémie lymphoïde chronique, pour laquelle on note que le pronostic demeure stable à moins de 80 %.
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Les exercices sont bénéfiques contre le cancer de la prostate

Une étude publiée dans le Journal of Clinical Oncology affirme que les hommes avec un cancer de la prostate qui font de l’exercice régulièrement diminuent leurs risques de mourir de la maladie de plus de 50 %.
 
S’ils s’adonnent à des exercices plus rigoureux, les risques diminuent alors de 60 %, mentionnent les chercheurs de l’École de santé publique de Harvard et de l’Université de la Californie qui ont suivi 2 705 hommes avec le cancer et qui ont analysé leur mode de vie.
 
Il est reconnu que l’activité physique réduit le risque de mortalité prématurée de façon générale, mais dans les cas de maladie, les résultats sont encore plus frappants.
 
Que ce soit par la marche, la course à pied ou la natation, l’important est de bouger. Cela renforce notamment le système immunitaire et rend donc le corps plus apte à se défendre devant les infections et les maladies.
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Les patients atteints de cancer ont plus de chances de survie au Canada

Cinq ans après un diagnostic de cancer, le Canada figure dans les premiers rangs des meilleures chances de survie. Nous possédons un taux comparable à l’Australie et la Suède et nous devançons les Danois, les Norvégiens et les Britanniques.
 
The Lancet rapporte que les chercheurs ont examiné les dossiers de 2,4 millions de personnes, surtout en ce qui concerne les cancers du sein, du poumon, du côlon, du rectum et des ovaires.
 
Pour ce qui est du cancer du poumon, 18 % des patients canadiens étaient encore vivants après cinq ans, comparativement à 17 % en Australie, 16 % en Suède et 9 % au Royaume-Uni.
 
Pour le cancer colorectal, le Canada figure aussi parmi les meilleurs, avec 64 % des patients encore vivants après cinq ans. Nous sommes seulement devancés par l’Australie qui a un taux de survie de 66 %.
 
Parmi les provinces canadiennes, c’est l’Ontario qui obtient une des meilleures notes. De plus, la province se classe au troisième rang des douze régions déterminées dans le monde pour le meilleur taux de survie du cancer colorectal et ce n’est que le début, selon le président et PDG d’Action Cancer Ontario, Terrence Sullivan.
 
« Beaucoup de travail nous attend encore. Depuis 2005, le Plan de lutte contre le cancer de l’Ontario a fourni une marche à suivre pour améliorer les services de lutte contre le cancer, et le Plan 2011-2015 poursuit ce progrès avec l’objectif de créer le meilleur système de lutte contre le cancer au monde », dit-il.
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Le massage cardiaque est plus efficace sans le bouche-à-bouche

Le journal JAMA publie une nouvelle étude américaine qui démontre que le massage cardiaque est plus efficace sans le bouche-à-bouche pour réanimer une personne en arrêt cardiaque.
 
C’est la première fois qu’une étude révèle que les chances de survie sont meilleures sans la réanimation cardio-pulmonaire traditionnelle.
 
Le Dr Berg Bobrow et son équipe de l’Université de l’Arizona sont arrivés à cette conclusion après avoir analysé les données recueillies sur les cinq dernières années.
 
À sa sortie de l’hôpital, une personne qui a eu un arrêt cardiaque hors de la structure médicale a 13,3 % plus de chances de survivre si elle n’a reçu que le massage cardiaque sans bouche-à-bouche, comparativement à un taux de survie de 7,8 % pour la personne ayant eu la réanimation traditionnelle et 5,2 % pour celle qui n’a reçu aucune intervention.
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Les pauvres survivent moins au cancer

Les personnes pauvres ont moins de chances de survivre à un cancer que celles plus aisées. C’est la triste conclusion à laquelle parviennent des chercheurs de l’Université Queen, en Ontario, dans leur nouvelle étude.
 
Les experts se sont penchés sur des cas enregistrés de six cancers divers entre 2003 et 2006 et constatent qu’il y a un écart important pour les chances de survie entre les riches et les pauvres pour les cancers colorectaux et du col de l’utérus.
 
Par le passé, une étude américaine expliquait le tout par le fait que les diagnostics étaient faits plus tard pour les personnes démunies. Toutefois, les Ontariens observent qu’il n’en est rien. Selon leur étude, les patients auraient été diagnostiqués au même stade, peu importe leur classe sociale.
 
Ce qui peut désavantager les pauvres serait notamment le fait qu’ils souffrent souvent d’autres maladies pouvant entraver les traitements et que le coût des médicaments nécessaires est trop élevé pour qu’ils puissent se les procurer.
 
Pour le cancer du sein par exemple, 77 % des femmes démunies sont encore en vie après cinq ans alors que ce taux est de 84 % chez les plus riches. Pour le cancer colorectal, le taux de survie est de 52 % pour les démunis et de 60 % chez les plus nantis.
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Nouvelle étude sur les conséquences de l’obésité

Selon une étude publiée en ligne par le British Medical Journal, un excès de poids peut rendre votre avenir misérable avec de nombreux problèmes de santé et des facultés mentales affaiblies.

L’étude révèle que les femmes qui sont en surpoids au milieu de leur vie sont 80 % plus susceptibles de souffrir de problèmes de santé multiples à l’âge de 70 ans.

Les chances de survie diminuent également. Il est dont important que les femmes puissent atteindre un poids santé tôt dans la quarantaine.

Les femmes ayant participé à l’étude n’avaient aucun problème au départ. 20 ans plus tard, seulement 10 % d’entre elles étaient encore en parfaite santé.

Pour chaque kilo (2,2 livres) d’excès de poids, les chances de bonne santé à long terme diminuent de 5 %.

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Meilleur taux de survie chez les prématurés

Une recherche menée auprès de bébés prématurés par une équipe de chercheurs de l’Université de Lund, en Suède, a démontré que le taux de survie de ceux qui sont nés à 23 semaines de gestation était de plus de 50 %.

Les scientifiques attribuent aux avancées de la néonatalogie ces données où le taux de survie a considérablement augmenté comparativement à des recherches antérieures. En effet, plusieurs d’entre elles mentionnaient un taux de survie de 6 à 26 % après un an chez les bébés nés à 23 semaines.

Le taux de survie est toutefois plus faible lorsque la naissance a eu lieu à 22 semaines, alors que la moitié des bébés décèdent dans l’heure qui suit l’accouchement. Les chercheurs ont observé que leur état ne se stabilisait que onze heures après la naissance.

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Les bébés garçons, plus fragiles que les filles

Le quotidien La Presse nous apprend que les poupons de sexe féminin ont un taux de survie plus élevé que celui des bébés mâles.

En effet, les garçons ont 60 % plus de chances de naître prématurément que les filles et de souffrir du syndrome de détresse respiratoire du nouveau-né.

Les chercheurs expliquent ce phénomène par le poids plus élevé des poupons de sexe masculin et à la dimension de leur tête qui est plus grande, ce qui risque de compliquer davantage l’accouchement. D’ailleurs, le taux de naissance par césarienne est plus élevé de 20 % lorsque le bébé est un garçon.

Cet écart entre les sexes a atteint son apogée dans les années 1970 pour ensuite diminuer progressivement grâce aux progrès de la néonatalogie et des soins médicaux prodigués aux enfants.

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Le cancer de moins en moins meurtrier

Selon une étude Eurocare-4, parmi plus de deux millions d’individus atteints du cancer et suivis entre 1995 et 2003 en Europe, 52 % ont survécu au moins cinq ans après le diagnostic.

Les pays où le taux de survie au cancer est le plus élevé sont la Norvège, la Suède et la Finlande.

Les résultats de cette étude, publiée par la revue médicale The Lancet, démontrent que les gens atteints du cancer du foie ou du pancréas ont un taux de survie inférieur à ceux atteint d’autres cancers.

Pour les cancers du sein, de la prostate et colorectal, cancers très fréquents, le taux de survie serait relativement bon, c’est-à-dire au-dessus de 52 %.