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L’exposition foetale à l’alcool, pire chez les garçons?

Une récente étude de l’École de médecine de l’Université Northwestern a fait la lumière sur les raisons pour lesquelles les fœtus ne réagissent pas tous également à une exposition à l’alcool.

Si certains bébés ne connaissent aucun problème de santé lorsque leur mère consomme de l’alcool durant sa grossesse, d’autres souffriront pourtant du syndrome d’alcoolisme fœtal. Il semble d’ailleurs que les garçons y seraient plus vulnérables.
 
Selon les résultats de l’étude parue dans le FASEB Journal, la raison se cacherait dans les gènes. Une variation génétique donnée par la mère à son fils rendrait celui-ci plus fragile quant à la consommation d’alcool, même si elle est minime. La variation ébranlerait l’équilibre des hormones thyroïdes dans le cerveau.
 
On pourrait donc envisager, à la lumière de ces résultats, de créer un supplément alimentaire pouvant réguler lesdites hormones et ainsi corriger les problèmes liés à l’exposition à l’alcool durant la grossesse.

Rappelons finalement que le syndrome d’alcoolisme fœtal se décrit principalement par des problèmes de comportement, d’apprentissage et des troubles physiques.

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Alcool et grossesse : nouvelle étude surprenante

Les effets de l’alcool sur le bébé à venir sont peu connus. Des chercheurs ont voulu passer outre les limites culturelles et la difficulté d’étudier des fœtus humains en étudiant le cas de mouches à fruits.

Parus dans Disease Models & Mechanisms, les résultats obtenus par des chercheurs de l’Université de la Californie à San Francisco ouvrent certainement la voie à des études moléculaires du syndrome d’alcoolisme fœtal (SAF).

Déjà, cette recherche sur les mouches à fruits a permis de mettre en place une nouvelle méthode d’étude des effets néfastes de l’alcool sur le développement de l’enfant.

Ainsi, les chercheurs de l’étude ont tout d’abord exposé des mouches à fruits à l’alcool durant leur développement. Ils ont par la suite remarqué que ces dernières grandissaient plus lentement et qu’elles avaient un cerveau plus petit. Elles présentaient également des comportements anormaux et elles étaient plus sensibles aux effets de l’alcool à l’âge adulte.

On a par ailleurs pu prouver que ces problèmes étaient dus en partie aux interférences entre l’alcool et l’insuline. Rappelons que cette dernière est une molécule du cerveau essentielle au développement du fœtus.

Bien entendu, la quantité d’alcool était reliée à la gravité des effets. On comprend donc pourquoi on se remet encore en question quant à la consommation acceptable d’alcool durant une grossesse. Il semble pourtant que l’exposition à l’alcool est plus dommageable durant la fin de la gestation.

Rappelons finalement que le SAF est reconnu pour causer des retards intellectuels, des problèmes de comportement, des retards de développement et des traits faciaux anormaux.

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De nouvelles données sur l’alcool durant la grossesse

Même si l’on entend beaucoup parler de l’importance de ne pas consommer d’alcool durant la grossesse, cette habitude fait encore partie des mœurs, apprend-on dans Le Parisien.

Selon une récente étude, pas moins de 17 à 25 % des femmes enceintes continuent de boire de l’alcool malgré leur grossesse.

Ce qui est étonnant, c’est que six pour cent d’entre elles boivent même deux verres ou plus dans une même journée.

Même si les avis sont partagés quant aux répercussions sur le bébé, les spécialistes considèrent ces derniers chiffres comme alarmants.

C’est que certains risques pour l’enfant à venir demeurent associés à l’alcool, par exemple des malformations rénales ou cardiaques.

Le plus grand dangereux est encore le syndrome d’alcoolisme fœtal, qui peut entraîner un retard mental. Mentionnons qu’il touche les bébés dont la mère souffre d’alcoolisme.