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Vincent Leclerc: «Séraphin Poudrier, t’as rocké ma vie»

Ce lundi marquait la fin de la série Les pays d’en haut, alors que l’ultime épisode a été diffusé sur ICI Télé. Le comédien Vincent Leclerc a souligné l’événement en publiant un texte touchant pour ainsi compléter ses adieux au personnage mythique de Séraphin Poudrier qu’il a incarné avec brio pendant 6 belles années.

Il y a quelques semaines, le comédien s’était en effet confié sur le deuil difficile qu’il avait dû faire à la fin des tournages de la dernière saison. Toujours aussi reconnaissant d’avoir pu vivre cette expérience unique en carrière, Vincent Leclerc a voulu saluer toutes les personnes qui ont participé au succès des Pays d’en haut.

C’est d’abord à Claude-Henri Grignon, l’auteur du classique québécois sur lequel est librement inspirée la série, qu’a rendu hommage le comédien.

« La fin de NOTRE petit maillon dans l’oeuvre de Claude-Henri Grignon ayant vu le jour en 1933 avec un premier chapitre: Un homme et son péché […]. Je dis « maillon » parce que cette oeuvre-fleuve se déploie depuis bientôt 90 ans, sous forme de romans, pièces de théâtres, Bds, radio-romans, téléromans, téléséries et films. Et elle continuera certainement à se réinventer bien après notre passage… et c’est très bien ainsi », a indiqué le comédien en dévoilant également en photo une copie du livre autographié par l’auteur.

Vincent Leclerc a bien entendu remercié le réalisateur Sylvain Archambault et l’auteur de la série Gilles Desjardins : « Merci à Sylvain Archambault de s’être battu pour moi dès le départ, puis de m’avoir donné des ailes. Tu as créé tout un western québécois : sale, dur, à la fois loufoque et tendre. Bravo. Et merci à Yann Lanouette-Turgeon et Yan England de nous avoir si bien portés par la suite. Merci aussi à Gilles Desjardins d’avoir su réinventer l’univers de Grignon pourtant déjà si riche. Gilles, tu as façonné une oeuvre bien à toi, moderne et forte, dépourvue de toute nostalgie. Merci de nous avoir poussés aussi loin. Quel plaisir de jouer tes mots. »

Énormément de souvenirs et d’amour se sont bâtis au fil des années, et c’est avec le coeur gros que Vincent Leclerc doit aussi laisser derrière lui toute l’équipe et la distribution qu’il considère comme sa famille.

« Famille avec qui je repartirais à la guerre ‪demain matin‬, sans hésitation aucune. Je vais m’ennuyer de vous et notre  »camp d’été » à Rawdon », a-t-il indiqué.

« J’ai une pensée toute particulière pour Sarah-Jeanne Labrosse, dont le talent n’a d’égal que sa gentillesse et sa rigueur. On s’est tenu la main pendant 6 ans… apprenant, tout comme nos personnages, à se connaître, à se comprendre…et à se faire confiance. Merci wife », a-t-il ajouté.

Le comédien a gardé ses derniers remerciements pour le public qui a soutenu l’émission avec coeur et fidélité : « Merci aux téléspectateurs de nous avoir si tôt adoptés, défendus même…et encouragés pendant ces 6 belles saisons. J’ai lu à peu près tous vos messages et commentaires. Vous avez été extrêmement généreux avec moi, avec nous. »

« Séraphin Poudrier, mon salaud, t’as rocké ma vie », a finalement conclu Vincent Leclerc.

Il n’y avait pas là de meilleurs mots de fin!

En coulisses

Psst : Rémi-Pierre Paquin, alias Bidou Laloge dans Les pays d’en haut, a aussi voulu rendre hommage à la série en partageant une série de photos souvenirs.

Tout comme Sarah-Jeanne Labrosse.

Crédit:Story Instagram Sarah-Jeanne Labrosse
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«Les pays d’en haut»: Un deuil difficile à faire pour Vincent Leclerc

Alors que la toute dernière saison des Pays d’en haut est diffusée sur ICI Télé, la distribution de la populaire série historique doit cette fois véritablement faire son deuil. C’est notamment le cas pour Vincent Leclerc, qui a interprété avec brio le mythique personnage de Séraphin Poudrier.

Ce dernier n’a pas manqué de souligné au magazine 7 Jours à quel point il a été difficile pour lui de tourner la page de ce chapitre important dans sa carrière.

« Je dois avouer que ça a été un immense deuil de dire au revoir aux Pays d’en haut, parce que ça fait six ans qu’on fait cette série. Je sais pertinemment — et ce n’est pas parce que je suis pessimiste; je suis plutôt réaliste — que je n’aurai plus jamais ce type de projet dans ma vie. Il se fait de moins en moins de séries historiques à gros budget, et encore moins avec une équipe comme celle qu’on avait: on avait 30 formules 1! […] En plus, la partition qu’on m’a écrite n’avait aucun bon sens! J’ai été vraiment choyé: on passait du grotesque au très tendre, du dramatique au loufoque… Tout ça ensemble, ça ne se reproduira pas », a-t-il laissé entendre.

Et dire qu’il a bien failli ne pas jouer ce rôle! C’est en effet le réalisateur Sylvain Archambault qui a insisté pour que le comédien soit Séraphin après qu’il soit venu passer une audition pour un autre rôle dans la série.

C’est pourquoi Vincent Leclerc est si reconnaissant d’avoir pu vivre cette expérience unique qui lui a permis de briller auprès du public, mais aussi de son milieu.

« Ce rôle a changé ma vie. Il a changé non seulement le regard du public sur moi, mais aussi, je crois, le regard des gens de l’industrie, des réalisateurs et des diffuseurs. Je dirais aussi que ce rôle a changé ma façon de travailler. J’ai gagné en confiance et en aisance, car j’ai été appelé à prendre des risques, à essayer différentes choses. Alors oui, ça m’a changé complètement! », a soutenu le comédien.

On a en effet très hâte de voir le prochain projet de Vincent Leclerc, car on n’a effectivement aucune envie qu’il disparaisse de nos écrans!

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Sylvain Archambault quitte « Mensonges 4 »

Sous les feux des projecteurs, Sylvain Archambault se rétracte.

Comme nous le rapporte La Presse, Sylvain Archambault abandonne la réalisation de Mensonges 4 à la suite des allégations d’inconduites dont il est la cible.

C’est par voie de communiqué que le réalisateur québécois a annoncé la nouvelle.

Ce serait « en dépit de son intention »  que le réalisateur aurait « pris la difficile décision, après discussions avec la productrice de la série de se retirer immédiatement » de la saison 4 de la série Mensonges.

Sylvain Archambault, qui a entre autres réalisé la série Les pays d’en haut,  a dernièrement reconnu que ces différentes allégations, qui lui prêtent un comportement déplacé sur les plateaux de tournages, comprenaient une part de véracité.

Une nouvelle ? : scoop@buminteractif.com

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Sylvain Archambault présente ses excuses et demande clémence

Il y a presque une semaine maintenant, le reportage détaillant les témoignages d’au moins une vingtaine de victimes et de témoins contre Sylvain Archambault sortait au grand jour ses pratiques douteuses sur les plateaux de tournage. Les allégations d’inconduite sexuelle qui pèsent contre le réalisateur ont alors forcé l’arrêt du tournage de Mensonges 4, jusqu’à ce que lumière soit faite sur ces témoignages troublants. Sylvain Archambault avait vivement démenti les accusations de harcèlement sexuel lorsqu’il s’était entretenu avec les journalistes Katia Gagnon et Stéphanie Vallet, mais le ton du réalisateur semblait avoir changé dans la longue publication qu’il a publiée hier sur son profil Facebook.

Sylvain Archambault y présente ses excuses, sans toutefois concéder que ses pratiques controversées ne puissent être confondues avec du harcèlement sexuel. Celui qui a réalisé entre autres Les pays d’en haut et Cheval-Serpent demande maintenant qu’on lui accorde une seconde chance en le laissant poursuivre son travail sur Mensonges 4. Lisez sa publication dans son intégralité :

« Je m’excuse

On a fait grand état au cours des derniers jours d’allégations me concernant. Bien que plusieurs de celles-ci doivent être nuancées, certains témoignages rapportés ont un fondement de vrai. Toutefois, je n’ai jamais posé un geste désobligeant à caractère sexuel.

D’entrée de jeu, j’aimerais dire à ceux et celles qui ont pu se sentir humiliés par mes propos ou blessés par des gestes déplacés, que je n’ai jamais, au grand jamais, eu l’intention de le faire. Si ce fut le cas, je m’en excuse profondément.

Il est vrai que j’ai fait usage dans toute ma carrière d’un langage ou poser des gestes qui appartiennent à une autre époque. Aucun cependant ne peut justifier de me qualifier d’agresseur ou d’harceleur sexuel. Je reconnais que nous sommes dans une ère nouvelle et que j’aurais dû changer mes façons de faire en conséquence. Toutefois, ces comportements étaient sans malice, ni mauvaises intentions.

Mon métier en est un d’émotions. Que ce soit lors d’un casting ou lors d’un tournage, il a toujours été pour moi primordial d’obtenir le meilleur de tous ceux et celles qui m’entouraient. Oui, j’ai provoqué ! Oui, j’ai forcé des émotions ! Oui, j’ai poussé des comédiens et comédiennes à puiser au plus profond d’eux-mêmes. Jamais, je n’aurais cru que mes stratégies, utilisées pour le seul et unique bien du projet sur lequel je travaillais, pourraient blesser certaines personnes de mon entourage (comédiens, techniciens, figurants etc.). Bien que la plupart aient saisi ma bonne intention, je constate avec beaucoup d’amertume que ce ne fut pas le cas de tous et je le regrette.

Les évènements des derniers jours m’ont fait comprendre, à fort prix d’ailleurs, que les temps ont changé et que je dois modifier mon style, mon approche et mes façons de faire comme réalisateur.

Je fais ce métier parce que j’aime l’humain. Je le raconte et l’étudie. J’aime profondément tous les comédiens avec qui j’ai travaillé depuis 35 ans ainsi que mon équipe technique dont plusieurs choisissent de travailler avec moi depuis 15 ans.

Je souhaite terminer les projets en cours dont le tournage de la série MENSONGES 4 et, par la suite, me retirer pour faire le point… pour revoir mes façons de faire, pour m’approprier de nouvelles approches. J’ai l’intention de continuer longtemps à exercer humblement ce magnifique métier, mais je le ferai différemment.

Je vous remercie à l’avance de la seconde chance que vous me donnerez. »

La semaine dernière, Sophie Prégent s’était portée à la défense du réalisateur, avec qui elle collabore depuis plusieurs années. Les propos de la Présidente de l’Union des Artistes avaient beaucoup fait réagir le milieu culturel. Karine Vanasse, Marc-André Grondin et Magalie Lépine-Blondeau sont de ceux qui ont dénoncé le malaise généré par la relation entre leur Présidente et le réalisateur déchu. Sophie Prégent avait défendu sa position dans une lettre ouverte publiée sur le site de l’UDA.

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Source : La Presse 

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Affaire Archambault: Les artistes reprochent à Sophie Prégent un conflit d’intérêt

Les allégations d’inconduite sexuelle qui pèsent sur Sylvain Archambault ont beaucoup fait réagir depuis la sortie du reportage incriminant sur les agissements du réalisateur. De nombreux artistes et techniciens du milieu de la télévision ont corroboré les témoignages des victimes, dénonçant par le fait même les inconduites sexuelles de M. Archambault à l’AQTIS. La Présidente de l’Union des Artistes, Sophie Prégent, s’est entretenue avec Paul Arcand sur les ondes du 98.5 FM ce matin, défendant le réalisateur avec qui elle collabore depuis des années, mais plus récemment sur le plateau de la série Cheval-Serpent.

Découvrez son entrevue ici.

« Je suis habituée de travailler avec Sylvain. Quand je n’ai plus besoin de l’entendre, c’est mon volume à moi personnel que je ferme. Il n’a jamais été déplacé avec moi, Sylvain. J’ai entièrement confiance en Sylvain. Mais je peux comprendre que tout le monde n’a pas la relation que moi j’ai avec Sylvain, cède-t-elle. Là, il y a la présidente qui vous parle et il y a Sophie, moi, sur un plateau de tournage, je n’ai aucun problème à travailler avec Sylvain et je sais qu’il y en a aussi d’autres qui sont très à l’aise avec Sylvain. »

Rappelons qu’il y a quelques semaines, Sophie Prégent était de passage sur le plateau de RDI pour commenter les affaires Rozon et Salvail. La présidente avait alors dit que l’UDA travaillerait prochainement à la création d’un guichet unique permettant aux artistes de déposer des plaintes facilement et en toute confidentialité dans le cas d’une inconduite. Sophie Prégent a alors déploré à Paul Arcand le fait que la situation avec Sylvain Archambault n’ait pas été rapportée directement à l’UDA.

« Moi, je ne trouve pas ça normal que toutes ces affaires-là sortent dans les journaux et que ça ne se rende pas nécessairement à l’Union des Artistes, bien qu’on ait tous les mécanismes. Je vous le dis, on a des gens formés à l’Union des Artistes, on a une ligne pour ça, on est capables d’offrir à la fois beaucoup, beaucoup de discrétion, on est capables de faire ça. Mais les gens ne téléphonent pas et tout à coup, dans les journaux, et là ces temps-ci on y goûte, depuis un mois moi je n’en peux plus de vivre des affaires comme ça. Je le savais depuis hier, ça sortait et elle m’a téléphoné, madame Vallet, pour me dire que ça sortait et on éteint des feux depuis ce temps-là », explique-t-elle.

Sur ses réseaux sociaux, l’actrice Karine Vanasse a soulevé la possibilité que les postes d’actrice et de présidente en fonction puissent dissuader les membres de porter plainte à l’Union des Artistes.

Crédit : Twitter de Karine Vanasse

Crédit : Twitter de Karine Vanasse

Suite à l’entrevue à l’émission de Paul Arcand, Marc-André Grondin a quant à lui adressé une lettre à Sophie Prégent, reprochant un conflit d’intérêt entre son rôle de présidente et sa relation de longue date avec le réalisateur.

Crédit: Twitter de Marc-André Grondin

On prévoit sans craindre de trop se tromper que le téléphone de Sophie Prégent ne dérougira pas dans les semaines à venir.

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Le réalisateur de Cheval-Serpent accusé d’inconduites sexuelles

Les gros noms de l’industrie culturelle s’empilent et s’enfilent, dans des scandales qui voient peu à peu la lumière du jour.

Cette fois, c’est Sylvain Archambault, connu pour son travail sur les séries Mensonges, Les pays d’en haut, Le négociateur et Cheval-Serpent qui est au centre de témoignages dénonçant les nombreux propos inappropriés ainsi que les attouchements sexuels qu’il aurait eus à l’endroit de ses acteurs et techniciens.

Dans un reportage publié sur La Presse et mené par Katia Gagnon et Stéphanie Vallet, responsables du reportage incriminant sur Éric Salvail, les détails de cette sordide affaire brossent un portrait troublant des méthodes de travail du réalisateur.

Après de nombreuses plaintes faites à l’AQTIS, l’Association québécoise des techniciens de l’image et du son, les productrices Fabienne Larouche et Sophie Deschênes ont qualifié d’inacceptables les gestes qui auraient été posés, en plus de la consommation d’alcool de Sylvain Archambault sur les plateaux de tournage. Danielle Trottier, qui signe quant à elle les textes de Cheval-Serpent, a affirmé avoir été témoin de sa consommation lors d’une visite de plateau. 

« J’ai vu le premier assistant de Sylvain Archambault lui remplir sa tasse à café en carton avec de l’alcool. On était en pleine scène, et je voyais bien que notre réalisateur avait bu. J’ai été très étonnée, je n’avais jamais vu ça sur un plateau ».

Un acteur de la série Cheval-Serpent a même vécu une expérience troublante avec le réalisateur.

« Il s’est approché de moi, se dandinant littéralement en se massant les seins, comme dans un mauvais film, pour finalement s’asseoir sur moi à califourchon et approcher ses lèvres à deux centimètres des miennes »

De nombreux témoins corroborent aussi les témoignages des victimes. Un membre de l’équipe technique de Mensonges 3 a affirmé que le réalisateur poussait des scènes trop loin, pour rien. 

« Lors d’une scène sexuelle humoristique ne nécessitant aucunement de la nudité et se déroulant dans un espace restreint, Sylvain a lui-même complètement relevé la jupe de la comédienne sans son consentement et sans prévenir. Elle a dû insister très fortement pour ne pas tourner dans cet état ».

Dans un long entretien avec les journalistes responsables de cette enquête, Sylvain Archambault reconnaît avoir un caractère exigeant.

Sophie Prégent, Présidente de l’UDA qui a aussi travaillé avec lui sur Cheval-Serpent, le qualifie de « grivois et colérique », assurant toutefois n’avoir jamais été témoin de comportements inappropriés de sa part.

Questionné finalement sur ce qui expliquerait la multitude de témoignages des victimes et des gens qui appuient ces allégations, Sylvain Archambault gonfle le torse.

« Je dérange. Je travaille beaucoup. Je suis le réalisateur qui travaille à peu près le plus au Québec. On gagne des prix. Il y a de la jalousie là-dedans. Et là, on est partis à la chasse, les gens sont encouragés, presque, c’est contagieux. Il y a bien des comptes qui peuvent se régler de cette façon-là. Il y a du monde qui aimerait me voir moins travailler ou tomber. »

De la jalousie, vraiment? On verra bien!

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Marc-André Grondin se lève contre Sophie Prégent

Alors que le monde du cinéma québécois est touché par une nouvelle vague d’allégations de comportements inappropriés contre Sylvain Archambault, certains estiment que la prise de position de Sophie Prégent, présidente de l’Union des Artistes, n’est pas la bonne.

Invitée ce matin même, 8 novembre, au micro de Paul Arcand sur 98,5FM, Sophie Prégent a, semble-t-il, pris partie aux côtés du réalisateur sur le banc des accusés.

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« Si on vous demande de commenter cette nouvelle, ce n’est pas pour avoir l’opinion de Sophie Prégent «l’actrice», mais bien comme présidente de l’UDA. Un devoir de neutralité s’imposait », affirme Marc-André Grondin dans une lettre ouverte à l’attention de Sophie Prégent, publiée sur Twitter.

«  Vous vous êtes placée ce matin à la défense d’un réalisateur, au détriment de vos membres (…) Je m’interroge ce matin sur votre capacité à distinguer vos expériences personnelles de votre devoir syndical et remet ainsi en doute votre capacité à remplir le rôle pour lequel vous avez été élue », écrit sans ambages l’acteur québécois.

Marc-André Grondin n’est pas la seule personnalité du cinéma québécois a avoir été choqué par le comportement de Sophie Prégent.

En effet, Karine Vanasse a également fait entendre sa voix et son désaccord sur Twitter :

«  Suite a la lecture de cet article, je me demande ceci : est-ce qu’un acteur/actrice encore actif peut, de facon impartiale, representer les autres membres UDA a titre de President et ce, en toutes circonstances ? ».

À date, Sophie Prégent, présidente de l’UDA depuis 2013, n’a pas encore répondu à ces accusations.

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Sylvain Archambault : Allégations d’inconduites et d’humiliation

Un vent de révolte souffle sur le monde du cinéma et du divertissement.

Depuis quelques semaines en effet, les langues se délient et les victimes osent affronter leurs bourreaux.

Parmi eux, se place désormais le réalisateur québécois Sylvain Archambault.

En effet, comme le rapporte La Presse, le réalisateur de la série Les pays d’en haut est aujourd’hui épinglé pour des comportements prétendument déplacés, des humiliations récurrentes et peut-être un verre de trop sur les plateaux de tournages.

Plusieurs professionnels du milieu, acteurs ou techniciens confondus, ont rapporté les débordements du réalisateur nécessitant l’intervention de l’Association québécoise des techniciens de l’image et du son (AQTIS).

De toutes parts les témoignages fusent.

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« J’étais terrorisée, nu-seins, et il me hurlait dessus. J’étais comme prise en otage. Les scènes de sexualité sont tournées comme si on était des prudes. Il ne te demande pas si tu es à l’aise. Il te crie : Déniaise ! », rapporte une comédienne habituée à travailler avec le réalisateur.

« Pour un casting de fille au bar qui sourit, il les faisait se mettre à quatre pattes. Juste parce qu’il trouvait ça drôle », a confié Émilie Heckmann, ex-productrice et ex-conjointe de Sylvain Archambault.

À date, Sylvain Archambault nie avoir des comportements déplacés ou des propos humiliants pourtant, au total, c’est près d’une vingtaine de témoignages que La Presse a récolté et analysé.

Sylvain Archambault rejoint désormais la liste des hommes concernés par des allégations de comportements déplacés aux côtés de célébrités comme Gilbert Rozon ou encore Éric Salvail.

Une nouvelle ? : scoop@bumineractif.com

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Une belle distribution pour le prochain film de Sylvain Archambault

Le réalisateur Sylvain Archambault confiait au Journal de Montréal qu’il développait un film sur la crise du verglas que l’on a connue en 1998.

Le film écrit par son complice, Jacques Savoie (Les Lavigeur : la vraie histoire, Pour toujours les Canadiens), mettra en vedette Anik Lemay, Emmanuel Bilodeau, Sébastien Huberdeau, Catherine de Léan, Gilbert Sicotte, Véronique Le Flaguais et Julien Poulin.

« Le film nous fera vivre la crise du verglas en temps continu. Ce sera un film choral, qui suivra les destins de plusieurs personnages qui se recouperont. Un peu à la Babel (d’Alejandro González Iñárritu) », dit Sylvain Archambault au quotidien.

Le tournage s’amorcera seulement l’hiver prochain, car auparavant, le cinéaste doit mettre la touche finale à son film La Garde, qui évoquera la détresse d’un père (Paul Doucet) qui a perdu la garde complète de son fils et le kidnappe pour faire un voyage de chasse.

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Glenn Close dans un film de Sylvain Archambault?

Le réalisateur québécois Sylvain Archambault (French Kiss, Piché : Entre ciel et terre) rencontrera bientôt Glenn Close dans l’espoir qu’elle accepte de jouer dans son prochain film, Marita.
 
Ce film relatera la vie de Marita Lopez, qui a été la maîtresse de Fidel Castro au début de la révolution cubaine. Elle vit maintenant aux États-Unis.
 
« Je dois me rendre à sa maison de Scarborough dans le Maine pour lui parler du projet. Nous souhaitons que Mme Close interprète la mère de Marita, qui sera interprétée par Laurence Leboeuf. Nous avons pu la contacter via une agence de casting de Londres. Mme Close a lu le scénario et l’a aimé. Elle a aussi vu mon film Piché : Entre ciel et terre et elle souhaite me rencontrer », a confié le réalisateur au journal La Presse.
 
Doug Taylor (Splice) signe le scénario de Marita.
 
Glenn Close est maintenant en vedette dans la série télévisée Damages. Son dernier film était Albert Nobbs l’an dernier.