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Potins

Un diagnostic d’autisme pour Louis T

Louis T, que l’on a pu voir de plus en plus au cours des dernières années, affirme avoir reçu un diagnostic tardif d’autisme.

L’humoriste serait atteint du syndrome d’Asperger, et témoigne de ce constat et de son expérience par l’entremise de son compte Facebook.

« «Bizarre», «particulier», «trop rationnel», «inadéquat», «maladroit», «insensible»… Ce sont des mots et qualificatifs que j’ai entendus toute ma vie, depuis mon plus jeune âge. Maintenant, les récents développements dans ma vie, comme avoir un enfant ainsi qu’écrire mon premier one-man-show, m’auront poussé à m’interroger. Moi qui me sent si différent des autres, pourquoi suis-je ainsi? Il y a quelques mois, je suis donc allé consulter un psy. Quelques tests plus tard, j’avais une partie de la réponse à savoir, «qui suis-je ?». Je suis un autiste! Plus précisément, je suis atteint du syndrome d’Asperger; ceux que l’on décrit aussi comme autiste avec un haut niveau de fonctionnement. Ce sont les mots de mon psychiatre, parce que selon ma blonde, je ne fais jamais rien à la maison. Mais ça c’est un autre sujet ? Qu’est-ce que ça change à ma vie de savoir ça? Ça me permet de mieux comprendre certaines erreurs que j’ai commises dans le passé et de les accepter. Aussi, de mieux me préparer pour les défis à venir de la vie quotidienne, encore plus pour les défis que comporte un métier public (quel drôle de choix!) », peut-on notamment lire sur la page de Louis T (extrait, intégral).

Les réactions sont nombreuses sur le compte de l’humoriste, que ce soit des gens du public ou des humoristes (comme P-A Méthot), venus saluer le courage et l’importance d’une telle révélation.

Une nouvelle? : scoop@buminteractif.com

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Bébé et cie

5 % des enfants américains souffrent du syndrome d’alcoolisation foetale

Philip May, du département de santé publique de l’Université de la Caroline du Nord, rappelle que « savoir qu’il ne faut pas boire pendant la grossesse et ne pas le faire sont deux choses différentes ».

Le syndrome d’alcoolisation fœtale est la forme la plus sévère d’un rassemblement de conséquences dues à l’alcool, mentionne Science World Report. Cela peut comprendre des malformations faciales, des anomalies cérébrales et des troubles du développement et du comportement.

Pour en arriver à ces conclusions, les scientifiques ont fait passer des tests et pris des mesures (grandeur, poids, circonférence de la tête) auprès de 1400 enfants de première année. Ils avaient ciblé une petite ville du Midwest où la consommation d’alcool était 14 % plus élevée que la moyenne.

Les chercheurs ont découvert que le taux du syndrome d’alcoolisation fœtale était également plus élevé. Il était de 6 à 9 enfants sur 1000, puis 11 à 17 sur 1000 pour le syndrome partiel.

« Il n’y a aucun meilleur moment pour boire pendant la grossesse », déclarent les chercheurs.

L’étude a été publiée dans la revue Obstetrics & Gynecology.

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Sport et Santé

Une nouvelle aide pour la diarrhée chronique

Les médecins confondent souvent le syndrome du côlon irritable avec la diarrhée chronique de l’adulte, aussi appelée diarrhée acide. Or, un adulte sur 100 dans les pays de l’Est souffrirait de cette affection.

Des chercheurs de l’Imperial College London croient avoir découvert la solution, du moins pour un soulagement de bonne durée, bien que temporaire. En anglais, on nomme le médicament OCA ou obeticholic acid.

L’OCA est le premier d’une nouvelle classification de médicaments, les agonistes du récepteur de farnésoïde x.

Le professeur Julian Walters spécifie : « Bien des médecins ne savent pas reconnaître la diarrhée acide, mais elle est plus fréquente que la maladie de Crohn ou la colite ulcéreuse. Lorsqu’ils sont correctement diagnostiqués, les patients sont pris en charge, mais ils trouvent le traitement désagréable ».

La diarrhée chronique est souvent reliée à une faible présence de l’hormone FGF19 qui régule la production de bile du foie. L’OCA vise justement les récepteurs qui stimulent la production de la FGF19.

La recherche a été publiée dans la revue scientifique Alimentary Pharmacology and Therapeutics.

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Nutrition

L’avantage du vin rouge pour le syndrome métabolique et l’ostéoporose

Science World Report rappelle que parmi les avantages du vin rouge se retrouvent la stimulation de la santé cardiaque, la longévité et une meilleure circulation sanguine.

Selon la plus récente recherche à ce propos au Danemark, un nouveau bienfait s’ajoute à la liste, ce qui aidera notamment les hommes souffrant du syndrome métabolique.

Le vin rouge accentue la densité osseuse grâce au resvératrol, l’un des composés naturels du raisin. On en retrouve aussi dans les noix, et ses propriétés sont anticancéreuses, anti-inflammatoires et antioxydantes.

Dans le cas du syndrome métabolique, les hommes présentent justement une dégradation osseuse prématurée due à l’inflammation. Cette maladie récente comprend un ensemble de facteurs qui augmentent les risques de maladie cardiaque et d’autres affections comme le diabète et l’AVC.

Éventuellement, les chercheurs de l’Université Aarhus espèrent même utiliser le resvératrol pour prévenir l’ostéoporose.

La principale auteure de la recherche, Dre Marie Juul Ornstrup, déclare : « Notre étude est la première à déterminer le potentiel du resvératrol pour développer un médicament contre l’ostéoporose ».

On retrouve l’étude dans la revue Journal of Clinical Endocrinology & Metabolism.

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Uncategorized

Le syndrome de stress post-traumatique relié à l’obésité chez les femmes

Les femmes qui souffrent du SSPT auraient une tendance plus marquée à développer une dépendance alimentaire, rapporte Science World Report.

Les troubles alimentaires sont souvent reliés aux difficultés psychologiques. Cependant, la présente recherche serait la première à déterminer avec certitude le lien entre la dépendance alimentaire chez la femme et le syndrome de stress post-traumatique.

Le SSPT est décrit par un trouble anxieux conséquent d’une expérience traumatisante telle que la guerre, un désastre ou une agression. Il est déjà sur la liste des risques potentiels d’obésité.

Susan M. Mason et son équipe de l’Université du Minnesota ont cependant poussé la recherche plus loin au niveau des femmes. L’étude a porté sur un total de 49 408 femmes, dont 81 % avaient subi au moins un événement traumatisant.

Parmi elles, sur l’échelle des 7 symptômes post-traumatiques, 34 % n’en avaient aucun, 39 % de 1 à 3, 17 % de 4 à 5, et 10 % de 6 à 7 symptômes.

Sur les 66 % des femmes ayant au moins 1 symptôme post-traumatique, 8 % avaient développé une dépendance alimentaire pour contrer le stress associé à leurs symptômes.

La recherche a été publiée dans la revue JAMA Psychiatry.

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Un autre trouble génétique rare relié à l’autisme

Ce sont les affirmations de chercheurs des universités San Diego State et de la Californie, publiées dans la revue scientifique Genetics in Medicine.

Ils relient avec certitude le syndrome de Jacobsen à l’autisme. Selon eux, cette association offre également plus d’indices dans les fondements génétiques complexes du développement neurologique qui apparaît généralement durant les trois premières années de vie.

Cette maladie est engendrée par la délétion terminale 11q, soit l’absence d’une extrémité du chromosome 11. Les symptômes comprennent la déficience intellectuelle ainsi que des anomalies faciales, rénales et cardiaques. Le National Institute of Health affirme qu’une personne sur 100 000 en est atteinte.

« Il est devenu évident que les parents rapportaient des critères ressemblant à l’autisme », affirme la neuropsychologue Sarah Mattson, qui a assisté à la conférence sur cette maladie pour documenter ses recherches.

« Parce que le syndrome de Jacobsen est si rare, la conférence est très utile pour répondre à nos questions. »

Les scientifiques espèrent travailler de concert avec les parents dont les enfants sont atteints de la maladie pour développer d’autres études sur le sujet, rapporte Science World Report.

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Enfin un diagnostic de fatigue chronique?

Les personnes souffrant de ce qu’il est convenu d’appeler le « syndrome de la fatigue chronique » ne trouvent souvent pas beaucoup de soutien ou de compréhension auprès de leurs proches, leurs collègues ou même certains spécialistes en santé.

La raison de cette marginalisation est simple : il n’existe pour ainsi dire aucune manière de diagnostiquer le trouble. Cette absence de verdict clair empêche grandement la reconnaissance de ce mal qui touche pourtant plusieurs personnes.

« À ce jour, aucun marqueur biologique ou organique ne permet d’identifier ce syndrome. C’est un diagnostic difficile qui requiert l’exclusion des autres maladies responsables de fatigue chronique (cancer, maladies endocrines, maladies inflammatoires systémiques, psychiatriques, auto-immunes, etc.), explique d’ailleurs l’Association Française du Syndrome de Fatigue chronique.

Voilà qu’une nouvelle découverte permettrait de faire avancer la cause, alors que des chercheurs ont observé des différences physiques chez les patients atteints du syndrome grâce à des tests par résonnance magnétique, rapporte Top Santé.

Un dérèglement des ganglions cervicaux ou des noyaux gris seraient observables chez plusieurs patients de l’étude, ce qui permet aux spécialistes d’être optimistes quant à un possible diagnostic plus officiel du syndrome de fatigue chronique dans le futur.

Cette nouvelle percée et les conclusions de l’étude ont été publiées dans la revue PLoS One.

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Les bienfaits cachés de la menthe

MedicalNewsToday publie un article intéressant sur les bienfaits de la menthe, dont plusieurs sont certainement inconnus du grand public.

Il faut dire que l’ingrédient n’a pas nécessairement la saveur la plus appréciable au monde, mais peut-être que ces révélations inciteront quelques personnes à l’ajouter sporadiquement à leur alimentation.

On apprend notamment que la menthe pourrait permettre de lutter contre certaines allergies, notamment les saisonnières.

La menthe pourrait également s’avérer un allié dans la lutte contre les symptômes de la grippe. On retrouve d’ailleurs sur le marché plusieurs produits contre la grippe qui comprennent de la menthe.

Le plus intéressant demeure cependant la capacité présumée de la menthe à lutter contre les problèmes d’indigestion et, par le fait même, contre le syndrome du côlon irritable. Alors que ce dernier phénomène prend de l’ampleur et qu’aucun traitement efficace connu n’est disponible sur le marché, les patients qui souffrent du SCI n’auront sans doute aucun argument pour ne pas tenter l’expérience de la menthe.

En terminant, il semble que la menthe favorise également une peau en santé, en plus d’être efficace contre les piqures d’insectes.

Ces conclusions sont proposées par l’auteure et nutritionniste Megan Ware.

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Toujours aucun traitement spécifique contre le syndrome du côlon irritable

Le syndrome du côlon irritable est défini par de multiples symptômes possibles et touche de plus en de gens. Si aucun traitement spécifique et efficace pour l’ensemble des patients n’est encore sur le marché, il existe cependant des pistes de solution, et il subsiste de l’espoir.

Le syndrome du côlon irritable peut prendre la forme de douleurs abdominales (ventre), de constipation et de sentiments de gonflement ou de ballonnement. Il est associé par plusieurs au stress grandissant ressenti par une grande partie de la population.

Éviter le stress s’avère donc la première piste pour calmer le jeu, et les symptômes sont souvent variables et réversibles, rappelle la FDA. Plusieurs pistes de solution sont envisagées pour l’avenir d’un traitement, mais de nombreuses questions demeurent.

« Il y a pas mal de recherches à propos du rôle des féculents dans le déclenchement du syndrome du côlon irritable, plus spécialement celui d’un nutriment appelé polyol. De plus, les médecins et chercheurs examinent de plus près le rôle du régime alimentaire. Bien que plusieurs conditions médicales ont une prédominance masculine ou féminine, on ne comprend pas encore pourquoi les femmes sont plus touchées par le syndrome », explique Andrew Mulberg, de la FDA.

Ce dernier suggère aux patients de consulter fréquemment leur médecin et de tenter de multiples expériences, notamment en réduction du stress et en alimentation, afin d’observer les variations des symptômes.

Les spécialistes ont bon espoir d’en arriver à un consensus et à un traitement du syndrome du côlon irritable dans le futur.

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La PAI : un phénomène rare mais sous-estimé

Si vous êtes une jeune femme aux prises avec de sérieux problèmes de maux de ventre ou que vous connaissez une personne dans votre entourage qui éprouve ce genre de problème de santé, et que plusieurs diagnostics et traitements se sont avérés vains, il serait possiblement utile de vous familiariser avec la PAI, ou la porphyrie intermittente aiguë.

Phénomène rare mais sous-estimé, note Top Santé, la PAI s’attaque surtout aux jeunes femmes de 15 à 35 ans, à cause de leurs hormones, et toucherait tout de même une femme sur 75 000 dans le monde, apprend-on.

« Il faut dire que les douleurs abdominales orientent les médecins, le plus souvent et à juste titre, vers des pathologies médicales ou chirurgicales moins rares. Or, si des médicaments inadaptés sont prescrits pour soulager la douleur, le risque de survenue de complications devient plus important », notent certains experts, qui souhaitent voir les patients et médecins se sensibiliser au phénomène.

Détectable par un simple test d’urine, la porphyrie intermittente aiguë demeure traitable, selon les informations proposées, et serait surtout déclenchée par une variation (ou un traitement) au niveau des hormones, du stress ou une alimentation trop riche en calories.

Si vous ou l’un de vos proches éprouvez des douleurs abdominales ou au ventre et qu’aucune solution n’a porté des fruits, on suggère de s’informer auprès de son médecin concernant la possibilité d’un diagnostic de porphyrie intermittente aiguë.