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Plusieurs crises cardiaques chez les hommes pourraient être évitées

Ce sont des statistiques à la fois alarmantes et constructives que dévoile le Daily Mail (UK), alors qu’une étude avance qu’une bonne proportion des hommes d’âge moyen victimes d’AVC aurait pu éviter le pire grâce à une meilleure lecture des symptômes.

Selon les analyses effectuées sur les dossiers de 567 hommes victimes d’ACV,  plus de la moitié d’entre eux a ressenti des symptômes évocateurs quelques jours, voire quelques semaines, avant le drame.

Des indices comme des palpitations cardiaques, un souffle court, des étourdissements, des évanouissements ou encore des douleurs à la poitrine, voilà autant de signaux qui devraient pourtant mener ces hommes directement à l’hôpital. 

Malheureusement, trop peu prennent ces signes au sérieux, et l’orgueil ou un sentiment d’invulnérabilité prennent le dessus.

Or, toujours selon les chiffres proposés par l’étude, moins de 10 % des hommes victimes d’un AVC hors des murs d’un hôpital survivront…

Les spécialistes pressent donc les hommes de quarante ans et plus à ne jamais prendre ces symptômes à la légère, et d’envisager des examens de prévention.

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Les hypocondriaques et Google ne font pas bon ménage

De plus en plus de gens consultent Google pour obtenir des explications médicales sur certains symptômes, ce qui agace un bon nombre de spécialistes et de praticiens, selon ce que rapporte le Telegraph (UK).

C’est que non seulement le célèbre moteur de recherche et les nombreux forums de discussion inhérents ne sont pas conçus pour diagnostiquer, ils ne font souvent que jeter de l’huile sur le feu pour les personnes sensibles ou carrément hypocondriaques.

Véritable phénomène en pleine progression, la « cyber-hypocondrie » ne fait que créer des paniques inutiles et perdre un temps précieux aux médecins qui doivent se battre contre un faux premier « diagnostic », croit justement le Dr Thomas Fergus de l’Université Baylor, au Texas.

Fergus croit que les dangers liés à l’utilisation de Google ou d’un autre moteur de recherche pour des fins de diagnostic sont nombreux. D’abord, les gens pourraient décider de s’automédicamenter en se basant sur ces résultats, mais plusieurs patients ressentiront aussi une anxiété et une détresse psychologique devant une situation qui n’existe probablement pas ou qui s’avère une distorsion de la réalité.

On conseille vivement de plutôt consulter un médecin pour connaître les explications entourant un ou plusieurs symptômes.

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Le poids de la culpabilité n’est pas qu’une métaphore

Ressentir le « poids de la culpabilité » relèverait davantage du littéral que de la métaphore, selon ce que rapporte Top Santé, alors que des chercheurs se sont penchés sur les impacts de l’émotion sur l’organisme.

Ainsi, l’équipe de chercheurs de l’Université de Waterloo, en collaboration avec Princeton, qui propose cette nouvelle étude arrive à la conclusion que la culpabilité entraîne une véritable sensation de lourdeur physique, ce qui rendrait plus difficile le quotidien des personnes rongées par les remords.

« Le souvenir des actes répréhensibles conduit les participants à rapporter un accroissement du poids corporel subjectif contrairement au souvenir des actes moraux. Cette corrélation avec le poids s’est faite uniquement pour le sentiment de culpabilité, et non pour d’autres émotions négatives comme la tristesse et le dégoût », explique Martin Day, de Princeton.

Pour en arriver à cette étonnante mais fascinante conclusion, les chercheurs ont effectué quelques tests sur un groupe de 153 sujets, qui ignoraient au moment de l’essai de quel type de test il s’agissait exactement. Ceux placés dans un contexte qui faisait ressurgir leur culpabilité ont ensuite étrangement éprouvé plus de difficulté à réaliser certaines tâches que les autres, confirmant du même coup l’effet de « poids » supplémentaire à porter.

Encore une fois, cette étude démontre l’impact des émotions et de nos gestes sur notre organisme et sur notre avenir, une conclusion qui pourrait permettre à certaines personnes d’y penser à deux fois avant de commettre des gestes regrettables.

Un des chercheurs impliqués dans l’étude déclare d’ailleurs : « L’anticipation de sentiments de culpabilité dans le futur peut aider des individus à éviter de participer à des actes immoraux qui violent leur morale personnelle ».

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Les hommes cinquantenaires toujours aussi insouciants de leur santé

Les hommes qui atteignent la cinquantaine ou âgés de cinquante ans et plus semblent ne pas se soucier davantage de leur santé qu’auparavant, selon le Daily Mail (UK).

Ce serait à tout le moins vrai chez les Britanniques, alors qu’une nouvelle étude en provenance de l’Angleterre trace un portrait inquiétant de l’attention et de l’importance qu’accordent ces hommes à leur propre santé.

Des 12 000 hommes sondés, près de la moitié ne sauraient même pas reconnaître ou ne connaissent tout simplement pas les signes et symptômes du cancer de la prostate ou de l’intestin, pourtant plus fréquents chez les hommes de cette tranche d’âge.

Une aussi grande proportion, soit près de 50 %, ne consulte toujours pas de médecin lorsqu’ils éprouvent des ennuis de santé ou encore par souci de prévention. L’orgueil masculin semble encore prédominer chez cette génération, alors qu’un suivi et un bilan médical peuvent pourtant sauver des vies.

En comparaison, 82 % des femmes sauraient reconnaître les signes du cancer du sein, comme quoi les campagnes d’information et de prévention ne fonctionneraient pour le moment que du côté de la gent féminine.

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Les hommes cinquantenaires toujours aussi insouciants de leur santé

Les hommes qui atteignent la cinquantaine ou âgés de cinquante ans et plus semblent ne pas se soucier davantage de leur santé qu’auparavant, selon le Daily Mail (UK).

Ce serait à tout le moins vrai chez les Britanniques, alors qu’une nouvelle étude en provenance de l’Angleterre trace un portrait inquiétant de l’attention et de l’importance qu’accordent ces hommes à leur propre santé.

Des 12 000 hommes sondés, près de la moitié ne sauraient même pas reconnaître ou ne connaissent tout simplement pas les signes et symptômes du cancer de la prostate ou de l’intestin, pourtant plus fréquents chez les hommes de cette tranche d’âge.

Une aussi grande proportion, soit près de 50 %, ne consulte toujours pas de médecin lorsqu’ils éprouvent des ennuis de santé ou encore par souci de prévention. L’orgueil masculin semble encore prédominer chez cette génération, alors qu’un suivi et un bilan médical peuvent pourtant sauver des vies.

En comparaison, 82 % des femmes sauraient reconnaître les signes du cancer du sein, comme quoi les campagnes d’information et de prévention ne fonctionneraient pour le moment que du côté de la gent féminine.

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Quand le iPhone devient le iDocteur

Le Telegraph (UK) propose un article des plus intéressants sur les capacités actuelles et futures de l’iPhone et des téléphones intelligents en matière de santé.

Si on connaissait déjà quelques-unes des applications proposées, d’autres piquent la curiosité, stimulent l’imaginaire ou surprennent carrément.

Notamment, le journaliste scientifique correspondant Richard Gray mentionne l’application qui permet de « lire » les battements du cœur et de définir l’état de santé d’un individu, comme un électrocardiogramme retrouvé en centre hospitalier.

La pression sanguine, la respiration, la toux et même les signes de commotion cérébrale peuvent également être analysés par un simple téléphone intelligent, tout comme l’ouïe et les capacités visuelles.

Mais il y a plus. Une application de l’iPhone permettrait également d’analyser les cycles du sommeil, alors qu’une autre peut « lire » dans vos empreintes digitales. Bien sûr, une autre pourra tout simplement analyser les symptômes proposés et en arriver à un diagnostic initial virtuel.

La liste se poursuit et continuera de s’allonger, démontrant que les nouvelles technologies peuvent et pourront améliorer certains de soins de santé ainsi que leur proximité, mais pourront également réduire les coûts annuels liés à la santé et désengorger certains départements.

Richard Gray espère voir des études cliniques confirmer officiellement les propriétés médicales possibles des téléphones comme le iPhone, et ainsi changer littéralement une partie de la face du monde médical tel qu’on le connaît.

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La dépendance à la caféine est bien réelle

La dépendance est souvent liée aux drogues plus sévères ou encore aux produits du tabac, mais on peut également parler de dépendance en ce qui concerne la caféine, s’accordent pour dire les experts.

C’est ce que rapporte Top Santé, qui fait le point dans un dossier.

Ce qui prouve la notion de dépendance, selon plusieurs, ce sont les symptômes qui apparaissent lorsqu’on tente de cesser de consommer du café. Maux de tête, problèmes cognitifs légers, état de fatigue mentale et physique, bref, une véritable liste qui s’apparente à celles associées au sevrage des autres drogues.

« Au fil du temps, un mal de tête lancinant s’installe et vous empêche de vous concentrer sur quoi que ce soit. Finalement, puisque tout votre corps proteste contre l’arrêt de la caféine, vous pourriez ressentir des douleurs musculaires, des nausées et d’autres symptômes pseudo-grippaux », décrit le journaliste Joseph Stromberg.

Heureusement, malgré cette dépendance, le café constitue à plusieurs égards un allié de la santé. Il ne s’agit donc pas de la dépendance la plus dangereuse, compte tenu de ses bienfaits, mais la modération est encore une fois bonne conseillère.

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Déjeuner pour éviter le diabète

Voilà les trouvailles faites par la Dre Elizabeth Thomas de l’Université du Colorado lors d’une petite étude publiée par HealthDayNews.

Bien que les résultats de seulement 9 femmes d’âge moyen de 29 ans aient été analysés, ils ont montré une incidence directe. Les tests consistaient simplement en l’analyse des taux de sucre et d’insuline après le dîner.

Le premier jour, chaque femme avait aussi consommé un déjeuner. À ce moment, les taux se seraient montrés normaux. Le lendemain cependant, n’ayant pas ingéré de déjeuner, elles présentaient toutes une résistance à l’insuline, ce qui nécessiterait normalement une injection pour assurer l’équilibre du sucre dans le sang.

La Dre Thomas explique que bien que l’étude soit petite, les résultats sont très intéressants, même si le long terme n’a pas été observé pour le moment. En effet, si ces symptômes devenaient chroniques, les risques de souffrir de diabète augmenteraient.

Pour bien comprendre, il faut savoir qu’après un repas, le taux de glucose s’élève dans notre sang. C’est alors que notre système se met à libérer plus d’insuline, afin de convertir ce sucre en énergie. Si un déjeuner n’est pas consommé, le système aura besoin d’encore plus d’insuline pour gérer le prochain repas.

Alors que ces résultats sont en effet intéressants, ils ne démontrent qu’un lien, et non pas une causalité. De plus amples recherches devront être conduites afin d’approfondir celle-ci.

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Le yogourt pourrait contribuer au traitement de la dépression

S’il semble utopique de croire qu’un geste aussi simple que celui de manger du yogourt puisse traiter la dépression nerveuse, il semble qu’il peut néanmoins contribuer à l’amélioration des symptômes et favoriser un traitement efficace.

C’est ce qui ressort des conclusions rapportées par le Daily Mail (UK), alors que des chercheurs américains ont analysé les comportements de certains patients atteints de dépression.

Ils ont pu constater que les sujets qui recevaient deux portions de yogourt par jour voyaient les zones du cerveau associées aux émotions et à la douleur s’agiter beaucoup moins.

Moins d’activité pour moins de symptômes, donc, une réaction qui serait attribuable à la présence de probiotiques dans le produit.

Ces bactéries seraient capables d’envoyer un signal au cerveau et d’ainsi changer la mécanique découlant d’une dépression.

La réaction est telle que les chercheurs en cause dans cette recherche croient qu’il serait possible de voir apparaître incessamment un « traitement probiotique », qui pourrait venir en aide notamment aux personnes souffrant d’anxiété, d’Alzheimer, d’autisme et, bien sûr, de dépression.

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La diète méditerranéenne serait bénéfique lors de la ménopause

Les femmes en pleine ménopause, ou en voie de traverser ce passage de leur vie, auraient avantage à jeter un coup d’œil du côté de la diète méditerranéenne, rapporte The National Library of Medicine.

Spécialement celles qui souffrent de ces fameuses bouffées de chaleur de façon très intense, suggère l’étude australienne qui se penchait sur la question.

On y apprend que la diète méditerranéenne ainsi que les fruits permettent de réduire ces symptômes nuisibles à la qualité de vie.

La réduction de ces bouffées de chaleur et de certains autres effets de la ménopause serait vérifiable jusqu’à 20 %, concluent les chercheurs australiens.

C’est en suivant les cas de 6000 patientes, sur une période de neuf ans, que ces spécialistes ont pu constater l’impact d’une diète méditerranéenne sur l’organisme de ces femmes, alors que celles qui continuaient de consommer des aliments à haute teneur en sucre démontraient 23 % plus de chances d’être victimes de symptômes comme les bouffées de chaleur.

D’autres études sur le sujet sont à venir, et même si on ne peut tracer de lien direct avec cette recherche, les chercheurs sont convaincus de l’impact positif de la diète méditerranéenne sur la santé des femmes ménopausées.