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Sauriez-vous reconnaître les signes du diabète chez votre enfant?

Le diabète de type 1 et de type 2 est en croissance fulgurante chez les enfants et les adolescents. Plus tôt cette année, Medical News Today indiquait une hausse du diabète de type 1 de 21 % chez les 9 ans et moins (de 2001 à 2009). Dans le même intervalle, les cas du type 2 chez les 10-19 ans ont augmenté de 30,5 %, un taux effarant.

Les chercheurs sont alarmés puisqu’une augmentation aussi importante signifie que ces enfants, à l’âge de la procréation, engendreront une seconde génération où le diabète sera encore plus présent.

Les symptômes du diabète de type 1 se développent très rapidement, soit à l’intérieur de quelques semaines. Cependant, celui de type 2 est plus long à détecter.

Des données en provenance du Royaume-Uni statuent que seuls 14 % des parents sont en mesure d’identifier les symptômes en lien avec le diabète.

Pour le leur rappeler, il y a depuis 2012 une campagne publicitaire sur les « 4 T ». En anglais, il s’agit de Toilet, Thristy, Tired et Thinner (uriner souvent, toujours avoir soif, être de plus en plus fatigué et perdre du poids).

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Éliminer l’autisme, une promesse réalisable?

Une nouvelle étude américaine affirme que si l’on détecte les symptômes de l’autisme dans les 6 premiers mois de vie du bébé, il est possible de stopper et même d’inverser la progression de la maladie.

Habituellement, l’autisme est détecté vers l’âge de 3 ans, parfois plus tard, lorsqu’on note un retard social et d’apprentissage en général.

Les points communs sont entre autres le manque de contact visuel et d’interaction, des mouvements ou activités très répétitives, une difficulté de socialisation et un retard de langage. Il est cependant possible d’en détecter les premières ébauches dès 6 mois, indique Top Santé.

Publiée dans la revue Journal of Autism and Developmental Disorders, la recherche a mis en lumière l’importance de l’intervention quotidienne des parents auprès de leurs bébés autistes.

La moindre interaction, que ce soit pendant le biberon, le changement de couche ou le jeu, peut aider à développer les capacités d’apprentissage de l’enfant, jusqu’à éliminer l’écart entre lui et ses pairs.

Parmi les bébés ayant fait l’objet de l’étude, 6 sur 7 n’avaient plus de symptômes reliés à l’autisme à l’âge de 3 ans, rapportent les chercheurs de l’UC David MIND Institute, en Californie.

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Éliminer l’autisme, une promesse réalisable?

Une nouvelle étude américaine affirme que si l’on détecte les symptômes de l’autisme dans les 6 premiers mois de vie du bébé, il est possible de stopper et même d’inverser la progression de la maladie.

Habituellement, l’autisme est détecté vers l’âge de 3 ans, parfois plus tard, lorsqu’on note un retard social et d’apprentissage en général.

Les points communs sont entre autres le manque de contact visuel et d’interaction, des mouvements ou activités très répétitives, une difficulté de socialisation et un retard de langage. Il est cependant possible d’en détecter les premières ébauches dès 6 mois, indique Top Santé.

Publiée dans la revue Journal of Autism and Developmental Disorders, la recherche a mis en lumière l’importance de l’intervention quotidienne des parents auprès de leurs bébés autistes.

La moindre interaction, que ce soit pendant le biberon, le changement de couche ou le jeu, peut aider à développer les capacités d’apprentissage de l’enfant, jusqu’à éliminer l’écart entre lui et ses pairs.

Parmi les bébés ayant fait l’objet de l’étude, 6 sur 7 n’avaient plus de symptômes reliés à l’autisme à l’âge de 3 ans, rapportent les chercheurs de l’UC David MIND Institute, en Californie.

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Sauriez-vous reconnaître les signes de fausse couche?

Parenting.com rappelle de ne pas trop se fier à « Dr Google », qui représente la meilleure façon pour se créer des angoisses inutiles. En cas de doute ou de craintes, communiquez avec Info Santé ou votre gynécologue.

Autrement, fiez-vous aux symptômes décrits par le Dr Mark Perloe, gynécologue à Atlanta.

Le premier signe

Le saignement, aussi bénin que quelques gouttes à un saignement clair mais plus abondant, représente la première préoccupation d’une future maman. La plupart des femmes auront tout de même une grossesse sans problème, mais faites-en part sans délai à votre médecin.

Douleurs

Des crampes au ventre ou au dos accompagnées de saignements, ou concentrées d’un seul côté et plus fortes que celles de vos menstruations peuvent être un signe de fausse couche.

Pertes vaginales inhabituelles

Il peut s’agir de pertes accompagnées de caillots de sang, un fluide abondant ou même un tissu grisâtre. Elles peuvent être jumelées à une odeur désagréable ou une irritation vaginale.

D’autres changements

Si vous perdez soudainement les symptômes de grossesse, ou que vous faites un autre test et qu’il est négatif, ces critères étant précédés de pertes ou de saignements, appelez votre médecin ou rendez-vous à l’hôpital.

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Réduisez vos symptômes du côlon irritable en modifiant votre alimentation

Vous savez que les symptômes, si vous souffrez du côlon irritable, peuvent être insupportables. Douleurs et crampes abdominales, gaz et ballonnements, en plus de constipation et diarrhée, selon le cas.

Pour diminuer ou même éviter la plupart de ces malaises, suivez ces conseils suggérés par amelioretasante.com.

Tout aliment frit est un ennemi pour la personne qui souffre du syndrome du côlon irritable (SCI). Ce qui signifie qu’en plus des « fastfoods » locaux, vous devez modifier votre méthode de cuisson si vous aimez la friture. Faites-les plutôt rôtir au four ou sur le gril.

Toute viande rouge représente un obstacle pour le SCI. Elle se digère plus lentement, ce qui est problématique. Préférez-la cuite longuement, comme dans un ragoût. La viande rouge comprend aussi le jambon et les saucisses.

Remplacez les produits laitiers à tout prix, puisqu’ils sont garants de diarrhée et de constipation. Heureusement, vous pouvez au moins remplacer le lait de vache par du lait de soya ou d’amandes.

Dites adieu à votre dent sucrée. Tant les sucres naturels qu’artificiels vous causeront des troubles de digestion.

Compensez la caféine avec de l’eau, du thé vert ou du jus de fruits (naturel) en quantité suffisante.

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Stress et grossesse, un cocktail dangereux pour l’enfant à naître

D’autre part, l’étude menée par des chercheurs de l’Université McGill au Québec, Canada, démontre que plus les futures mères sont stressées, plus les symptômes du TSA chez l’enfant sont importants.

Les scientifiques ont basé leur recherche à partir de familles ayant souffert de la crise du verglas de janvier 1998, catastrophe naturelle qui a privé certains foyers d’électricité jusqu’à 40 jours durant.

Le Projet Verglas a suivi 150 familles québécoises issues de milieux favorables et même supérieurs. Les femmes étaient toutes enceintes au moment de la tempête hivernale. Les enfants ont été examinés aux alentours de 6 ans.

Les chercheurs ont réalisé que sans pour autant recevoir le diagnostic d’autisme, les enfants nés à la suite de cet immense stress vivaient souvent les symptômes associés : difficultés sociales, notamment se faire des amis, maladresse et difficulté d’élocution.

Comme l’explique Suzanne King, auteure responsable de ce projet d’étude, cela constitue une évidence selon laquelle le stress influe directement sur le fœtus et sur la vie future de l’enfant. Pendant sa période intra-utérine, l’enfant est vulnérable à l’état de la mère.

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Un questionnaire simple pour détecter la dépression chez l’adolescent

Quelques minutes à peine pour aider le praticien à déterminer si l’adolescent en face de lui nécessite un réacheminement vers un spécialiste.

L’étude a été réalisée par Sharolyne Dihigo et ses collègues de l’UT Arlington College of Nursing. Ils ont examiné 14 recherches pour déterminer les questions à inclure dans le formulaire, afin que celui-ci soit représentatif et efficace.

« Voir à ce que les adolescents aient le traitement dont ils ont besoin a le potentiel de sauver des vies », explique Dihigo, directrice par intérim du programme de soins infirmiers.

Le formulaire de 20 questions permet aux jeunes de contourner les difficultés et l’hésitation associées à « l’expression de leurs émotions et comportements liés à la dépression ».

Dre Dihigo a donc trouvé une façon très peu coûteuse pour le système de santé pour évaluer l’état mental des adolescents. Elle met celui-ci en pratique à l’heure actuelle dans sa propre clinique pour appuyer son étude.

Il est estimé, selon Medical News Today, que 5 à 20 % des adolescents souffrent de la dépression, mais ne reçoivent pas les traitements appropriés.

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Comment savoir si votre adolescent consomme de la drogue

La pression des pairs est un déclencheur fréquent chez les adolescents. She Knows vous donne des indices précis pour reconnaître les signes et symptômes reliés à l’utilisation de drogues.

On parle surtout de marijuana, de médicaments sans prescription, d’ecstasy et son dérivé, MDMA (Molly), des hallucinogènes, des sels de bain et même d’héroïne et de cocaïne.

Les signes physiques
– Yeux rouges
– Hématomes inexplicables
– Difficulté à parler
– Changements soudains de l’apparence ou du poids
– Fatigue anormale ou changement dans la routine de sommeil
– Toux persistante
 
Les changements sociaux
– Manque d’intérêt pour des activités appréciées
– Nouveau groupe d’amis
– Mauvaises notes à l’école et absentéisme
– Évitement du contact visuel
– Sorties tard le soir ou absence prolongée
– Agressivité lorsque le parent pose des questions sur le changement de comportement
 
Les symptômes émotionnels
– Agressivité anormale ou confrontation envers l’autorité
– Dépression ou retrait de la vie sociale
– Irritabilité
– Manque de jugement

Même si l’adolescence apporte de grands changements chez l’individu, vous connaissez vos enfants. Si des changements trop soudains surviennent, consultez un spécialiste, à l’école ou au CLSC, pour trouver des ressources pour répondre à vos questions.

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L’anxiété post-natale une autre forme de dépression post-partum

Comme l’indique parentsociety.com, les conséquences de la dépression suivant la naissance d’un enfant sont parfois dévastatrices. Les symptômes ont une influence physique, mentale et émotionnelle, sans compter que le partenaire de vie est lui aussi affecté.

Jonathan Abramowitz, président associé et directeur de l’Anxiety and Stress Disorders Clinic à l’Université de la Caroline du Nord, explique que trop de femmes souffrent en silence de la cousine de la DPP : l’anxiété post-partum. « Nous appelons l’anxiété post-partum le trouble caché, puisqu’il y a encore tellement peu de femmes qui le reconnaissent, et il est mal diagnostiqué. »

L’anxiété post-natale peut être similaire à la dépression post-partum et même être développée conjointement. Ce trouble se définit par des comportements excessifs. Notamment, nettoyer la maison et les bouteilles du bébé sans arrêt, vérifier que l’enfant va bien en continu, avoir peur de rester seule avec le bébé et, surtout, être persuadée qu’il se passera quelque chose de terrible et que vous ne pourrez pas l’éviter.

Puisque ce trouble peut vous empêcher de fonctionner au quotidien, il est important de vous tourner sans attendre vers un spécialiste lorsque vous en reconnaissez les symptômes.

Lors de l’étude menée à ce propos, sur les 1000 participantes, 11 % souffraient d’anxiété post-partum (APP).

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Les enfants qui survivent au cancer ont des effets secondaires tardifs

Les avancées médicales tentent d’aider le plus d’enfants possible atteints du cancer à survivre et à mener une vie en santé. Cependant, des données fournies par des chercheurs de l’University of Florida Health confirment que survivre à un cancer infantile n’apporte pas que de bonnes nouvelles.

Après étude, rapporte Science World Report, c’est 70 % des survivants qui se retrouvent avec des effets secondaires néfastes 30 ans plus tard.

« La prévalence de ces symptômes est primordiale dans l’écart de la qualité de vie physique, mentale et sociale chez les survivants, » mentionne I-Chan Huang, auteur de la recherche. « En comprenant que ces symptômes sont la clé de la qualité de vie chez les patients, nous pouvons améliorer leur sort en diminuant ces effets à long terme. »

En tout, 1667 survivants à des cancers pendant l’enfance ont participé à l’étude. L’exposition à la toxicité reliée aux traitements du cancer a été mesurée, puis un questionnaire sur la qualité de vie des survivants leur a été soumis. Près de 70 % d’entre eux vivaient avec au moins un symptôme découlant du traitement de chimiothérapie, même 40 ans après celui-ci.

Le détail complet de l’étude se retrouve dans la revue Journal of Clinical Oncology.