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Est-ce vraiment mieux pour les enfants d’attraper des microbes lorsqu’ils sont jeunes?

Une large étude clinique publiée en 2002 semble confirmer que les petites maladies répétées en bas âge seraient bénéfiques à long terme.

En effet, selon cette étude, les enfants qui fréquentaient des garderies avec beaucoup d’enfants avaient deux fois plus de rhumes à l’âge de deux ans que ceux qui étaient dans de petites garderies ou restaient à la maison, mais à l’âge de 6 ans, lorsque tous ces enfants se retrouvaient à l’école, ils en attrapaient trois fois moins.

Une autre étude publiée en 2010 a confirmé ces résultats. Ce n’était qu’à l’âge de 13 ans que l’effet « protecteur » des grandes garderies et des maladies en bas âge s’estompait. L’explication : une fois qu’un enfant est exposé à un virus, son organisme produit des anticorps pour le combattre, et ces anticorps demeurent toute sa vie.

Une pédiatre, Yael Wapinki, a confirmé que « tous les enfants finiront par être exposés aux virus, ce n’est qu’une question de temps. Inutile de trop en faire sur le plan sanitaire : laver leurs mains suffit bien souvent. Il ne faut pas essayer de vivre dans une bulle! »

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Le manque de sommeil affecte notre système immunitaire

Un autre effet néfaste du manque de sommeil sur la santé est qu’il affecte grandement le système immunitaire.
 
Cela explique en partie pourquoi certaines personnes développent des maladies liées au manque de sommeil, comme l’obésité, le diabète ou l’hypertension.
 
En examinant le taux de globules blancs de 15 jeunes hommes en santé ayant en moyenne 24 ans, on constate qu’après un mode de veille de 29 heures, les globules blancs nommés granulocytes sont plus importants en nombre.
 
« Les granulocytes ont immédiatement réagi à la perte de sommeil et ont directement reflété la réponse au stress de l’organisme », mentionne la professeure Katrin Ackermann dans la revue Sleep.
 
En fait, les mécanismes moléculaires demeurent encore flous, mais les chercheurs savent bien que cela joue un rôle dans le développement de certaines maladies métaboliques liées au manque de sommeil, ce dernier engendrant un système immunitaire moins performant.

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Le curry stimule réellement le système immunitaire

Des chercheurs de l’Oregon State University confirment que la curcumine, le composé actif du curry, est bel et bien bonne pour la santé humaine, car elle stimule le système immunitaire.
 
En fait, la curcumine active un gène clé de la réponse immunitaire. Elle augmente la protéine CAMP, antimicrobienne, qui aide à combattre les bactéries, les virus et les champignons, et ce, même s’ils n’ont jamais été contractés auparavant.
 
Elle serait également efficace pour prévenir la tuberculose et l’apparition de septicémie.
 
De plus, la curcumine a des effets anti-inflammatoires et antioxydants qui sont également très bons pour la santé humaine.
 
Le curry est utilisé depuis des siècles par les médecines anciennes pour ses nombreuses propriétés qui sont donc bien réelles. N’hésitez donc pas à en consommer régulièrement afin de profiter de ses avantages.
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L’allaitement maternel donne à bébé un meilleur système immunitaire

Les universités de l’Illinois, de Miami et de l’Arkansas ont collaboré dans le cadre d’une étude qui a tenté de comparer les modes d’alimentation pour nourrissons (allaitement maternel ou artificiel) et leurs effets sur le système immunitaire des bébés.

Dans le Genome Biology, on apprend que le mode d’alimentation peut influencer le développement des bactéries et leurs interactions dans l’intestin du petit, tout comme il peut influencer le bon développement du système immunitaire du poupon.

L’allaitement maternel permettrait donc aux bébés d’avoir une colonisation bactérienne plus diversifiée que les enfants nourris par préparation artificielle, étant ainsi mieux protégés contre les antigènes alimentaires et les agents pathogènes, explique le site SantéLog.

L’étude, qui a observé les gènes exprimés dans les cellules de l’intestin d’enfants âgés de 3 mois, nourris au sein ou avec une préparation pour nourrissons, a démontré qu’il existait une association entre l’expression des gènes dans les bactéries et les gènes du système immunitaire chez le bébé.

Les chercheurs précisent : « Les bébés nourris au sein avaient plus de bactéries à Gram négatifs que les bébés nourris au lait. Les bactéries à Gram négatifs ont des gènes qui, bien que classés comme “virulents”, peuvent activer le système immunitaire ».

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Le lait maternel meilleur pour le bébé

Une étude de l’Université de l’Illinois montre que les oligosaccharides du lait humain, ou HMO, produiraient des acides gras qui nourriraient une population de microbes bénéfiques dans la gorge du poupon. De plus, la composition de ces bactéries s’ajusterait à la croissance de l’enfant et à l’évolution de ses besoins.

Les HMO sont présents en plus grandes quantités que les protéines dans le lait maternel. Ils sont absents, cependant, dans les formules pour bébés achetées en magasins.

« Les acides gras peuvent être utilisés comme source de bactéries bénéfiques et ils interviennent dans le développement gastro-intestinal et dans le pH de la gorge, ce qui réduit le nombre d’agents pathogènes responsables de plusieurs maladies », explique la professeure en nutrition de l’université, Sharon Donovan.

À court terme, les bactéries bénéfiques protègent l’enfant contre les infections par les bactéries nocives. À plus long terme, elles renforcent le système immunitaire du bébé et l’entraînent à se défendre contre des problèmes et maladies chroniques comme l’asthme ou les allergies alimentaires.

Rappelons que le lait maternel diminuerait aussi les niveaux de l’hormone de croissance IGF-1 et l’insuline dans le sang. Ceci ferait en sorte de ralentir le taux de croissance et le gain de poids, même après que l’enfant ait commencé à manger des aliments solides.

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Le stress affaiblit les défenses naturelles

Une étude américaine dévoilée par Top Santé explique pourquoi le stress affaiblit le système immunitaire, nous rendant plus vulnérables aux maladies.
 
En fait, la clé se trouverait dans le cortisol, l’hormone du stress qui est libéré en cas d’anxiété.
 
Habituellement, le cortisol agit comme un anti-inflammatoire permettant de combattre les bactéries, mais lorsque le niveau de stress est trop élevé, le processus est bouleversé.
 
« Les cellules immunitaires de personnes constamment stressées deviennent moins sensibles au cortisol. Elles sont incapables de réguler la réponse inflammatoire. Le corps serait donc plus vulnérable aux virus. Par conséquent, lorsque ces cellules sont exposées à un virus, elles courent plus de risques de développer un rhume », explique le principal auteur de l’étude, Dr Sheldon Cohen, professeur de psychologie à l’Université de Pittsburgh.
 
On a observé 276 personnes en santé, les interrogeant sur leur niveau de stress et la raison de celui-ci. On leur a ensuite donné un vaporisateur nasal avec une dose virale de rhume, puis les sujets ont été placés en isolation pendant 5 jours.
 
Au bout de ce temps, 39 % des personnes ont contracté un rhume, et les personnes les plus stressées avaient deux fois plus de chance d’en faire partie.
 
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La saleté et les germes sont bons pour la santé des enfants

Selon l’hypothèse hygiéniste, les enfants qui souffrent de l’asthme, de l’eczéma, du rhume des foins et du diabète se sont probablement rarement roulés dans la boue et dans les flaques d’eau ou ont rarement joué avec des animaux.

Si l’enfant n’est pas exposé très tôt à la saleté et aux germes de son environnement, son système immunitaire n’apprendra pas à contrôler sa réaction devant les envahisseurs de tous les jours, tels que la poussière et le pollen.

La revue Science rapporte que des expériences sur des souris par des chercheurs américains de l’Université Harvard ont permis de découvrir que les rongeurs axéniques, gardés dans des cages stériles et nourris d’aliments stériles, développaient des problèmes aux poumons et aux intestins beaucoup plus sévères, et ce, à peine quelques jours après avoir été placés avec des souris normales, hors de leur environnement habituel.

Pour le chercheur Richard Blumberg, il y a une importance cruciale d’approprier les microbes au système immunitaire dès les premières semaines de vie.

Finalement, il a été démontré également que les enfants qui capturent des insectes, jouent davantage dehors et ceux qui côtoient des animaux ou vivent sur une ferme sont moins susceptibles de souffrir d’allergies.

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Le manque de sommeil rend vulnérable aux maladies

Une nouvelle étude parue dans la revue Immunity confirme les effets néfastes du manque de sommeil sur la santé.
 
En effet, cela affecte également notre système immunitaire, nous rendant donc plus vulnérables aux maladies. De plus, cela influence aussi notre réponse à la vaccination.
 
Des tests menés sur des souris montrent que le niveau de protéine de détection de l’infection TLR9 fluctue toute la journée et conditionne les fonctions de l’immunité.
 
Lorsque notre horloge biologique est déréglée, cette protéine l’est tout autant.
 
L’équipe de l’école de médecine de l’Université Yale affirme qu’il y a bel et bien un lien direct entre notre horloge biologique, certaines des fonctions immunitaires et une implication dans la réponse de nos défenses lors de la vaccination.
 
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La maladie expliquée par la salive

On pourrait maintenant expliquer pourquoi les enfants ont des défenses immunitaires plus faibles que les adultes. Des chercheurs suédois, après avoir réalisé la cartographie de la salive d’enfants, auraient peut-être trouvé la question quant à l’incapacité de ces derniers à lutter contre des infections.

C’est que la salive, étant produite par les petites et les grandes glandes salivaires, contiendrait plusieurs éléments importants. Elles produisent une sécrétion qui lubrifie les muqueuses, mais qui contient aussi des substances antimicrobiennes.

Lesdites substances antimicrobiennes font partie des défenses du système immunitaire, nous protégeant ainsi des infections, lit-on sur Medical News Today.

Dans leur étude, les chercheurs ont analysé la salive de 200 sujets, qui comprenaient des enfants d’âge préscolaire, des adolescents et de jeunes adultes. Pour la première fois, on a tenté d’évaluer l’apparition de certaines composantes de défense immunitaire durant la croissance.

Entre autres, on a remarqué que les jeunes enfants présentaient une plus petite quantité d’immunoglobuline que les adultes. D’autres composantes se sont avérées très semblables, toutefois.

La différence entre les défenses immunitaires des enfants et des adultes s’expliqueraient simplement par le fait que le développement des premiers n’est pas complété. En se basant sur ces résultats préliminaires, on remarque déjà que le développement de ces défenses se produit entre 10 et 12 ans, bien que certaines soient déjà présentes durant la petite enfance.

Crédit pphoto : Stuart Miles / FreeDigitalPhotos.net

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Les légumes verts renforcent le système immunitaire

Même s’ils n’ont pas la cote, surtout auprès des enfants, il est important de manger des légumes verts, car ils sont de véritables carburants pour notre système immunitaire.
 
Selon le journal Cell, ils permettent à nos défenses de fonctionner correctement, surtout pour les cellules immunitaires des intestins et de la peau.
 
Pour la peau, ils sont la première barrière de défenses et permettent aux plaies de se cicatriser correctement.
 
Des tests menés sur des souris montrent que celles ayant eu un régime pauvre en légumes verts ont vu jusqu’à 80 % des cellules protectrices disparaître. Alors qu’avec une bonne consommation de ces aliments, les forces étaient beaucoup plus grandes pour réparer les dommages rapidement, notamment au niveau de l’intestin.
 
On espère que cette découverte suscitera de l’intérêt de la part du milieu médical, surtout pour les patients qui souffrent de maladies intestinales chroniques.