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COVID-19: Deux chats montréalais ont été testés positifs!

Les premiers cas connus d’animaux qui ont été testés positifs à la Covid-19 se sont passés dans le grand Montréal. En effet, un chat a été diagnostiqué avec le virus en février dernier et a guéri depuis. Le second cas a été confirmé jeudi par la Dre Cécile Aenishaenslin, chercheuse et professeure à la Faculté de médecine vétérinaire de l’Université de Montréal. Alors qu’aucun symptôme n’a été reporté mis à part une grande diminution des forces physiques du chat, son équipe continue d’étudier la transmission du virus chez les chats. La docteure explique que la Covid-19 serait peu mortelle pour ces animaux.

Les chats ont dû être en quarantaine pendant un total de 7 jours, jusqu’à ce qu’ils ne soient plus testés positifs. Ils ont certainement été infectés par leurs maîtres puisque ceux-ci ont été diagnostiqués avec le virus précédemment. D’ailleurs, le groupe de chercheuses recherche 40 familles québécoises qui ont la Covid-19 pour pouvoir étudier leur chat. Le virus chez cette espèce ressemble beaucoup à la sévérité de l’infection chez l’enfant, il n’est donc généralement pas grave et la retransmission du virus du chat vers l’humain n’est pas chose courante.

« On ne veut pas alerter la population. On ne veut pas que les gens aient peur ni pour leur animal ni pour leur propre santé et par exemple qu’ils prennent des décisions rapides et non fondées comme abandonner leur animal de compagnie », explique Cécile Aenishaenslin au Journal de Montréal.

De plus, certains chiens ont aussi été testés positifs au Canada, mais pas au Québec pour le moment.

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Nutrition

Le brocoli pour diminuer les symptômes de l’autisme

Le brocoli est déjà reconnu comme un super aliment composé de nutriments essentiels. Cette fois, une étude a fait le lien entre la diminution des symptômes du trouble du spectre autistique et le sulforaphane, un composé de l’aliment.

Science World Report mentionne que les participants, âgés de 13 à 27 ans, étaient tous de sexe masculin. Ils avaient des symptômes modérés à sévères et étaient séparés en deux groupes.

L’un d’entre eux, contrairement à l’autre, recevait une dose quotidienne d’extrait de brocoli. Le comportement de chacun était évalué au début de l’exercice, puis après 4, 10 et 18 semaines.

Le groupe recevant l’extrait du brocoli obtenait de meilleurs résultats comportementaux que le groupe placebo, tout au long de l’analyse. Au total, dans le groupe du sulforaphane, 17 des 26 patients présentaient d’excellentes améliorations, tant comportementales qu’en ce qui a trait aux interactions sociales.

Les effets de l’extrait de brocoli se faisaient sentir sur l’irritabilité, l’hyperactivité et la communication dès la 4e semaine. Cependant, les bienfaits ne perduraient pas au-delà de l’étude.

La recherche a été publiée dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences.

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6 signes de stress chez le jeune enfant

She Knows vous informe de quelques indices à surveiller chez vos bambins si vous vivez vous-même du stress. Souvent, les parents ne se rendent pas compte que les enfants ressentent et vivent nos changements d’humeur.

Selon la spécialiste Adelle Cadieux, psychologue en pédiatrie, il existe 6 signes de stress à surveiller chez le bébé et le jeune enfant.

– Des problèmes de comportements soudains ou une réactivité émotionnelle;

– Des changements dans la routine de sommeil (autant l’augmentation que la diminution de celui-ci);

– Des changements au niveau de l’appétit. Certains n’auront pas faim, alors que d’autres auront tout à coup des goûts exagérés pour la nourriture, entre autres des fringales de malbouffe ou de glucides;

– Une diminution des résultats scolaires;

– L’augmentation de douleurs physiques. Ils se plaignent principalement de maux de tête ou de ventre, surtout avant une activité;

– Une modification dans les interactions sociales avec la famille ou les amis. Ils peuvent être plus en retrait, moins intéressés.

Cependant, il faut s’inquiéter uniquement lorsque ces changements interfèrent avec le quotidien.

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Enfin un diagnostic de fatigue chronique?

Les personnes souffrant de ce qu’il est convenu d’appeler le « syndrome de la fatigue chronique » ne trouvent souvent pas beaucoup de soutien ou de compréhension auprès de leurs proches, leurs collègues ou même certains spécialistes en santé.

La raison de cette marginalisation est simple : il n’existe pour ainsi dire aucune manière de diagnostiquer le trouble. Cette absence de verdict clair empêche grandement la reconnaissance de ce mal qui touche pourtant plusieurs personnes.

« À ce jour, aucun marqueur biologique ou organique ne permet d’identifier ce syndrome. C’est un diagnostic difficile qui requiert l’exclusion des autres maladies responsables de fatigue chronique (cancer, maladies endocrines, maladies inflammatoires systémiques, psychiatriques, auto-immunes, etc.), explique d’ailleurs l’Association Française du Syndrome de Fatigue chronique.

Voilà qu’une nouvelle découverte permettrait de faire avancer la cause, alors que des chercheurs ont observé des différences physiques chez les patients atteints du syndrome grâce à des tests par résonnance magnétique, rapporte Top Santé.

Un dérèglement des ganglions cervicaux ou des noyaux gris seraient observables chez plusieurs patients de l’étude, ce qui permet aux spécialistes d’être optimistes quant à un possible diagnostic plus officiel du syndrome de fatigue chronique dans le futur.

Cette nouvelle percée et les conclusions de l’étude ont été publiées dans la revue PLoS One.

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Papa aussi peut souffrir d’une dépression post-partum

Une nouvelle étude, rapportée par SheKnows, affirme que « les pères plus jeunes ont démontré une augmentation de 68 % des symptômes de la dépression ». On parle ici de pères de 25 ans en moyenne.

Les chercheurs ont cumulé les données de 10 623 hommes. Particulièrement au niveau de ceux qui présentaient déjà de légers symptômes, la naissance de leur enfant a considérablement aggravé leur état par la suite.

La dépression affectait ces nouveaux pères pendant environ les 5 premières années de vie de leur enfant. Il est important de rechercher de l’aide, puisque cet état peut mener à de la négligence ou de la violence corporelle.

Les signes à observer sont les suivants :

– Sentiment persistant d’anxiété, de tristesse et d’impuissance;

– Difficulté à se concentrer et à prendre des décisions;

– Moins d’énergie, plus de fatigue, en plus de changements dans la routine du sommeil;

– Changements au niveau de l’appétit;

– Irritabilité et agitation.

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Troubles alimentaires : Les hommes font souvent fi des symptômes

Si les troubles alimentaires peuvent aussi toucher les hommes, il semble que ces derniers s’en préoccupent souvent peu ou pas du tout, selon une nouvelle étude rapportée par The National Library of Medicine.

La recherche en provenance de l’Angleterre analysait 29 femmes et 10 hommes diagnostiqués avec des troubles alimentaires. Du nombre des maladies ou problèmes reconnus comme des troubles alimentaires, on retrouve la boulimie, l’anorexie et la consommation chronique de nourriture (binge eating).

Les hommes sondés par l’étude ont tous affirmé n’avoir reconnu les symptômes de leur problème que très longtemps après leur apparition. L’une des principales raisons qui expliquent le phénomène serait tout bonnement que les hommes croient trop souvent que les troubles alimentaires ne touchent que les femmes.

Les symptômes communs des troubles alimentaires reconnus vont du calcul obsessif des calories à l’entraînement excessif, un comportement de plus en plus répandu chez les hommes.

Les chercheurs britanniques en tête de l’étude appellent la gent masculine à faire preuve de prudence dans ses comportements alimentaires et dans ses activités physiques, et à se renseigner sur le sujet.

Les conclusions de l’étude ont été publiées dans le magazine BMJ Open.

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La vitamine D et la dépression : des études contradictoires

Les études qui s’attardent aux effets de la vitamine D sur la santé mentale et les symptômes de la dépression sont pour le moins contradictoires. Après une première vague d’études qui avaient démontré un lien entre la consommation de vitamine D et les risques de dépression, une seconde vague venait invalider l’énoncé.

Cette deuxième vague d’études laissait même entendre que la vitamine D pouvait en fait réduire les symptômes de dépression, de quoi rendre le tout franchement confus pour le consommateur et le patient moyen.

Pour ajouter à cela, Medical News Today rapporte la publication d’une toute nouvelle étude sur le sujet, qui semble trancher le débat. Selon cette recherche en provenance de l’Université Columbia (New York), la vitamine D ne réduit pas les symptômes de dépression et pourrait n’avoir aucun impact sur la santé mentale.

Le Dr Jonathan A. Schaffer, qui dirige les travaux à Columbia, estime que les essais précédents étaient presque tous « caractérisés par une limitation de la méthodologie ».

Le Dr Schaffer affirme également que malgré qu’il « soit tentant » de tracer un tel lien, de plus vastes études sur le sujet devront être conduites. Pour l’instant, rien ne permettrait d’affirmer un lien entre la vitamine D et la dépression.

Les conclusions du Dr Schaffer ont été publiées dans le journal Psychosomatic Medicine.

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Reconnaître les signes d’un trouble bipolaire

Top Santé propose un dossier sur les troubles bipolaires et rappelle l’importance de reconnaître les signes de ce déséquilibre psychologique, et de quérir l’aide nécessaire afin de retrouver une vie normale.

Car la bipolarité n’a rien à voir avec de bénignes sautes d’humeur occasionnelles, et peut s’avérer fatale pour les relations interpersonnelles et professionnelles.

Si le problème réside principalement dans l’acceptation du diagnostic, la suite peut s’avérer grandement moins complexe grâce aux options de traitements désormais disponibles.

Ainsi, l’étape la plus importante et la plus difficile demeure la reconnaissance de ce trouble, qui toucherait 2 % de la population en général.

Plusieurs signes ou symptômes peuvent indiquer un trouble bipolaire. Notamment, une consommation excessive d’alcool, des crises soudaines d’agressivité ou des sautes d’humeur évidentes, une sensibilité accrue ou encore des troubles du sommeil.

Les personnes bipolaires vont souvent se mettre dans le pétrin face à la justice ou avec des pairs, ou encore faire preuve de témérité dans leurs décisions ou encore sur la route. Malgré une sensibilité parfois extrême, ces personnes auront toutefois du mal à extérioriser leurs émotions, apprend-on.

Si vous croyez souffrir d’un trouble bipolaire ou si vous croyez reconnaître le phénomène chez un proche, parlez-en rapidement avec votre médecin praticien ou avec un psychothérapeute.

Plusieurs options de traitement efficaces sont offertes afin de réguler les cycles de bipolarité et permettre aux patients de retrouver une vie normale. Encore une fois, le plus grand défi est de reconnaître la situation et de ne pas se laisser freiner par le déni ou la honte, afin de permettre un traitement le plus rapidement et efficacement possible.

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Reconnaître les signes d’un trouble bipolaire

Top Santé propose un dossier sur les troubles bipolaires et rappelle l’importance de reconnaître les signes de ce déséquilibre psychologique, et de quérir l’aide nécessaire afin de retrouver une vie normale.

Car la bipolarité n’a rien à voir avec de bénignes sautes d’humeur occasionnelles, et peut s’avérer fatale pour les relations interpersonnelles et professionnelles.

Si le problème réside principalement dans l’acceptation du diagnostic, la suite peut s’avérer grandement moins complexe grâce aux options de traitements désormais disponibles.

Ainsi, l’étape la plus importante et la plus difficile demeure la reconnaissance de ce trouble, qui toucherait 2 % de la population en général.

Plusieurs signes ou symptômes peuvent indiquer un trouble bipolaire. Notamment, une consommation excessive d’alcool, des crises soudaines d’agressivité ou des sautes d’humeur évidentes, une sensibilité accrue ou encore des troubles du sommeil.

Les personnes bipolaires vont souvent se mettre dans le pétrin face à la justice ou avec des pairs, ou encore faire preuve de témérité dans leurs décisions ou encore sur la route. Malgré une sensibilité parfois extrême, ces personnes auront toutefois du mal à extérioriser leurs émotions, apprend-on.

Si vous croyez souffrir d’un trouble bipolaire ou si vous croyez reconnaître le phénomène chez un proche, parlez-en rapidement avec votre médecin praticien ou avec un psychothérapeute.

Plusieurs options de traitement efficaces sont offertes afin de réguler les cycles de bipolarité et permettre aux patients de retrouver une vie normale. Encore une fois, le plus grand défi est de reconnaître la situation et de ne pas se laisser freiner par le déni ou la honte, afin de permettre un traitement le plus rapidement et efficacement possible.

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Certains aliments peuvent limiter les problèmes liés à l’arthrose

Il existe plusieurs aliments qui peuvent venir en aide aux personnes souffrant d’arthrose et de problèmes articulaires, selon ce que rapporte Top Santé.

On mentionne d’abord les fruits et légumes, mais spécialement ceux qui renferment de précieux antioxydants. Les poivrons, les épinards, les tomates, les carottes, les betteraves, les petits fruits, les pruneaux, les choux, les artichauts et les radis font tous partie de cette catégorie.

On suggère également les acides gras, mieux connus par les consommateurs sous la forme d’oméga-3, de noix, de poissons et d’huile végétale (comme l’huile d’olive, par exemple).

Plusieurs épices seraient également reconnues pour leurs propriétés anti-inflammatoires, dont le gingembre, le curcuma, le curry, le cumin, la cannelle et le poivre noir.

Les crustacés et les produits de la mer peuvent s’avérer aussi de précieux alliés contre les problèmes liés à l’arthrose, comme les crevettes et les moules, notamment.

En somme, il faut viser les aliments qui comprennent des antioxydants, des oméga-3, des épices et des huiles végétales, des vitamines et du sélénium.

L’arthrose, la forme la plus courante d’arthrite, toucherait un Canadien sur dix.