C’est ce qu’ont déterminé plusieurs pédiatres lors de l’International Consensus (ICON) on Pediatric Asthma à Genève.
« L’asthme pédiatrique est une maladie chronique qui requiert donc des traitements chroniques. […] Malgré l’accessibilité aux traitements, moins de 50 % des enfants asthmatiques contrôlent leurs symptômes », explique le professeur secrétaire général du EAACI et membre du Pediatric Asthma ICON, Nikos Padadopoulos.
L’asthme touche plus de 300 millions de personnes dans le monde. Dans certains pays même, un enfant sur trois en souffre, et 80 % de ceux-ci ont des allergies.
L’asthme représente un véritable problème pour les enfants qui en souffrent, qui deviennent très vulnérables. Des chercheurs des universités Yale et Brown ont conclu, après avoir suivi 430 enfants asthmatiques de 4 à 12 ans, que le plus faible taux de pollen dans l’air pouvaient les atteindre.
Rappelons également que plusieurs facteurs peuvent déclencher l’asthme pédiatrique. Par exemple, les enfants exposés à la fumée secondaire parentale sont plus susceptibles d’avoir des maladies respiratoires chroniques comme l’asthme toute leur vie.
Le deux tiers des jeunes atteints d’épilepsie myoclonique juvénile, qui touche les adolescents et les jeunes adultes, finissent par ne plus du tout avoir de symptômes de la maladie. De plus, 30 % d’entre eux pourront cesser tout traitement, selon une étude publiée dans la revue en ligne Epilepsia.
Ces résultats prouvent donc l’efficacité des traitements contre l’épilepsie de longue durée.
En fait, quelques facteurs peuvent prédire que les crises disparaissent. Par exemple, l’enfant peut avoir des crises généralisées au départ de l’épilepsie, qui sont souvent précédées de crises myocloniques et que l’on traite avec une médecine antiépileptique.
Aussi, l’un de ces signes est la rémission ainsi que la fréquence des crises généralisées pendant le traitement.
Cependant, à la fin du traitement, le patient soumis à de brefs éclairs lumineux auquel réagit le cerveau en envoyant des décharges est susceptible de subir d’autres crises dans l’avenir.
Généralement, l’étude a quand même permis de prouver que le traitement antiépileptique à long terme est efficace.
Rappelons qu’une équipe de l’Université Concordia à Montréal a créé une méthode informatisée pour détecter les crises plus rapidement et de façon plus précise. L’algorithme peut vérifier les signaux électriques du cerveau des personnes et déterminer plus clairement quand survient une crise.
Plus fréquentes en matinée et lors du premier trimestre de la grossesse, les nausées sont souvent provoquées par une augmentation du taux d’œstrogènes, un faible taux de sucre dans le sang et un odorat plus développé.
Le site Medical News Today suggère aux nombreuses femmes aux prises avec ce désagrément de se reposer le plus possible et d’éviter de trop bouger après avoir mangé.
Le matin, prenez le temps de vous lever, ne faites pas de gestes rapides ou brusques qui pourraient conduire à l’étourdissement.
Les spécialistes disent d’éviter la caféine, les aliments gras ou épicés et de favoriser de petites portions. Toujours avoir sous la main une collation saine (craquelins au beurre d’arachide, yogourt, légumes, etc.) qui comblera l’estomac vide, et manger un morceau avant de se lever du lit le matin.
Dans la même optique, les experts suggèrent une collation riche en protéines avant la nuit, et des aliments froids ou frais comme des fruits ou des compotes au lever.
Évitez la fatigue oculaire en ne travaillant pas trop longtemps devant un ordinateur. Il semblerait que le presque imperceptible scintillement de l’écran d’ordinateur peut provoquer des effets désagréables.
Même si le cœur ne semble pas au rendez-vous, il est important de faire de l’activité physique et de bien s’hydrater. Huit verres d’eau sont recommandés quotidiennement et peuvent aider à diminuer les nausées. Les boissons et collations au gingembre ont également un effet très bénéfique sur les maux de cœur.
Le romarin et les extraits de citron seraient des odeurs à privilégier pour chasser les nausées. Quant aux suppléments ou vitamines, certaines femmes ne digèrent pas les comprimés de fer. Remplacer les vitamines pour adultes par celles des enfants pourrait être une option dans certains cas.
Finalement, les spécialistes recommandent aux femmes de connaître leurs limites, de percevoir les éléments déclencheurs de leurs nausées, de porter des vêtements dans lesquels elles sont confortables et de se changer les idées (lire, écouter de la musique, etc.).
Plus fréquentes en matinée et lors du premier trimestre de la grossesse, les nausées sont souvent provoquées par une augmentation du taux d’œstrogènes, un faible taux de sucre dans le sang et un odorat plus développé.
Le site Medical News Today suggère aux nombreuses femmes aux prises avec ce désagrément de se reposer le plus possible et d’éviter de trop bouger après avoir mangé.
Le matin, prenez le temps de vous lever, ne faites pas de gestes rapides ou brusques qui pourraient conduire à l’étourdissement.
Les spécialistes disent d’éviter la caféine, les aliments gras ou épicés et de favoriser de petites portions. Toujours avoir sous la main une collation saine (craquelins au beurre d’arachide, yogourt, légumes, etc.) qui comblera l’estomac vide, et manger un morceau avant de se lever du lit le matin.
Dans la même optique, les experts suggèrent une collation riche en protéines avant la nuit, et des aliments froids ou frais comme des fruits ou des compotes au lever.
Évitez la fatigue oculaire en ne travaillant pas trop longtemps devant un ordinateur. Il semblerait que le presque imperceptible scintillement de l’écran d’ordinateur peut provoquer des effets désagréables.
Même si le cœur ne semble pas au rendez-vous, il est important de faire de l’activité physique et de bien s’hydrater. Huit verres d’eau sont recommandés quotidiennement et peuvent aider à diminuer les nausées. Les boissons et collations au gingembre ont également un effet très bénéfique sur les maux de cœur.
Le romarin et les extraits de citron seraient des odeurs à privilégier pour chasser les nausées. Quant aux suppléments ou vitamines, certaines femmes ne digèrent pas les comprimés de fer. Remplacer les vitamines pour adultes par celles des enfants pourrait être une option dans certains cas.
Finalement, les spécialistes recommandent aux femmes de connaître leurs limites, de percevoir les éléments déclencheurs de leurs nausées, de porter des vêtements dans lesquels elles sont confortables et de se changer les idées (lire, écouter de la musique, etc.).
C’est ce qu’a démontré une étude de l’Université du Michigan parue dans le Journal of Autism and Development Disorders. De plus, les autistes nés beaucoup plus tôt ou beaucoup plus tard que la date prévue ont plus de chances de se blesser facilement.
Dans le passé, des études avaient déjà permis de faire le lien entre l’autisme et les naissances prématurées, mais aucune avant celle-ci ne s’était penchée sur la gravité des symptômes.
L’étude ne révèle cependant pas pourquoi les symptômes augmentent. Par contre, les auteurs soupçonnent que les symptômes habituels des enfants nés dans des conditions semblables sont en partie responsables de l’aggravation de ces symptômes.
« L’environnement extérieur dans lequel évolue un bébé prématuré est très différent de celui qu’il aurait connu in utero. Ce changement dans l’environnement peut faire partie des raisons pour lesquelles il y a une différence dans la sévérité de l’autisme dans cet ensemble de nourrissons », explique Tammy Movsas, auteure de cette étude.
Rappelons que les spécialistes estiment qu’un enfant sur 88, âgé en moyenne de 8 ans, souffre d’un trouble du spectre autistique (TSA). Les statistiques auraient triplé depuis 2002.
Certains enfants qui souffrent d’une commotion cérébrale peuvent rencontrer de multiples difficultés, notamment des problèmes de mémoire, et ce, pendant de nombreux mois, révèle une étude américaine.