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Un test sanguin prénatal pourrait prédire de nouveaux syndromes

On pourrait déchiffrer le code génétique de l’enfant à venir en utilisant un échantillon sanguin prélevé à aussi peu que 12 semaines, apprend-on dans Science Translational Medicine.

Ce nouveau test sanguin pourrait prévenir des syndromes et des maladies, et ce, en analysant l’ADN du foetus. On entend par là l’autisme, le syndrome de Down, voire les possibilités d’Alzheimer et de cancer.

Bien sûr, ce test éliminerait les risques actuels de fausse couche qu’entraîne par exemple l’amniocentèse, lorsqu’il faut pousser les analyses sur le fœtus. On sauverait ainsi une centaine de bébés par année.

Or, des scientifiques mettent en garde la venue d’un tel test. Les futurs parents pourraient tomber dans le piège de la recherche de l’enfant parfait en sachant tout sur sa santé future dès les premiers mois de grossesse.

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Nouveau syndrome pour les amateurs de café

Si vous consommez de grandes quantités de caféine, il est possible que vous souffriez du syndrome du caféinisme. Cela peut provoquer de la nervosité, de l’irritabilité, des maux de tête fréquents, de l’insomnie et pourrait même vous conduire jusqu’à la dépression, mentionne Passeport Santé.
 
De plus, le caféinisme peut aussi être à l’origine de symptômes qui ressemblent à une crise de panique comme des palpitations, un rythme cardiaque plus rapide, une transpiration et des tremblements.
 
Ceci peut être associé à une dépendance envers la caféine, ce qui veut également dire que toute personne qui consomme en moyenne plus de trois tasses de café par jour (la quantité peut varier d’une personne à l’autre) et qui décide de diminuer sa consommation devra passer par un type de sevrage.
 
La caféine peut poser des problèmes de santé chez plusieurs personnes. Elle stimule notamment le système nerveux et augmente le stress. Sans compter qu’elle fait aussi augmenter le taux de sucre dans le sang. On recommande une consommation de 400 mg par jour maximum, pour un adulte.
 
Rappelez-vous que la caféine est aussi présente dans le thé, le chocolat, le cola et les boissons énergisantes. En plus, Santé Canada a récemment donné l’autorisation pour l’ajout de caféine dans toutes les boissons gazeuses. Une décision qui soulève la colère de plusieurs spécialistes.
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Le syndrome d’Asperger lié à une hormone?

Selon des chercheurs de l’Université de Bath, en Angleterre, un faible taux de cortisol pourrait causer le syndrome d’Asperger, un trouble envahissant du développement.

L’équipe du Dr Mark Brosnan a remarqué que les enfants atteints de ce syndrome présentaient un taux plus faible de cette hormone à leur réveil et que le niveau de cortisol ne cessait de baisser au cours de la journée.

« Nous croyons que la différence dans cette hormone liée au stress pourrait être significative pour expliquer le syndrome d’Asperger chez les enfants qui sont moins capables de gérer les changements imprévus », a expliqué le Dr Brosnan.

Selon le chercheur, les symptômes de cette maladie sont exacerbés par le stress et l’hypothèse du cortisol pourrait être explorée davantage comme piste de solution.

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Un traitement contre le syndrome de stress post-traumatique

Une étude menée par le Dr Pal-Orjan Johansen, de l’Université Norvégienne de Science et Technologie de Trondheim, démontre que l’usage de la drogue ecstasy pourrait aider à mieux maîtriser les émotions des personnes aux prises avec l’état de stress post-traumatique (ESPT).

« Les patients qui souffrent d’ESPT ont tendance à fuir les expériences qui les traumatisent. Lorsqu’ils prennent de l’ecstasy, nous croyons que ça améliore leur condition, que ça tempère leurs craintes et qu’ils n’utiliseront plus le mécanisme de la fuite », a fait savoir l’auteur.

Selon lui, l’ecstasy favoriserait la production d’ocytocine, une hormone favorisant un état de confiance vis-à-vis d’autrui et de l’environnement.

Le Dr Johansen suggère maintenant que d’autres recherches soient effectuées afin de mieux comprendre le lien entre la drogue, le syndrome de stress post-traumatique et les troubles anxieux.

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Hausse des cas du syndrome du tunnel carpien

Une étude, publiée dans la revue Neurology, suggère que le risque de souffrir du syndrome du tunnel carpien, qui se caractérise par des engourdissements ou douleur au niveau des doigts, a augmenté considérablement au cours des deux dernières décennies.

Le Dr Russell Gelfman et ses collègues de la Clinique Mayo, à Rochester, ont analysé des dossiers médicaux de 1981 à 2005. Pendant cette période, 10 069 sujets ont souffert du syndrome, pour atteindre un ratio de 376 cas par 100 000 individus.

« L’incidence du syndrome du canal carpien a augmenté dès les années 1980 et ce serait difficile de l’attribuer à l’hérédité ou encore à des facteurs de risque physiques. Nous croyons plutôt que ce pourrait être lié au travail », soutient le Dr Gellman, qui croit que la prolifération des cas pourrait être liée à l’utilisation répétitive d’une souris d’ordinateur.

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Découverte d’un syndrome débilitant

Une étude, publiée sur le site Internet PLoS Genetics, nous apprend l’existence d’un nouveau syndrome débilitant appelé le MEDNIK.

Pour découvrir ce syndrome, provoqué par une mutation du gène AP1S1, le Dr Patrick Cossette, professeur adjoint rattaché au Centre de recherche du Centre hospitalier de l’Université de Montréal, a travaillé avec un groupe de familles québécoises de la région de Kamouraska ayant un ancêtre commun.

Le syndrome MEDNIK se caractérise par une déficience mentale, des maladies intestinales, une surdité, une neuropathie, des plaques sur la peau et une kératodermie.

« D’après nos observations, le syndrome MEDNIK pourrait fort bien être la conséquence d’un développement anormal de divers réseaux de neurones, dont la moelle épinière (ataxie et neuropathie), l’oreille interne (surdité de perception) et, probablement, le cerveau (microcéphalie et ralentissement psychomoteur) », a mentionné le Dr Cossette.

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Des recettes de grand-mère efficaces

Le Dr Alex Ford, de l’Université McMaster en Ontario, affirme que le meilleur traitement contre le syndrome du côlon irritable peut être aussi simple que des antispasmodiques et de l’huile essentielle à la menthe poivrée.

« De nouveaux traitements contre le syndrome ont été créés, comme l’alosétron et le tégasérod, mais les bonnes vieilles méthodes traditionnelles, peu dispendieuses et sans effet secondaire, sont tout aussi efficaces », prétend le Dr Ford.

2 500 personnes ont participé à cette étude. Un groupe était traité avec des antispasmodiques et de l’huile essentielle à la menthe poivrée, le deuxième recevait des placebos, tandis que le troisième n’était pas traité du tout.

Seulement aux États-Unis, ce trouble digestif touche 45 millions de personnes, dont 65 % sont des femmes. Cette maladie se caractérise, entre autres, par des douleurs abdominales, des ballonnements et des gonflements abdominaux.

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Découverte sur la mort subite des poupons

La mort subite du nourrisson serait provoquée par un déséquilibre de la sérotonine dans le cerveau du bébé. Cette amine agit entre autres sur la coordination de la respiration et du rythme cardiaque.

Le professeur Cornelius Gross, l’auteur principal de la recherche, explique : « Les chercheurs soupçonnent depuis un bon moment le lien entre l’instabilité de la sérotonine et le syndrome de la mort subite. Mais c’est la première fois qu’on réussit à prouver cette hypothèse sur un modèle animal. »

Réalisée sur des souris, cette étude a démontré que 70 % des rongeurs décédaient avant l’âge de trois mois lorsqu’il y avait un dérèglement de la sérotonine.

Cette découverte est bien accueillie par l’Association québécoise de pédiatrie, qui rappelle que le « dodo sur le dos » est encore le meilleur moyen de prévenir le syndrome de la mort subite du nourrisson.

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Une explication du syndrome de la guerre du Golfe

Plus de 15 ans après l’invasion américaine en Irak, des scientifiques ont réussi à identifier la cause du syndrome de la guerre du Golfe dont sont atteints environ 100 000 militaires américains, canadiens et britanniques, ce qui représente entre 26 et 32 % des effectifs déployés lors du conflit.

Selon les chercheurs de l’École de médecine de l’Université de San Diego en Californie, l’exposition à des substances toxiques dangereuses aurait causé ce syndrome, qui se caractérise par des douleurs musculaires, une fatigue chronique, des problèmes respiratoires, une perte de mémoire et de l’insomnie.

Il semblerait que certains médicaments, fournis par l’armée pour protéger les troupes contre des gaz neurotoxiques et des pesticides, auraient provoqué le syndrome.

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Les allergies liées au syndrome du côlon irritable

Selon des scientifiques associés au département de médecine de l’Université Rush, à Chicago, il existe un lien entre les allergies et le syndrome du côlon irritable (SII), dont 15 % des Américains sont atteints.

Les chercheurs ont observé 125 patients. Chez ces derniers, on notait une incidence 3,85 fois plus élevée du SII quand ils souffraient d’eczéma allergique, et 2,76 fois plus élevée dans le cas de rhinites allergiques saisonnières.

Il semble que l’asthme soit également associé au syndrome, puisque cette maladie respiratoire a été répertoriée dans 29 % des cas.

Lors d’éventuelles études sur le sujet, les chercheurs recommandent de subdiviser les sujets en deux groupes afin de mieux cerner le syndrome du côlon irritable : un groupe présentant des symptômes atopiques et l’autre, sans ces symptômes.

Les résultats de l’étude sont publiés dans Annals of Allergy, Asthma & Immunology.