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L’exposition du foetus à la nicotine déclenche un changement métabolique qui engendre l’obésité

C’est Daniel Hardy, docteur de la Schulich School of Medicine & Dentistry de London, au Canada, qui en est arrivé à cette conclusion. L’absorption de nicotine par le fœtus engendre des conséquences négatives, notamment le risque de l’obésité. L’une des causes réside dans un syndrome métabolique déclenché par la nicotine, qui modifie le foie et entraine une production excédentaire de triglycérides.

Pour corroborer cette théorie, des rats ont reçu 1 mg par kg par jour de nicotine, soit l’équivalent de ce à quoi un fumeur adulte est habitué. Les scientifiques ont noté qu’à la naissance, la progéniture était plus petite que la moyenne. Mais 6 mois plus tard, alors que les rats atteignaient leur maturité, ils ont découvert un changement marquant au niveau du foie, créant un excédent de triglycérides, un facteur précurseur de l’obésité.

« Nous savions que fumer pendant la grossesse était nocif. Mais le problème, c’est qu’un cinquième des femmes enceintes au Canada continue à fumer, et 30 études ont démontré que les bébés de mères fumeuses ont 47 % plus de risques de développer un surpoids », déclare Hardy.

Mais il semble y avoir de l’espoir, selon Science World Report. La recherche, en parallèle, étudie l’effet de l’acide folique, qui pourrait être l’antidote de la surproduction de triglycérides. Les effets se sont avérés concluants sur le foie endommagé d’animaux.

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Les régimes plus efficaces le matin

Des chercheurs israéliens ont testé les effets d’un régime peu calorique (1400 kcal/jour) sur un groupe de femmes considérées comme obèses et souffrant du syndrome métabolique sur une période de 12 semaines.

Un premier groupe consommait un plus grand apport en calories le matin, et l’autre groupe, le soir.

À noter que le syndrome métabolique décrit un ensemble de facteurs de risque pour plusieurs maladies graves telles que le diabète de type 2, les troubles cardiovasculaires et les AVC.

Les résultats de l’étude, publiés dans le magazine Obesity, ont indiqué que le groupe du matin avait perdu plus de poids et de tour de taille que le groupe de soir.

De plus, les triglycérides avaient affiché une baisse de 33,6 % chez les volontaires matinales, contre une hausse de 14,6 % pour les autres. La tolérance au glucose était aussi meilleure dans le premier groupe.

En conclusion, il est maintenant prouvé qu’il est préférable pour les gens obèses souffrant du syndrome métabolique de consommer une plus grande quantité de calories de leur régime amaigrissant au déjeuner et au diner plutôt qu’au souper.

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Conséquences sérieuses pour les jeunes adultes qui évitent le lait

Parus sur AlphaGalileo, les résultats de cette nouvelle étude démontrent qu’un minimum de 3 portions de produits laitiers devrait être consommé chaque jour par les jeunes adultes.

Sinon, les gens de ce groupe d’âge ont trois fois plus de chance de développer le syndrome métabolique. Ce syndrome désigne l’association de plusieurs problèmes de santé ayant en commun le mauvais fonctionnement du métabolisme du corps.

Il se manifeste lorsqu’une personne présente 3 des symptômes suivants : obésité abdominale, haute pression sanguine, haut taux de sucre et taux élevé de lipides et de cholestérol. Ce syndrome augmente significativement le risque de développer des maladies cardiaques et du diabète de type 2.

« Un seul participant sur quatre consommait une quantité satisfaisante de produits laitiers », dit Margarita Teran-Gracia, professeure en science alimentaire et nutrition humaines à l’Université de l’Illinois.

C’est avec la collaboration de l’université américaine que l’étude a été faite auprès d’étudiants mexicains dans le cadre du projet Up Amigo de l’Universidad Autonoma de San Luis Potosí, au Mexique.

« Cette recherche est très importante pour les Hispano-Américains, car plus de 72 % d’entre eux sont obèses », précise la Dre Teran-Garcia.

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Le syndrome métabolique serait lié au sexe et à l’ethnicité des enfants

Des chercheurs écossais ont analysé les résultats de 85 études portant sur le syndrome métabolique chez les enfants.

Cette revue de littérature suggère que ce syndrome est beaucoup plus présent chez les enfants obèses que chez ceux qui font simplement de l’embonpoint, et encore plus présent que chez les enfants de poids normal.

Le syndrome risquait également plus d’être diagnostiqué si les enfants présentaient des conditions reliées, par exemple une pression artérielle élevée ou encore une résistance à l’insuline.

Le problème est aussi beaucoup plus fréquent chez les garçons que chez les filles, et chez les enfants plus vieux, par rapport aux plus jeunes. Il y avait également un lien entre l’ethnicité et la région du monde dans laquelle vivaient les enfants. Les chercheurs ont suggéré que ce dernier lien soit étudié plus en profondeur dans des études subséquentes.

Le syndrome métabolique est une combinaison de problèmes médicaux qui, ensemble, augmentent le risque de développer des maladies cardiovasculaires et du diabète.

Certaines études suggèrent que la prévalence de ce syndrome serait de 25 % dans la population américaine. La prévalence augmente avec l’âge, et c’est pourquoi la présence du syndrome chez les enfants est préoccupante.

L’analyse a été publiée dans la revue médicale Metabolic Syndrome and Related Disorders.

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La peau de la pomme pour vaincre l’obésité

Si vous consommez des pommes, mangez-les avec leur peau. Celle-ci contient de l’acide ursolique qui a la faculté d’accélérer la combustion des calories.
 
Selon la revue PLoS ONE, les chercheurs sont parvenus à réduire l’obésité des souris qui avaient une alimentation riche en gras avec ce type d’acide.
 
L’acide ursolique a non seulement la faculté de brûler les graisses, mais augmente également la masse musculaire.
 
Ces deux phénomènes ont été observés sur des souris obèses, ce qui laisse croire à l’équipe de l’Université de l’Iowa que cela pourrait aussi protéger contre le prédiabète et la maladie du foie gras.
 
« Grâce à de précédentes recherches, nous savions que l’acide ursolique augmente la masse musculaire et l’énergie chez des souris saines, ce qui pouvait suggérer ses bénéfices dans le traitement de l’atrophie musculaire », explique le professeur Christopher Adams.

 
De plus, on constate que l’acide ursolique aurait aussi la capacité d’augmenter la graisse brune qui, elle, contribue à protéger de l’obésité.
 
« Notre étude suggère que l’acide ursolique augmente le muscle squelettique et le tissu adipeux brun, entraînant une combustion plus importante de calories et donc un effet protecteur contre l’obésité liée à un régime riche en graisses », ajoute le professeur.
 
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Certains facteurs à la naissance peuvent influencer le développement du syndrome métabolique

Une personne est atteinte du syndrome métabolique lorsqu’elle possède une combinaison de 3 risques particuliers ou plus pour la santé.

Chacun de ces facteurs peut augmenter le risque de contracter le diabète, une maladie cardiaque ou un accident vasculaire cérébral. Toutefois, le risque est grandement augmenté lorsque ces variables sont combinées.

Une étude grecque estime que la prévalence au syndrome métabolique durant l’enfance et l’adolescence a augmenté ces dernières années, passant d’environ 2 % dans le milieu des années 1990 à environ 10 % aujourd’hui, notamment aux États-Unis et en Europe occidentale.

Précis à 98 % dans l’identification du syndrome métabolique pendant l’adolescence, l’évaluation des 3 facteurs à la naissance permet de faire croire aux auteurs de l’étude que cela pourrait servir de test complémentaire, comme un test de dépistage précoce après la naissance.

Cependant, avant d’évaluer tous les bébés naissants, d’autres précisions doivent être apportées à plus grande échelle, et d’autres points doivent être évalués pour connaître l’influence sur le profil métabolique, tels que le niveau d’éducation parentale, le statut socioéconomique et l’exposition à la fumée secondaire à la maison.

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Une poignée de noix pour diminuer la graisse abdominale

Une équipe de l’Université de Barcelone mentionne qu’une simple poignée de noix, d’amandes et de noisettes pourrait aider à diminuer la graisse abdominale.
 
Selon les résultats des travaux publiés dans le Journal of Proteome Research, une consommation de noix permettrait de se sentir rassasié plus longtemps.
 
C’est la première fois que l’on associe une consommation de noix à l’augmentation de la sérotonine, une substance qui réduit l’appétit, augmente le sentiment de bonheur et améliore la santé cardiaque.
 
Durant l’étude, les personnes qui ont consommé une poignée de noix nature ont eu des effets positifs sur leur santé, particulièrement contre le syndrome métabolique, qui se caractérise par un excès de graisse abdominale, de même que l’hyperglycémie et l’hypertension artérielle.
 
Ainsi, les effets bénéfiques seront multipliés en jumelant les noix à une saine alimentation, réduisant du même coup le poids, mais aussi les risques de développer le diabète de type 2 ou des maladies cardiaques.
 
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Une poignée de noix pour diminuer la graisse abdominale

Une équipe de l’Université de Barcelone mentionne qu’une simple poignée de noix, d’amandes et de noisettes pourrait aider à diminuer la graisse abdominale.
 
Selon les résultats des travaux publiés dans le Journal of Proteome Research, une consommation de noix permettrait de se sentir rassasié plus longtemps.
 
C’est la première fois que l’on associe une consommation de noix à l’augmentation de la sérotonine, une substance qui réduit l’appétit, augmente le sentiment de bonheur et améliore la santé cardiaque.
 
Durant l’étude, les personnes qui ont consommé une poignée de noix nature ont eu des effets positifs sur leur santé, particulièrement contre le syndrome métabolique, qui se caractérise par un excès de graisse abdominale, de même que l’hyperglycémie et l’hypertension artérielle.
 
Ainsi, les effets bénéfiques seront multipliés en jumelant les noix à une saine alimentation, réduisant du même coup le poids, mais aussi les risques de développer le diabète de type 2 ou des maladies cardiaques.
 
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Enfant gros, enfant malade

On lit sur Health l’avis d’une spécialiste de la Miller School of Medicine (University of Miami), Dr Sarah Messiah, quant au surpoids en bas âge.

Selon elle, un enfant âgé d’à peine deux ans est déjà exposé à des problèmes de santé importants dans sa vie adulte s’il a un surpoids. Dès cet âge, il présente des symptômes du syndrome métabolique.

Ce problème de santé peut mener entre autres à une maladie cardiaque et au diabète. Ainsi, un enfant qui souffre de problèmes de poids est déjà un enfant malade. Néanmoins, l’un des premiers dangers consiste en la résistance à l’insuline, laquelle est déjà observable chez des enfants de cinq ans.

Dr Messiah rappelle que le premier enjeu auquel est confronté l’enfant en surpoids est la prévalence du diabète.

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Le Pycnogenol pour combattre le syndrome métabolique

Le Pycnogenol offrirait une protection pour les reins des patients qui souffrent du syndrome métabolique. Ce médicament est composé d’un extrait de l’écorce de pin maritime.
 
Des essais cliniques sur 58 patients avec le syndrome métabolique et signes précurseurs de troubles rénaux ont démontré l’efficacité de cet extrait sur la maladie.
 
Le syndrome métabolique peut affecter grandement les reins lorsqu’il s’accompagne d’une haute pression artérielle et d’un haut taux de glycémie.
 
Les 58 participants à l’étude étaient tous en traitement avec l’antihypertenseur Ramipril, mais 31 d’entre eux ont également reçu 150 mg de Pycnogenol quotidiennement.
 
Dans le premier groupe, les marqueurs indiquant les éventuels troubles rénaux ont été réduits de 22 %. Par contre, ceux ayant reçu l’écorce de pin ont vu leurs marqueurs chuter de 53 %. De plus, la pression artérielle de ces patients a également diminué, de même que leur indice de masse corporelle, rapporte le Panminera Medica.