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La méditation contre le syndrome de l’intestin irritable

Une étude effectuée sur 75 femmes de 19 à 71 ans a comparé les effets de la méditation sur le syndrome de l’intestin irritable et la participation à un groupe de soutien.
 
La méditation pleine conscience a permis de soulager la douleur des personnes qui souffraient de la maladie, notamment les douleurs abdominales et les ballonnements.
 
La méditation pleine conscience se concentre sur le moment présent, les sensations corporelles et les émotions, sans porter de jugement.
 
Après huit semaines, les personnes qui avaient médité ont noté une diminution de la gravité des symptômes de 26,4 %, alors que ceux qui avaient participé au groupe de soutien ont noté une amélioration de 6,2 %.
 
Trois mois après l’étude, on remarque que le premier groupe a une diminution des symptômes de l’ordre de 38,2 %, comparativement à 11,8 % chez le deuxième groupe.
 
Attention toutefois, la méditation n’est pas un traitement contre la maladie, mais elle aide à mieux la gérer.
 
Des études sur un plus grand nombre de personnes seront effectuées pour confirmer les résultats.
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L’activité physique soulage le syndrome de l’intestin irritable

Une étude suédoise publiée dans l’American Journal of Gastroenterology démontre que l’activité physique permet de réduire considérablement les symptômes du syndrome de l’intestin irritable (SII).
 
L’étude a suivi 102 personnes touchées par ce syndrome pendant trois mois. La moitié du groupe a augmenté son niveau d’exercices, alors que l’autre moitié n’a rien changé à ses habitudes.
 
Les personnes actives faisaient de 20 à 30 minutes d’activités (marche, course à pied, cyclisme ou natation) trois à cinq fois par semaine.
 
Les personnes qui avaient adopté un mode de vie plus actif ont noté une importante réduction des symptômes du SII, alors que la moitié du groupe qui n’avait rien changé à son mode de vie n’a noté aucun changement, même que dans certains cas, les symptômes se sont aggravés.
 
Le syndrome de l’intestin irritable se caractérise notamment par des maux de ventre, des ballonnements, de la diarrhée et de la constipation.
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Un nouveau traitement contre le syndrome de l’intestin irritable

Un nouveau médicament offre un traitement efficace et durable contre le syndrome de l’intestin irritable (SII), rapporte le New England Journal of Medicine.
 
Les scientifiques ont découvert que le Xifaxan (Rifaximine) pouvait traiter les symptômes du SII. Cet antibiotique est déjà approuvé aux États-Unis pour soulager la diarrhée du voyageur et l’encéphalopathie hépatique. Par contre, il n’est pas encore offert au Canada.
 
Deux essais cliniques ont confirmé l’efficacité de ce traitement contre le syndrome et 1 200 personnes qui en étaient affectées ont participé à l’étude. Elles ont ressenti un grand soulagement et les effets continuaient de se faire sentir même après avoir arrêté de prendre le Xifaxan. Cela voudrait dire qu’il agit sur la cause de la pathologie, selon les médecins.
 
Jusqu’à présent, les moyens de traiter le syndrome de l’intestin irritable étaient plutôt limités. Ils consistaient en un changement de régime alimentaire de la part du patient ainsi qu’une prise de compléments de fibres.
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Les horaires de travail rotatifs affectent les intestins

Une nouvelle étude américaine dévoile que les personnes qui travaillent tantôt de jour et tantôt de nuit sont plus affectées par le syndrome de l’intestin irritable, qui est la deuxième cause d’absentéisme au travail ou à l’école.
 
Le syndrome de l’intestin irritable (SII) est un trouble de fonctionnement du gros intestin qui cause des douleurs abdominales souvent associées à de la diarrhée ou de la constipation, ou encore les deux en alternance.
 
L’étude a été réalisée avec 399 infirmières. 214 travaillaient de jour, 110 de nuit et 75 avaient des rotations dans leur horaire de travail. Elles devaient mentionner leurs douleurs abdominales et leur trouble du sommeil aux chercheurs.
 
On a constaté que les troubles de sommeil n’étaient pas reliés au syndrome de l’intestin irritable, mais que les horaires de travail auraient un impact. Chez celles qui avaient des horaires rotatifs, 48 % étaient plus affectées par le syndrome, alors que le nombre était de 31 % chez celles travaillant de jour. Par contre, pour les infirmières travaillant de nuit, les résultats étaient sensiblement les mêmes.
 
C’est surtout pour les douleurs abdominales que l’impact est le plus significatif, car 81 % des femmes travaillant en rotation en souffrent, comparativement à 54 % de celles qui travaillent de jour et 61 % de celles qui ont le quart de nuit.