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Les pleurs aigus de bébé décodés par les scientifiques

Linda LaGasse, chercheuse à la Brown Medical School, affirme que si les pleurs du bébé sont plus aigus et que la fréquence sonore varie plus que la normale, votre enfant pourrait être en difficulté respiratoire.

TheBump rapporte quelques indications soumises lors de la recherche publiée dans la revue Mental Retardation and Developpmental Disabilities. « Le signal envoyé par les pleurs a un potentiel de diagnostic énorme; par exemple, un cri très aigu peut nous aviser que quelque chose ne va pas avec le nourrisson », affirme LaGasse. Selon elle, il pourrait s’agit d’un élément précurseur pour signaler un besoin de tests neurologiques.

Une théorie avec laquelle le coauteur de la recherche, Barry Lester, est entièrement d’accord. Ils poussent leur réflexion plus loin en suggérant que ce type de pleurs peut être un facteur indiquant un risque du syndrome de mort subite du nourrisson.

« La résonnance est identifiée par des analyses informatisées du signal émis par les cris. Une analyse détaillée du signal envoyé par les pleurs représente une partie importante pour comprendre le “message en entier”, ce qui doit être laissé aux professionnels. »

D’autres recherches seront nécessaires, puisqu’il n’y a pas suffisamment de preuves pour conclure que certains pleurs spécifiques représentent automatiquement un problème de santé.

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Plus de têtes plates

Pour prévenir au maximum le syndrome de mort subite du nourrisson, on recommande notamment le dodo sur le dos. Cependant, cette habitude a entraîné une autre conséquence, quoiqu’elle ne soit pas si grave : il y a maintenant plus de cas de tête plate.

Depuis que l’on fait dormir les poupons sur le dos, ce type de déformation du crâne a augmenté de 13 %.

On lit toutefois dans Pediatrics que la plupart des déformations du crâne, chez le poupon, sont normales et sans conséquences. Elles peuvent être corrigées facilement, et ce, par une simple surveillance des parents, qui veillent à faire des changements de position.

Par exemple, on peut placer notre bébé sur le ventre durant 30 à 60 minutes, toujours en le surveillant. Alterner le côté de la tête sur lequel le bébé dort chaque nuit est aussi une bonne méthode de prévention.

De plus, ce désavantage est minime, en comparaison avec les bénéfices du dodo sur le dos. Depuis que cette mesure est encouragée, soit 1992, le taux de mortalité du syndrome de la mort subite du nourrisson a diminué de moitié.

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Mort subite : suivons les conseils

On lit sur EurekAlert! les conclusions de spécialistes quant aux données actuelles sur le syndrome de mort subite du nourrisson. Présentées lors de l’American Academy of Pediatrics National Conference and Exhibitionà Boston, elles préconisent surtout de suivre les mêmes conseils.

Intitulée Retrospective Review of Sleeping Conditions in Infant Deaths in New Mexico, cette analyse portait sur une étude ayant compris 91 cas de morts d’enfants de moins de 12 mois au Nouveau-Mexique, entre 2006 et 2010.

En ce sens, les parents d’un poupon doivent le coucher sur le dos, comme il est de mise depuis quelques années. La campagne sur cette position a réduit de 50 % les cas de mort subite.

D’autre part, les spécialistes mentionnent que d’autres facteurs peuvent jouer un rôle quant à ce syndrome encore très peu expliqué. Entre autres, on déconseille de partager le lit avec les très jeunes enfants ou de les faire dormir ailleurs que dans leur lit.

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Mort subite : risque élevé avec papa et maman

Il semble qu’un poupon qui dort avec ses parents serait plus à risque du syndrome de mort subite du nourrisson et d’accidents fatals survenant durant le sommeil.

Cette observation provient d’une étude australienne, laquelle a démontré que parmi 72 morts subites survenues entre 2008 et 2010, 33 se sont produites alors que le bébé dormait sur la même surface qu’un adulte. Parmi cesdites surfaces, on compte le lit, le divan, le matelas et la chaise berçante.

Ajoutons que 28 % de ces 33 derniers cas ont été identifiés comme un syndrome de mort subite du nourrisson, comme il est présenté dans The Canberra Times.

Les chercheurs recommandent donc, d’ici à ce que d’autres recherches soient faites, que le poupon dorme sur une surface séparée de ses parents, dans la même pièce que ceux-ci, et ce, durant au moins ses quatre premiers mois de vie.