Étiquette : symptômes
Puisque leurs symptômes se ressemblent, le rhume et les allergies saisonnières sont difficiles à reconnaître. Pour s’y retrouver, on peut déceler quelques signes donnés par une spécialiste de la Loyola University en Illinois, Hannah Chow.
Comme l’a expliqué Dre Chow à Medical News Today, l’ultime différence entre un rhume et des allergies est l’apparition de fièvre. En effet, la fièvre accompagne un virus, non pas une réaction allergique.
En conclusion, Dre Chow soutient que la meilleure façon de prévenir ou de limiter les symptômes des allergies est encore d’éviter le plus possible l’exposition aux facteurs allergènes.
Des résultats probants suggèrent que la luminothérapie peut être une nouvelle avenue quant au traitement de la dépression chez la femme enceinte.
Dans le second groupe, environ 30 % des femmes ont noté une amélioration. La luminothérapie, qui est sans danger pour le bébé, serait donc une solution complémentaire efficace pour le traitement de la dépression prénatale.
De nombreuses personnes, surtout des femmes, sont obsédées par leur apparence et leur corps. Certaines veulent tellement être minces qu’elles en deviennent anorexiques.
HelpGuide a publié une liste de symptômes qui pourra vous aider à reconnaître si un proche souffre d’anorexie.
Si la personne continue de suivre un régime malgré le fait qu’elle soit mince, et si elle ne consomme que des aliments faibles en calories, posez-vous des questions.
De plus, si la personne est obsédée par le nombre de calories, les matières grasses et la teneur des nutriments et mesure chaque aliment, et si elle pense continuellement à la nourriture, cuisine toujours pour les autres, mais mange peu, il y a lieu de commencer à s’inquiéter.
Une personne anorexique peut aussi avoir des habitudes alimentaires étranges, comme refuser de manger en public, couper ses aliments en tout petits morceaux, mastiquer très longtemps ou même recracher la nourriture mastiquée.
L’anorexie peut s’accompagner d’une importante perte de poids en peu de temps. Aussi, la personne a toujours le sentiment d’être grosse, a une très mauvaise image d’elle-même et critique continuellement son apparence. Elle peut passer beaucoup de temps devant un miroir à se chercher des défauts.
Une personne anorexique refuse souvent de reconnaître qu’elle est trop maigre et fera en sorte de camoufler son corps avec des vêtements trop grands, par exemple, ou elle boira beaucoup juste avant de se peser. Elle peut également avoir une obsession pour les pilules pour maigrir, les laxatifs et les diurétiques.
De plus, si la personne fait de l’exercice à l’extrême et vomit après les repas, ce n’est pas non plus bon signe. Habituellement, si elle se rend à la salle de bain après avoir mangé pour vomir, elle ouvrira le robinet d’eau pour masquer le bruit et masquera l’odeur avec du rince-bouche ou une menthe.
Les allergies alimentaires sont un problème de plus en plus courant dans les pays occidentaux. Depuis 1990, le nombre de cas a fortement augmenté, passant de 6 à 8 % chez les enfants âgés de 3 ans et plus.
Afin de mieux guider les parents et les intervenants, le NICE (National Institute for Health and Clinical Excellent), en Angleterre, vient de publier un guide portant sur la détection, le traitement et la prévention des allergies alimentaires, comme nous l’apprenons sur Medical News Today.
Par exemple, on y apprend quels sont exactement les symptômes à observer qui indiqueraient une réaction allergique sévère. On compte parmi ceux-ci l’irritation cutanée, les problèmes gastro-intestinaux, les difficultés respiratoires et l’anaphylaxie.
Les aliments causant le plus grand nombre de réactions allergiques chez les enfants et les jeunes personnes sont les noix, le lait, le poisson, le soya, les œufs, le blé et le kiwi.
D’autre part, ce guide émet des mises en garde quant à la détection des allergies alimentaires. En ce moment, parmi les enfants qui ont une allergie, 20 % ont reçu un diagnostic fautif et ne peuvent manger certains aliments parce qu’ils s’y croient allergiques, sans que cela ait été confirmé.
Les symptômes de l’eczéma ne peuvent être diminués chez des enfants grâce à l’échange d’ions des adoucisseurs d’eau, selon PloS Medicine. On peut en effet y lire les résultats d’une récente recherche de l’Université de Nottingham, au Royaume-Uni, ayant porté sur le sujet.
Pour 336 enfants âgés de 6 mois à 16 ans ayant reçu un diagnostic d’eczéma, on a soit installé dans leur maison un adoucisseur d’eau en plus des traitements habituels de cette maladie de peau, soit on leur a administré lesdits traitements seulement, et ce, pour une période de 12 semaines.
On a mesuré la sévérité des symptômes d’eczéma de tous les participants à la 6e, 12e et 16e semaine. Bien que chacun des groupes étudiés ait connu une amélioration de ses symptômes, on n’a pu démontrer aucune différence clinique entre les enfants qui s’étaient retrouvés avec un adoucisseur d’eau à la maison.
De plus, parmi les parents qui avaient eu l’adoucisseur d’eau, seulement la moitié d’entre eux s’en sont procuré un à la suite de la recherche en raison d’une amélioration notable, selon eux, de l’eczéma de leur enfant.
Ainsi, les chercheurs de l’étude ne recommandent pas l’échange d’ions provenant des adoucisseurs d’eau pour traiter l’eczéma.
Une étude de l’Université de l’État de l’Iowa a établi certains paramètres psychologiques qui seraient à l’origine de l’emploi excessif des jeux vidéo.
En effet, si le jeu excessif peut mener à des problèmes psychiatriques, il semble que des symptômes déjà existants peuvent indiquer si un enfant développera ou non ces troubles.
Ayant porté sur 3 034 enfants, l’étude s’est étalée sur 2 ans. Sous forme de sondage, elle a eu lieu de 2007 à 2009 et ses résultats ont été récemment présentés dans Pediatrics.
Les chercheurs ont ainsi relevé comme symptômes pouvant mener au jeu pathologique l’impulsivité, les difficultés sociales, la dépression et les mauvais résultats scolaires.
Précisément, on a remarqué que plus un enfant était porté à jouer impulsivement, plus il avait tendance à montrer les autres symptômes.
D’autre part, les auteurs de l’étude en question reconnaissent que ces résultats auraient pu être plus poussés, en demandant l’avis des professeurs et des parents, par exemple.
On peut lire dans le New England Journal of Medicine que donner rapidement des antibiotiques contre l’otite serait des plus bénéfique pour un enfant.
Selon des données de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses des États-Unis, l’échec du traitement en serait ainsi diminué de 70 à 80 %.
De plus, les symptômes à moyen terme seraient plus faibles.
D’autres études abondent dans le même sens. Ainsi, en Finlande, on avait relevé 62 % moins d’échecs du traitement et 81 % moins de traitements additionnels en administrant tôt des antibiotiques.
Une précédente étude américaine avait aussi fait des observations semblables. Parue dans Pediatrics, on y disait entre autres que les symptômes en étaient diminués de 35 % au jour 2, de 61 % au jour 4 et de 81 % au jour 7.
On peut donc remettre en question les mises en garde connues à la résistance aux médicaments et aux effets secondaires.