Catégories
Musique

Neil Young prépare un nouvel album et un deuxième livre

Neil Young n’en a pas que pour sa Pono et sa campagne Kickstarter. L’artiste serait sur le point de proposer son deuxième livre et un tout nouvel album, selon Music-News.

On peut donc affirmer qu’il s’agit d’une période prolifique pour le vétéran chanteur, qui a passé beaucoup de temps à promouvoir et rallier les éléments nécessaires à la création de son nouveau système musical.

Pourra-t-on écouter du nouveau matériel de Neil Young sur sa Pono bientôt? Il semble qu’il s’agit d’une prédiction réaliste, si l’on considère que Young a remporté son pari avec sa campagne Kickstarter, et qu’il confirme maintenant la parution prochaine de son tout nouvel album.

Enregistré dans les studios de Jack White et de son étiquette Third Man Records, l’album A Letter Home de Neil Young serait lancé incessamment, selon cette même source.

« C’est pour très bientôt. Ce n’est pas encore prêt pour la gloire, mais c’est un disque vraiment unique. C’est comme une capsule temporelle. Ça ne sonne comme rien que vous m’avez entendu faire récemment », explique Neil Young.

A Letter Home proposera certains succès chers au cœur de Neil Young. Jack White apparait également sur l’album, en plus d’avoir contribué à sa réalisation.

Le deuxième livre de Young, Special Deluxe, serait lui aussi presque terminé. Il fera suite à Waging Heavy Peace, paru en 2012.

Catégories
Musique

Neil Young et sa Pono remportent le pari Kickstarter

On vous parlait l’an dernier du plus récent projet de Neil Young, à savoir la création de sa Pono, un nouveau lecteur musical qu’il comptait lancer sur le marché afin d’améliorer la qualité d’écoute des fans de musique à travers le monde.

Or, le vétéran musicien a semblé s’essouffler dans sa quête de révolutionner l’industrie et l’écoute musicale portable et en ligne, repoussant la date de sortie de sa Pono

De retour plus convaincu que jamais, Neil Young lançait il y a quelques jours une campagne via Kickstarter, un système virtuel de levée de fonds qui vise à encourager et à financer les nouveaux projets et les artistes de la relève, notamment.

Le Rolling Stone rapporte maintenant que, quelques heures à peine après le lancement de sa campagne Kickstarter, Young atteint son objectif de 800 000 $ et devrait donc pouvoir aller de l’avant avec la Pono.

Le chanteur a proposé divers cadeaux pour mousser les dons, mais parions que ses fans auraient voulu contribuer à ce beau projet sans trop d’incitatifs.

Plusieurs artistes, dont Bruce Springsteen, Eddie Vedder, James Taylor, Tom Petty et Sting, sont venus à la défense du projet et ont affirmé la nécessité de voir le système Pono être commercialisé.

Ce dernier promet des chansons de meilleure qualité que celles écoutées en ce moment sur les appareils bien connus, en plus d’un service de streaming en ligne.

Le prix initial du lecteur Pono de Neil Young serait établi à 400 $ (US).

Catégories
Uncategorized

Un bilan positif pour le Hacking Health de Montréal

Luc Sirois et le Dr Fabrice Brunet étaient de passage dans les studios de la radio de Radio-Canada pour dresser un bilan de l’événement Hacking Health, qui se déroulait les 21, 22 et 23 février dernier.

Ayant pour but de réunir divers experts en informatique et en santé afin de travailler à des solutions d’avenir pour améliorer l’accès et la qualité des soins de santé, l’événement a attiré plus de 300 participants cette année.

Une batterie de designers, gestionnaires, informaticiens, programmeurs, infirmiers et infirmières, médecins et autres professionnels se sont donc donné rendez-vous à Sainte-Justine au cours du week-end pour ce « hackathon » hors de l’ordinaire.

Luc Sirois dresse un bilan positif de ce week-end technologique et croit que l’événement apporte son lot de pistes de solutions pour l’avenir.

L’événement fait aussi des petits, puisque des week-ends Hacking Health se tiennent un peu partout au pays. D’autres villes comme Paris, Strasbourg et Hong Kong entendent également joindre le mouvement, selon Radio-Canada.

Écouter l’entrevue accordée par Luc Sirois et Fabrice Brunet à Radio-Canada.

Catégories
Uncategorized

Une clinique infirmière pour désengorger le système de santé

Un nouveau projet soumis par la Fédération interprofessionnelle de la santé du Québec (FIQ) semble être une bonne idée, mais n’obtient pas tout l’enthousiasme escompté, selon le 24H Montréal.

La FIQ propose un nouveau concept de clinique composée d’infirmières certifiées, qui pourraient recevoir des patients qui désirent une consultation ou un suivi pour des problèmes de santé mineurs.

Aucun médecin sur place donc, mais la possibilité de parler avec un ou une professionnel(lle) de la santé sans pour autant attendre des heures ou engorger davantage les urgences et cabinets de médecins du Québec.

Plusieurs trouvent l’idée excellente, comme on pourrait le présumer. C’est le cas du directeur général du Regroupement provincial des comités des usagers, Pierre Blain : « C’est une excellente idée, ça va dans le sens de la simplification de l’accès aux soins pour la population, mais il faut voir comment on pourrait répartir les tâches des professionnels. On n’a pas nécessairement besoin de voir un médecin lorsqu’on a des problèmes de santé mineurs ».

Paul G. Brunet, président du Conseil pour la protection des malades, abonde dans le même sens en déclarant : « Je trouve le projet très intéressant. Si ça peut permettre d’améliorer le flux du réseau de la santé dans le contexte actuel, qu’on le fasse. Ça se fait en Ontario, pourquoi est-ce que ça ne pourra pas se faire ici ? »

Mais la Fédération des médecins omnipraticiens du Québec (FMOQ) ne voit pas la chose du même œil et croit plutôt qu’il faut maximiser les efforts de collaboration entre les professionnels de la santé, pourtant déjà pour la plupart surutilisés.

L’idée risque d’être débattue encore un bon moment, mais on peut se demander ce que la FMOQ peut reprocher à de telles idées proactives, alors que le Québec vit des heures graves en matière de santé et d’accès aux soins.

Catégories
Uncategorized

Injecter de l’argent en santé bénéficierait davantage aux hommes qu’aux femmes

Une étude proposée par un candidat au doctorat montréalais dévoile des statistiques intéressantes en matière de développement du système de santé et de ses impacts sur les hommes et les femmes.

Rapportée par The National Library of Medicine, l’étude en question analyse des données en provenance de 27 pays développés concernant leur système de santé, et l’efficacité des sommes injectées.

« Nous avons été surpris de découvrir un large écart entre les sexes en matière d’efficacité des sommes injectées à travers les pays industrialisés dans le monde », lance Douglas Barthold, de l’Université McGill.

Il appert en effet que depuis 1991, les avancées médicales et les investissements en capitaux dans les systèmes de santé ont largement profité aux hommes, qui ont vu leur espérance de vie augmenter plus rapidement que celle des femmes.

Il semble que pour chaque 100 $ investi dans un système de santé de l’un de ces pays, un homme gagnerait 2,56 mois d’espérance de vie, contre 1,26 pour les femmes.

Ces étranges conclusions demeurent à être développées et expliquées plus en détail, mais on peut noter que les femmes bénéficiaient déjà d’une espérance de vie plus grande, ce qui s’avère vrai à ce jour.

Catégories
Uncategorized

Un rapport laisse présager des lacunes dans le système de rappel des aliments

Un rapport somme toute inquiétant, bien qu’il ne faille pas s’alarmer outre mesure, concerne le système de rappel des aliments au Canada, rapporte Radio-Canada.

Déposé par le vérificateur général du Canada, M. Michael Ferguson, le rapport stipule que plusieurs façons de faire « créent de la confusion » au sein des membres du personnel appelé à effectuer ces rappels, et que le phénomène mène à des retards et à des risques inutiles.

Bien que les méthodes utilisées jusqu’ici aient permis de limiter massivement les problèmes de santé qui auraient pu découler de la consommation de certains aliments, Ferguson croit que les choses peuvent s’améliorer.

« L’Agence canadienne d’inspection des aliments gère bien la plupart des aspects des rappels. Toutefois, tant sur le plan du suivi post-rappel auprès de l’industrie qu’à celui des grands rappels d’urgence, les faiblesses que nous avons relevées soulignent des lacunes importantes dans le système de rappel des aliments. Quoique les cas de maladies aient été contenus dans les rappels que nous avons examinés, je ne suis pas certain que le système donnera toujours des résultats comparables », écrit le vérificateur général, avec une pointe d’inquiétude.

C’est donc surtout lors du processus post-retrait que les choses se compliqueraient, les autorités ayant du mal à confirmer la destruction des aliments fautifs, ainsi que les méthodes utilisées pour éviter la répétition des problèmes dans l’avenir.

Ne reste plus qu’à voir ce que ces observations et recommandations permettront de faire dans l’amélioration du système de rappel des aliments au Canada.

Catégories
Uncategorized

Solidifier son système immunitaire par la vitamine D

Alors que la première petite neige fondante s’est abattue sur plusieurs régions du Québec, signifiant du même coup l’arrivée de la saison de la grippe, plusieurs personnes chercheront à augmenter et solidifier les capacités de leur système immunitaire.

Selon le Nutrition News et son éditeur, Joshua Corn, il n’existe pas beaucoup d’alternatives ou de meilleurs moyens que de compter sur la vitamine D. D’ailleurs, la prochaine édition du magazine papier sera consacrée à la précieuse vitamine, qui a gagné ses galons depuis l’hiver dernier.

En effet, au cours de l’année qui se terminera bientôt, plusieurs études et recherches sont venues consacrer la vitamine D et son importance pour l’organisme, notamment en ce qui concerne les capacités immunitaires.

Rappelant du même coup qu’il n’est pas absolument nécessaire de recourir au fameux vaccin contre la grippe, Corn et son équipe précisent que le manque de vitamine D est maintenant un phénomène presque pandémique. Aucune surprise alors de voir les gens tomber malades facilement lors de l’arrivée de la saison froide.

Mais où retrouve-t-on la fameuse vitamine D? Malheureusement du soleil, qui se fait timide et moins accessible en hiver. On conseille donc de se tourner vers les suppléments, notamment de D3, et de demander les conseils d’un spécialiste de médecine naturelle, plus conscient des méthodes de fabrication des grandes marques.

Catégories
Uncategorized

Le cerveau d’Einstein partiellement démystifié

Une tentative de la part de deux chercheurs qui cherchaient à mieux comprendre le cerveau et l’intelligence ahurissante d’Albert Einstein aurait porté certains fruits, selon ce que rapporte Top Santé.

Weiwei Men, un chercheur chinois, et Dean Falk, de l’Université de la Floride, ont uni leurs forces pour tenter de percer le mystère. Ils révèlent leurs conclusions dans la plus récente édition du magazine Brain.

Les deux chercheurs prétendent qu’une partie du secret d’Albert Einstein réside dans le système qui relie les deux hémisphères du cerveau l’un à l’autre, particulièrement efficace dans le cas du père de la théorie de la relativité.

En parvenant à créer des photos haute résolution du cerveau d’Einstein et en les comparant à celles de sujets jugés pertinents à l’étude, par exemple des jeunes adultes de 26 ans (âge prolifique d’Albert Einstein), Men et Falk affirment que les connexions qui relient les deux hémisphères du cerveau sont plus sophistiquées ou nombreuses chez Albert Einstein.

« Cette étude, plus que toutes celles qui ont été réalisées jusqu’à aujourd’hui, est la seule qui a véritablement exploré l’intérieur du cerveau d’Einstein », s’enorgueillit Dean Falk, avec raison.

Cela dit, malgré la volonté féroce des scientifiques à vouloir démontrer ce qui a fait d’Einstein un personnage historique éternel, parions que nul ne pourra jamais réduire la personnalité et le charisme unique d’Einstein, ainsi que tout ce qui faisait de lui ce qu’il a été, à une équation mathématique.

Catégories
Uncategorized

Apple et son iOS 7 donnent-ils la nausée?

Étonnant phénomène que celui rapporté par Top Santé, alors que la célèbre compagnie Apple reçoit plusieurs plaintes hors du commun en lien avec son nouveau système d’exploitation iOS 7, destiné au iPhone.

C’est que plusieurs utilisateurs du iPhone et du système iOS 7 seraient plus sensibles aux animations abondantes et seraient victimes de nausées et d’étourdissements. On pointe notamment di doigt les zooms fréquents, la résolution, l’éclairage et les animations, des facteurs qui s’avèrent pourtant des points positifs qui contribuent au succès du produit.

Sauf que pour les gens plus sensibles et vulnérables, dont ceux victimes du syndrome vestibulaire, l’utilisation du système peut s’avérer dommageable et difficile.

La Vestibular Disorders Association (VEDA) y va donc d’une recommandation importante pour aider les personnes aux prises avec ce genre de problèmes. La VEDA fait remarquer qu’il existe un moyen de changer les options du iPhone et de son système, et d’ainsi réduire le mouvement observable sur l’appareil.

Les gens qui souhaitent le faire peuvent se rendre dans le menu du iPhone, puis dans « Réglages », « Général », puis « Accessibilité » et « Désactiver les animations ».

La VEDA souhaite maintenant voir les compagnies de technologies comme Apple créer de nouvelles options qui permettraient aux clients de choisir une interface plus statique, et ainsi venir en aide aux patients souffrant de problèmes comme le syndrome vestibulaire ou encore l’épilepsie.

Catégories
Uncategorized

Quand le iPhone devient le iDocteur

Le Telegraph (UK) propose un article des plus intéressants sur les capacités actuelles et futures de l’iPhone et des téléphones intelligents en matière de santé.

Si on connaissait déjà quelques-unes des applications proposées, d’autres piquent la curiosité, stimulent l’imaginaire ou surprennent carrément.

Notamment, le journaliste scientifique correspondant Richard Gray mentionne l’application qui permet de « lire » les battements du cœur et de définir l’état de santé d’un individu, comme un électrocardiogramme retrouvé en centre hospitalier.

La pression sanguine, la respiration, la toux et même les signes de commotion cérébrale peuvent également être analysés par un simple téléphone intelligent, tout comme l’ouïe et les capacités visuelles.

Mais il y a plus. Une application de l’iPhone permettrait également d’analyser les cycles du sommeil, alors qu’une autre peut « lire » dans vos empreintes digitales. Bien sûr, une autre pourra tout simplement analyser les symptômes proposés et en arriver à un diagnostic initial virtuel.

La liste se poursuit et continuera de s’allonger, démontrant que les nouvelles technologies peuvent et pourront améliorer certains de soins de santé ainsi que leur proximité, mais pourront également réduire les coûts annuels liés à la santé et désengorger certains départements.

Richard Gray espère voir des études cliniques confirmer officiellement les propriétés médicales possibles des téléphones comme le iPhone, et ainsi changer littéralement une partie de la face du monde médical tel qu’on le connaît.