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Les bienfaits du régime méditerranéen encore prouvés

On vient une fois de plus de prouver que la base du régime méditerranéen, soit du poisson, de l’huile d’olive et des légumes, promet la santé et préviendrait même le syndrome métabolique.

Rappelons que ce dysfonctionnement se reconnaît, entre autres, par un taux d’insuline élevé, l’hypercholestérolémie, l’hypertension artérielle, l’obésité et l’hyperglycémie.

Des chercheurs de l’Université Harokopio d’Athènes ont donc analysé 50 articles scientifiques, ce qui correspond au total à 534 906 sujets.

Cette étude parue dernièrement dans le Journal of the American College of Cardiology a démontré que suivre un régime méditerranéen avait un impact positif et notable sur le taux HDL (cholestérol) et celui du glucose, de même que sur le tour de taille et la tension artérielle, entre autres.

Ainsi, il serait bénéfique d’adhérer à ce régime procurant de grandes quantités d’acides gras mono-insaturés. De plus, l’amélioration du mode de vie, ce qui inclut l’exercice physique régulier, réduirait encore plus les risques de diabète de type 2, de maladies cardiovasculaires et de cancer.

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Ronfler peut présenter un risque accru de syndrome métabolique

Les personnes qui ronflent, qui ont un sommeil agité ou qui se réveillent fatiguées ont plus de chances de développer un syndrome métabolique. Ce dernier est une association de différents problèmes de santé qui augmentent les risques de maladies cardiaques, d’accidents vasculaires cérébraux et de diabète.
 
Selon le journal Sleep, si vous avez un excès de poids, surtout au niveau de l’abdomen, que vous souffrez d’hyperglycémie, d’hypertension, que votre niveau de bon cholestérol est trop bas et que votre niveau de sucre sanguin est trop haut, vous avez de fortes chances de développer un syndrome métabolique.
 
Les adultes qui ronflent sont deux fois plus à risque. Ceux qui ont du mal à s’endormir ont 80 % des chances de souffrir du syndrome métabolique et ceux qui se réveillent fatigués ont 70 % plus de risques.
 
Pour éviter le ronflement, on recommande fortement de perdre du poids, de dormir sur le côté, d’utiliser des bandelettes nasales et de limiter sa consommation d’alcool et de sédatifs.
 
24 % des femmes et 40 % des hommes ronflent régulièrement.
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Les boissons sucrées de nouveau pointées du doigt

Après avoir évalué les données de onze études, réalisées sur un total de 310 819 personnes, on conclut que les boissons sucrées (boissons gazeuses, fruitées, énergétiques, thés glacés, eau vitaminée, etc.) augmentent les risques de diabète de type 2 et du syndrome métabolique chez une personne qui en boit quotidiennement 1 à 2 portions de 12 onces, soit l’équivalent d’une canette de 355 ml.
 
C’est la première fois qu’une étude rassemble les données sur les troubles de santé associés à ce type de boissons, mentionne Diabetes Care.
 
Les personnes qui boivent 1 à 2 portions de boissons sucrées augmentent de 26 % leurs risques de développer le diabète de type 2 et de 20 % leurs risques de syndrome métabolique.
 
Ces boissons font grandement augmenter le taux de sucre dans le sang. Une seule contient de 15 à 40 g de sucre ajouté.
 
Entre 1970 et 2006, la consommation de ce type de boissons est passée de 64 calories à 142 calories par jour aux États-Unis. Au Québec, elle a augmenté de 100 % entre 1977 et 1997.
 
On recommande donc d’opter pour des choix plus santé, comme l’eau.
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Les bienfaits de manger à heures régulières

Ceux qui surveillent ce qu’ils mangent devraient en plus porter une attention à la régularité de leurs repas.

En effet, selon des chercheurs de l’Institut Karolinska, en Suède, les personnes qui mangent à n’importe quelle heure de la journée sont plus à risque de souffrir de syndrome métabolique et de développer une résistance à l’insuline.

Ce syndrome se caractérise par un tour de taille équivalant au double de la normale, une hypertension artérielle, de l’hyperglycémie et un taux réduit de cholestérol HDL, qui sont tous des facteurs de risque pour développer des maladies cardiovasculaires et du diabète de type 2.

Pour en arriver à ces conclusions, les chercheurs ont observé 400 personnes de plus de 60 ans qui étaient reconnues pour s’alimenter de façon irrégulière et sauter des repas.

« Habituellement, on porte une attention aux aliments que l’on mange, mais nos résultats démontrent que la façon dont on les mange est aussi importante pour la santé », a précisé la Dre Mai-Lis Helenius.

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Souffrez-vous du syndrome métabolique ?

Le Centre hospitalier de l’Université de Montréal (CHUM) organise des journées de sensibilisation au syndrome métabolique destinées au grand public. Des tests afin de déterminer si les gens en sont atteints seront même offerts.

Il y a 20 % des Québécois, c’est-à-dire un sur cinq, qui souffrent du syndrome métabolique dont plusieurs n’en sont pas au courant. N’occasionnant aucun symptôme visible, le syndrome métabolique ne peut être découvert que par un professionnel de la santé.

Ce problème de santé n’est pas une maladie, mais plutôt un regroupement d’au moins trois problèmes qui, ensemble, peuvent représenter un risque énorme de développement de maladies cardiovasculaires, de diabète et d’accident vasculaire cérébral (AVC).

Les anomalies à surveiller sont les suivante :

  1. Un surplus de poids au niveau de la taille.
  2. Du cholestérol sanguin.
  3. Une glycémie sanguine élevée.
  4. Une tension artérielle élevée.

Selon la docteure Élaine Letendre, il faudrait prévenir et traiter ce problème en adoptent tous de saines habitudes de vie.