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Près du double du risque de cancer pour les amateurs de malbouffe

La malbouffe est au plus bas. Jamais sa réputation n’aura été aussi entachée que maintenant, et cette récente étude en provenance des Pays-Bas ne risque pas d’améliorer la situation.

Si on savait que la malbouffe était mauvaise pour la santé, il appert qu’elle augmenterait dramatiquement les risques de cancer, rapporte Santé Log.

Et pas de moindre façon, puisque selon les chercheurs de l’Université de Wageningen, on parle de risques de cancer qui se voient augmentés de 200 % chez ceux qui consomment régulièrement ce genre d’aliments et qui souffrent d’une condition héréditaire comme le syndrome de Lynch, par exemple.

Une bien mauvaise publicité pour les chaînes de restauration rapide, qui tentent par tous les moyens de redorer leur blason. Même chose en ce qui concerne les croustilles et autres grignotines, qui se retrouvent aussi au banc des accusés dans cette étude.

Les conclusions de cette dernière ont été publiées dans le magazine Cancer (American Cancer Society) et somment les gens aux prises avec des conditions héréditaires ou des problèmes de santé d’adopter sans attendre de nouvelles (et bonnes) habitudes alimentaires.

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Les oméga-3 et la DMLA

Les oméga-3 ont un impact bénéfique sur la santé, on le sait, mais ils pourraient aussi jouer un rôle important dans la prévention de la DMLA, rapporte Santé Log.

Avant d’expliquer cette cause à effet, il serait bon d’expliquer en quoi consiste la DMLA. Cette dernière semble complexe, mais elle est pourtant toute simple. Il s’agit de la dégénérescence maculaire liée à l’âge, un problème qui survient souvent chez les personnes qui commencent à prendre de l’âge.

Selon les chercheurs français, les oméga-3 pourraient aider à prévenir ce navrant syndrome, et ainsi aider à conserver des yeux en santé le plus longtemps possible.

La DMLA serait par ailleurs la raison numéro un des cas de cécité dans les pays les mieux développés, notamment en Amérique. Il est ainsi important de trouver des pistes de solutions pour une population qui continue de vieillir, selon les moyennes.

Intéressant donc de constater qu’une piste naturelle est envisagée.

D’autres facteurs peuvent influencer les chances de souffrir de la DMLA, soit le tabagisme, le régime alimentaire ainsi que l’hérédité (ADN).

 

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Un nouveau nom pour désigner le syndrome ovarien polykystique?

Les National Institutes of Health annoncent avoir demandé à un panel d’experts de se pencher sur la question de l’appellation du syndrome ovarien polykystique, qu’il juge trop complexe.

Selon l’organisation, l’appellation actuelle apporte beaucoup de confusion au sein de la population, spécialement chez les femmes qui souffrent de ce syndrome.

Le syndrome ovarien polykystique est un désordre hormonal chez la femme qui peut créer de la douleur et des problèmes de fertilité. On note une hausse des cas rapportés en Amérique du Nord, et voilà pourquoi de plus en plus de spécialistes soulignent l’importance d’étudier le phénomène.

Le premier point à l’ordre du jour est justement le nom de ce syndrome, qui ne permet pas de bien comprendre sa complexité et ses impacts sur le corps et la santé des femmes.

« Le nom syndrome ovarien polykystique est une distraction qui nuit au progrès. Il est temps d’assigner un nom qui reflètera les interactions qui caractérisent ce syndrome. Le bon nom devra souligner et reconnaitre le problème et être favorable à une meilleure recherche », conclut le panel d’experts.

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Le syndrome métabolique et le cancer

On apprend par l’entremise de e-sante.fr que la façon dont les gens se traitent eux-mêmes est assurément un facteur influent dans les risques de cancer.

On traduit l’ensemble des comportements adoptés par un individu sur sa santé comme « l’hygiène de vie », mais un terme plus scientifique et précis s’attache à ce groupe de comportements : le syndrome métabolique.

Ce dernier est défini comme un ensemble de comportements et de caractéristiques physiques qui en découlent, comme l’obésité, la haute pression et le taux de cholestérol dans le sang, par exemple.

Ce groupe de problèmes physiques est maintenant clairement mis en évidence dans le développement de plusieurs cancers, et les chercheurs italiens en tête de l’étude démontrent son influence sur les risques de développement de la maladie.

Les conclusions sont celles qui découlent de l’analyse de 43 études précédentes sur le sujet, qui regroupaient les données recueillies sur pas moins de 39 000 personnes.

Le syndrome métabolique augmenterait les risques de cancer du foie et colorectal de 43 % et 25 %, respectivement, chez l’homme, alors qu’il augmente de 61 % et 34 % les risques de cancer de l’endomètre et colorectal chez la femme, respectivement.

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La malbouffe et les grignotines augmenteraient les risques de cancer du côlon

Ne jetez pas vos sacs de croustilles à la poubelle tout de suite, car ce qui suit concerne en premier lieu les gens qui sont déjà à risque de développer un cancer du côlon dans leur vie.

Les résultats de l’étude qui suit peuvent également s’appliquer à tout le monde et envoient un autre signal d’alarme concernant la malbouffe et les collations composées de grignotines mauvaises pour la santé.

C’est que selon l’étude rapportée par www.nlm.nih.gov, des chercheurs des Pays-Bas ont réussi à déceler un risque accru de cancer du côlon chez les gens qui ont déjà des prédispositions envers cette maladie, génétiquement ou via un syndrome comme celui de Lynch, par exemple.

On explique qu’en suivant 486 patients prédisposés à ce type de cancer, les chercheurs concluent que les risques de développer cette maladie en ne mangeant pas sainement et en consommant des collations malsaines augmentent drastiquement… parfois même jusqu’à 50 %.

« Nous avons remarqué chez les patients atteints du syndrome de Lynch qui avaient de mauvaises habitudes alimentaires (croustilles, aliments frits, etc.) un risque accru de 50 % de développer un cancer du côlon que chez ceux qui s’alimentaient bien », confirme Akke Botma, de l’Université Wageningen.

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Le syndrome de stress post-traumatique serait d’ordre génétique

Pourquoi certaines personnes succombent-elles à un syndrome de stress post-traumatique (SSPT) alors que d’autres non? Des chercheurs de l’Université de Californie auraient peut-être trouvé une réponse à cette question.
 
Selon le Journal of Affective Disorders, deux gènes spécifiques, le TPH1 et le TPH2, seraient impliqués dans ce type de syndrome. Ces gènes sont liés à la production de sérotonine qui régule l’humeur, le sommeil et la vigilance, trois états affectés lors d’un syndrome de stress post-traumatique.
 
Des variantes sur ces gènes augmentent les risques de succomber au syndrome.
 
« Les gens peuvent développer le syndrome de stress post-traumatique après avoir survécu à une épreuve terrible comme la guerre, le viol ou une catastrophe naturelle. Si nos résultats étaient confirmés, ils permettraient de cibler des médicaments spécifiques pour prévenir et traiter le développement du SSPT », explique l’auteur principal, le Dr Armen Goenjian.
 
« Nous soupçonnons que les variantes du gène entrainent une réduction de la production de sérotonine, ce qui prédispose au SSPT après un traumatisme. Notre prochaine étape, pour confirmer ces résultats, sera d’essayer de reproduire les résultats sur un échantillon plus large et plus hétérogène », ajoute-t-il.
 
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Les risques de syndrome de la tête plate accrus par les sièges de voiture pour enfants

Les experts, inquiets de voir le taux de syndrome de la tête plate augmenter, se questionnent sur le mode de vie des parents d’aujourd’hui.

Selon eux, les parents seraient trop occupés et, pour le côté pratique de la chose, laisseraient leurs enfants dans leurs poussette, berceau ou siège d’auto. Ce faisant, la tête du bébé reposerait contre une surface beaucoup trop longtemps.

Certains bébés passeraient plus de 8 heures par jour dans la même position.

« La limite recommandée d’utilisation de sièges de voiture est d’une heure ou deux, mais ils sont souvent utilisés pour plus longtemps que cela », explique l’orthésiste spécialiste dans le traitement de difformités, Kate Chauhan.

Rappelons que ce syndrome est également lié à une campagne visant à suggérer aux parents de coucher leurs bébés sur le dos plutôt que sur le ventre, afin de réduire les risques de mort subite du nourrisson.

Cependant, la position du bébé ainsi placé fait en sorte que la pression est plus grande au niveau de son crâne fragile. Toutefois, quand les poupons sont couchés sur le ventre, ils relèvent leur tête en utilisant les muscles de leurs bras, ce qui enlève du poids de leur crâne.

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L’insuffisance hépatique chez l’enfant

L’insuffisance hépatique sévère est un syndrome rare et très grave, et des adultes comme des enfants en sont atteints. Or, on lit une analyse sur Medscape qui remet en cause, entre autres, la transplantation du foie chez les enfants touchés.

Le fait est que les enfants qui bénéficient d’une greffe accusent encore, malgré l’intervention, de hauts risques de décès. De plus, les jeunes malades doivent souvent faire face à une longue liste d’attente pour une transplantation.

On explique donc que l’insuffisance hépatique sévère, chez l’enfant, doit être soignée selon une approche multidisciplinaire. Rappelons que la cause sous-jacente du syndrome demeure indéterminée dans de nombreux cas.

Malgré tout, dans le cas d’une insuffisance hépatique infantile, il faut recourir à des soins et envisager la transplantation le plus rapidement possible quand même. Ce syndrome entraîne une rapide détérioration neurologique, et plusieurs organes peuvent en subir les ravages en peu de temps.

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Mort subite : plus de risques pour certains bébés

On lit sur BBC une nouvelle qui pourrait semer la panique. Il semble qu’un faible poids de naissance soit relié au risque de mort subite du nourrisson.

Les chercheurs recommandent déjà aux parents d’un bébé de moins de 2,5 kg de le faire dormir dans leur chambre, dans un berceau, durant ses 6 premiers mois de vie.

C’est la Foundation for the Study of Infant Deaths qui a établi le constat mentionné. La raison première en demeurerait toutefois le tabagisme passif. Les bébés ayant un faible poids à la naissance seraient quand même plus vulnérables.

D’autres facteurs ont aussi été relevés. On pense ici au sexe, car les garçons seraient plus à risque, la monoparentalité et le trop jeune âge de la mère. Il est donc primordial, si un nouveau-né rejoint l’une ou plusieurs de ces conditions, de redoubler de prudence.

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Les secrets de l’autisme

L’autisme est encore peu compris, mais une nouvelle découverte nous permettrait un jour de détecter ce syndrome dès les premiers signes. Une étude de l’Institut des sciences Weizmann de Rehovot, en Israël, semble très prometteuse.

C’est qu’elle a permis de remarquer que les enfants atteints d’autisme présentent une faible synchronisation entre les hémisphères du cerveau durant leur sommeil. On croit donc qu’il serait possible de détecter l’autisme de cette manière un jour.

Les jeunes autistes âgés d’un à trois ans et demi ont en effet une connexion plus faible entre les deux parties cérébrales responsables de la production de la parole et de la compréhension du langage.

La force de cette synchronisation était reliée, dans le cadre de cette étude parue dans Neuron, à l’aptitude verbale, de la même façon qu’elle est inversement proportionnée quant aux problèmes de communication ouvertement reliés à l’autisme.

Afin d’en arriver à ce constat, les chercheurs ont fait passer une résonance magnétique à de jeunes enfants endormis.

Le fait que ce test s’effectue pendant le sommeil de l’enfant est bien sûr un autre de ses atouts. De plus, un diagnostic d’autisme en bas âge permet d’offrir des outils et du soutien plus efficaces aux enfants atteints.