Catégories
Uncategorized

L’allergie au vin est plus fréquente qu’on le croyait

Des chercheurs de l’Université Johannes Gutenberg de Mayence, en Allemagne, se sont penchés sur les symptômes de l’intolérance au vin. Sur les 4000 questionnaires envoyés, 950 ont été remplis, et les réponses ont été des plus surprenantes.
 
En fait, les chercheurs constatent que l’intolérance au vin est plus fréquente qu’ils ne le croyaient. 68 personnes ont mentionné avoir des malaises après avoir bu un verre de vin.
 
Ces troubles sont plus fréquemment des rougeurs de la peau, des démangeaisons et des écoulements nasaux. Chez certaines personnes, cela peut aussi provoquer des maux de ventre et une accélération du rythme cardiaque.
 
Certaines personnes ont mentionné ressentir ces malaises aussi avec la bière et autres alcools.
 
Le vin rouge semble causer plus de symptômes d’intolérance, et ce serait peut-être en raison de la protéine de transfert des lipides (LPT) des raisins.
 
De plus, on constate que les femmes sont plus affectées que les hommes par l’intolérance au vin.
 
Cette allergie demeure méconnue, seulement deux des 68 personnes avec une intolérance avaient reçu un diagnostic officiel.
 
On demande donc à ce que ce type d’intolérance soit considéré et fasse partie des tests d’allergies.
 
Catégories
Uncategorized

Moins de la moitié des asthmatiques contrôlent leurs symptômes

C’est ce qu’ont déterminé plusieurs pédiatres lors de l’International Consensus (ICON) on Pediatric Asthma à Genève.

« L’asthme pédiatrique est une maladie chronique qui requiert donc des traitements chroniques. […] Malgré l’accessibilité aux traitements, moins de 50 % des enfants asthmatiques contrôlent leurs symptômes », explique le professeur secrétaire général du EAACI et membre du Pediatric Asthma ICON, Nikos Padadopoulos.

L’asthme touche plus de 300 millions de personnes dans le monde. Dans certains pays même, un enfant sur trois en souffre, et 80 % de ceux-ci ont des allergies.

L’asthme représente un véritable problème pour les enfants qui en souffrent, qui deviennent très vulnérables. Des chercheurs des universités Yale et Brown ont conclu, après avoir suivi 430 enfants asthmatiques de 4 à 12 ans, que le plus faible taux de pollen dans l’air pouvaient les atteindre.

Rappelons également que plusieurs facteurs peuvent déclencher l’asthme pédiatrique. Par exemple, les enfants exposés à la fumée secondaire parentale sont plus susceptibles d’avoir des maladies respiratoires chroniques comme l’asthme toute leur vie.

Catégories
Uncategorized

Bonne nouvelle pour les enfants épileptiques

Le deux tiers des jeunes atteints d’épilepsie myoclonique juvénile, qui touche les adolescents et les jeunes adultes, finissent par ne plus du tout avoir de symptômes de la maladie. De plus, 30 % d’entre eux pourront cesser tout traitement, selon une étude publiée dans la revue en ligne Epilepsia.

Ces résultats prouvent donc l’efficacité des traitements contre l’épilepsie de longue durée.

En fait, quelques facteurs peuvent prédire que les crises disparaissent. Par exemple, l’enfant peut avoir des crises généralisées au départ de l’épilepsie, qui sont souvent précédées de crises myocloniques et que l’on traite avec une médecine antiépileptique.

Aussi, l’un de ces signes est la rémission ainsi que la fréquence des crises généralisées pendant le traitement.

Cependant, à la fin du traitement, le patient soumis à de brefs éclairs lumineux auquel réagit le cerveau en envoyant des décharges est susceptible de subir d’autres crises dans l’avenir.

Généralement, l’étude a quand même permis de prouver que le traitement antiépileptique à long terme est efficace.

Rappelons qu’une équipe de l’Université Concordia à Montréal a créé une méthode informatisée pour détecter les crises plus rapidement et de façon plus précise. L’algorithme peut vérifier les signaux électriques du cerveau des personnes et déterminer plus clairement quand survient une crise.

Catégories
Uncategorized

Grossesse : trucs pour soulager les nausées

Plus fréquentes en matinée et lors du premier trimestre de la grossesse, les nausées sont souvent provoquées par une augmentation du taux d’œstrogènes, un faible taux de sucre dans le sang et un odorat plus développé.

Le site Medical News Today suggère aux nombreuses femmes aux prises avec ce désagrément de se reposer le plus possible et d’éviter de trop bouger après avoir mangé.

Le matin, prenez le temps de vous lever, ne faites pas de gestes rapides ou brusques qui pourraient conduire à l’étourdissement.

Les spécialistes disent d’éviter la caféine, les aliments gras ou épicés et de favoriser de petites portions. Toujours avoir sous la main une collation saine (craquelins au beurre d’arachide, yogourt, légumes, etc.) qui comblera l’estomac vide, et manger un morceau avant de se lever du lit le matin.

Dans la même optique, les experts suggèrent une collation riche en protéines avant la nuit, et des aliments froids ou frais comme des fruits ou des compotes au lever.

Évitez la fatigue oculaire en ne travaillant pas trop longtemps devant un ordinateur. Il semblerait que le presque imperceptible scintillement de l’écran d’ordinateur peut provoquer des effets désagréables.

Même si le cœur ne semble pas au rendez-vous, il est important de faire de l’activité physique et de bien s’hydrater. Huit verres d’eau sont recommandés quotidiennement et peuvent aider à diminuer les nausées. Les boissons et collations au gingembre ont également un effet très bénéfique sur les maux de cœur.

Le romarin et les extraits de citron seraient des odeurs à privilégier pour chasser les nausées. Quant aux suppléments ou vitamines, certaines femmes ne digèrent pas les comprimés de fer. Remplacer les vitamines pour adultes par celles des enfants pourrait être une option dans certains cas.

Finalement, les spécialistes recommandent aux femmes de connaître leurs limites, de percevoir les éléments déclencheurs de leurs nausées, de porter des vêtements dans lesquels elles sont confortables et de se changer les idées (lire, écouter de la musique, etc.).

Catégories
Uncategorized

Grossesse : trucs pour soulager les nausées

Plus fréquentes en matinée et lors du premier trimestre de la grossesse, les nausées sont souvent provoquées par une augmentation du taux d’œstrogènes, un faible taux de sucre dans le sang et un odorat plus développé.

Le site Medical News Today suggère aux nombreuses femmes aux prises avec ce désagrément de se reposer le plus possible et d’éviter de trop bouger après avoir mangé.

Le matin, prenez le temps de vous lever, ne faites pas de gestes rapides ou brusques qui pourraient conduire à l’étourdissement.

Les spécialistes disent d’éviter la caféine, les aliments gras ou épicés et de favoriser de petites portions. Toujours avoir sous la main une collation saine (craquelins au beurre d’arachide, yogourt, légumes, etc.) qui comblera l’estomac vide, et manger un morceau avant de se lever du lit le matin.

Dans la même optique, les experts suggèrent une collation riche en protéines avant la nuit, et des aliments froids ou frais comme des fruits ou des compotes au lever.

Évitez la fatigue oculaire en ne travaillant pas trop longtemps devant un ordinateur. Il semblerait que le presque imperceptible scintillement de l’écran d’ordinateur peut provoquer des effets désagréables.

Même si le cœur ne semble pas au rendez-vous, il est important de faire de l’activité physique et de bien s’hydrater. Huit verres d’eau sont recommandés quotidiennement et peuvent aider à diminuer les nausées. Les boissons et collations au gingembre ont également un effet très bénéfique sur les maux de cœur.

Le romarin et les extraits de citron seraient des odeurs à privilégier pour chasser les nausées. Quant aux suppléments ou vitamines, certaines femmes ne digèrent pas les comprimés de fer. Remplacer les vitamines pour adultes par celles des enfants pourrait être une option dans certains cas.

Finalement, les spécialistes recommandent aux femmes de connaître leurs limites, de percevoir les éléments déclencheurs de leurs nausées, de porter des vêtements dans lesquels elles sont confortables et de se changer les idées (lire, écouter de la musique, etc.).

Catégories
Uncategorized

Une nouvelle méthode pour réduire la durée du rhume

Le Journal de l’Association médicale canadienne rapporte que les pastilles de zinc peuvent réduire la durée du rhume chez les adultes, permettant deux jours de moins de maladie.
 
Selon la Dre Michelle Science, on n’a remarqué aucun effet chez les enfants, probablement en raison du fait que durant les essais cliniques, les petits ont reçu des doses plus petites et sous forme de sirop.
 
Cependant, les bénéfices peuvent être vite relégués au second plan en raison des effets indésirables, notamment le mauvais goût des pastilles, mais aussi la possibilité de ressentir des nausées.
 
De plus, on ajoute que les pastilles de zinc n’ont aucune incidence sur l’intensité des symptômes du rhume.
 
Il reste maintenant à trouver le type de zinc et les doses exactes qui sont les plus efficaces pour réduire la durée du rhume.

Catégories
Uncategorized

L’autisme serait plus sévère chez les enfants nés avant et après terme

C’est ce qu’a démontré une étude de l’Université du Michigan parue dans le Journal of Autism and Development Disorders. De plus, les autistes nés beaucoup plus tôt ou beaucoup plus tard que la date prévue ont plus de chances de se blesser facilement.

Dans le passé, des études avaient déjà permis de faire le lien entre l’autisme et les naissances prématurées, mais aucune avant celle-ci ne s’était penchée sur la gravité des symptômes.

L’étude ne révèle cependant pas pourquoi les symptômes augmentent. Par contre, les auteurs soupçonnent que les symptômes habituels des enfants nés dans des conditions semblables sont en partie responsables de l’aggravation de ces symptômes.

« L’environnement extérieur dans lequel évolue un bébé prématuré est très différent de celui qu’il aurait connu in utero. Ce changement dans l’environnement peut faire partie des raisons pour lesquelles il y a une différence dans la sévérité de l’autisme dans cet ensemble de nourrissons », explique Tammy Movsas, auteure de cette étude.

Rappelons que les spécialistes estiment qu’un enfant sur 88, âgé en moyenne de 8 ans, souffre d’un trouble du spectre autistique (TSA). Les statistiques auraient triplé depuis 2002.

Catégories
Uncategorized

Une mutation génétique à l’origine des grippes sévères

Une faille génétique expliquerait pourquoi certaines personnes développent des complications sévères avec le virus de la grippe.
 
Le gène IFITM muté, qui ne produit plus ses protéines, ne protègerait pas contre les infections virales, rendant les cellules plus sensibles.
 
Seule une petite partie de la population présente cette mutation, mais elle est grandement liée aux complications, selon ce que rapportent les chercheurs du Wellcome Trust Sanger Institute et de l’University College London dans la revue Nature.
 
Selon leurs recherches, les souris dépourvues de ce gène avaient plus de risques de développer des symptômes sévères de la grippe, comparativement à celles qui avaient un gène normal.
 
D’après les tests menés sur 53 humains hospitalisés pour la H1N1, on estime que 0,3 % de la population présenterait cette mutation génétique, et que 5,7 % des hospitalisations pour la grippe mettent en cause ce gène muté.
 
Les complications grippales peuvent se caractériser par une importante perte de poids, des symptômes plus graves, une présence plus importante du virus dans les poumons, des signes d’une pneumonie soudaine et grave ainsi que des lésions pulmonaires importantes.
 
Catégories
Uncategorized

Les charcuteries aggravent les symptômes des maladies respiratoires

Les charcuteries peuvent aggraver les symptômes des maladies respiratoires comme l’emphysème, rapporte l’European Respiratory Journal.
 
Après avoir suivi 274 patients pendant deux ans, dès leur première hospitalisation pour des troubles respiratoires, les chercheurs ont établi un lien clair entre une consommation élevée de charcuteries et des symptômes beaucoup plus graves chez les sujets.
 
En fait, ceux qui consommaient le plus de charcuteries (par exemple plus de quatre tranches de jambon par jour) aggravaient beaucoup leur état et avaient plus de chances de devoir se rendre à l’hôpital que les moins grands consommateurs.
 
On croit que cet effet nocif serait causé par les nitrites qui sont utilisés comme agent de conservation dans les charcuteries, permettant également de protéger des bactéries.
 
Cependant, les nitrites causeraient une inflammation des bronches, croient les chercheurs.
 
Catégories
Uncategorized

Enfants: les symptômes de commotion cérébrale peuvent durer un an

Certains enfants qui souffrent d’une commotion cérébrale peuvent rencontrer de multiples difficultés, notamment des problèmes de mémoire, et ce, pendant de nombreux mois, révèle une étude américaine. 

Les commotions cérébrales, également connues sous le nom de lésions cérébrales traumatiques légères, sont fréquentes dans l’enfance. Par an, plus de 500 000 enfants et adolescents ont besoin d’un traitement hospitalier pour ces blessures, ont noté les chercheurs.
 
« Il y a une proportion faible, mais significative, de jeunes qui vont avoir des symptômes persistants après leur blessure, d’une durée aussi longue que trois à 12 mois, » a déclaré le chercheur principal, Keith Owen Yeates, du Centre hospitalier pour enfants de Columbus, en Ohio.
 
« L’ampleur et la durée des symptômes semblent être liées à la gravité de la blessure et peuvent affecter la qualité de vie et le rendement scolaire », a-t-il expliqué dans son rapport publié le 5 mars dernier. Ce dernier peut être consulté en ligne dans les Archives of Pediatrics & Adolescent Medicine.
 
Les chercheurs soulignent le fait que les commotions cérébrales sont prises plus au sérieux par les médecins, les parents et les entraîneurs de nos jours. Les sports sont importants pour la santé, mais des précautions doivent être prises pour protéger les jeunes des blessures à la tête.
 
« Si les enfants ont des symptômes d’une commotion cérébrale, ils devraient être retirés du jeu et ne devraient pas y retourner sans voir un médecin ».