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Tabac et pilule, un duo explosif

La pilule contraceptive et le tabac ne vont pas ensemble, lisons-nous sur L’Express. Des spécialistes ont émis un avis clair sur le sujet dans le cadre du Congrès européen de la Société des cardiologues.

La combinaison cigarette-pilule expose une femme à de graves risques d’accident vasculaire. On assiste d’ailleurs à une explosion des cas.

On ajoute que jusqu’à sa ménopause, une femme est protégée des accidents vasculaires, du moins en partie, en raison de l’estrogène. De plus, même après ce stade, elle présente moins de facteurs de risque que l’homme.

Toutefois, on souligne que de nos jours, une femme se retrouve avec autant de risques de souffrir d’un infarctus qu’un homme, et encore plus si elle prend la pilule (et qu’elle est fumeuse), boit de l’alcool et vit du stress.</p

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Adoptez le régime méditerranéen pour prolonger votre vie

L’American Journal of Clinical Nutrition nous apprend qu’adopter le régime méditerranéen qui se compose surtout de légumes, d’huile d’olive et de poisson, arrêter de fumer, faire de l’exercice et maintenir un poids santé, permettrait de prolonger sa vie de 15 ans pour les femmes et de 8 ans et demi pour les hommes. 

Ce mode de vie sain réduit les risques de mort prématurée, c’est ce qui ressort de l’analyse des données de 120 852 personnes âgées de 55 à 69 ans.
 
Le régime méditerranéen, l’abandon du tabac, 30 minutes d’activités par jour et maintenir un indice de masse corporelle (IMC) entre 18,5 et 25 est le mode de vie le plus sain qui soit pour avoir une meilleure longévité, mais également réduire considérablement les risques de maladies diverses.
 
Les bienfaits du régime méditerranéen ont souvent été démontrés, il contient peu de matières grasses et de viandes rouges.
 
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La bronchiolite aggravée par la fumée du tabac

Il n’est pas surprenant de constater que cette maladie infantile, infection importante des poumons, soit aggravée de façon significative par l’exposition à la fumée du tabac. Medical News Today rapporte les résultats d’une étude effectuée par l’Université de Liverpool.
 
La recherche a été menée auprès d’enfants de Liverpool étant admis à l’Hôpital pour enfants Alder Hey avec un diagnostic de bronchiolite. La démographie socio-économique de Liverpool comprend de nombreux secteurs malfamés et certains où la consommation des produits du tabac est très élevée. Néanmoins, les secteurs de pauvreté ne sont pas les seuls où les fumeurs se retrouvent en forte concentration.
 
Ainsi, les enfants provenant de ménages fumeurs, sans égard au statut social, ont subi beaucoup plus de complications reliées à la maladie. Ces nourrissons nécessitent une thérapie par oxygénation et sont 5 fois plus enclins à subir l’assistance d’une ventilation mécanique.
 
Le docteur Calum Semple, de l’Institut de santé pour enfants, confirme la donne : « L’exposition à la fumée du tabac est un facteur qui peut être prévenu, d’autant plus que non seulement il augmente la sévérité de la maladie, mais il peut aussi la causer, tout simplement. »
 
Pour les spécialistes de Liverpool, cette recherche apporte la première évidence probante que les problèmes de santé des nourrissons ne sont pas nécessairement associés aux conditions sanitaires des familles démunies.
 
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De nouvelles statistiques alarmantes pour les futures mamans fumeuses

Le Daily Mail rapporte les récents résultats d’une étude menée à partir de 172 documents de recherche publiés dans les 50 dernières années.
 
Une fois de plus, les scientifiques se sont penchés sur les effets néfastes du tabac sur les nouveau-nés. Les documents analysés comprenaient un total de 174 000 cas de malformations de toutes sortes, qui ont été comparés, puis compilés selon différents facteurs.

Le rapport suggère que la femme enceinte qui fume augmente significativement les risques (26 %) de malformations congénitales graves, comprenant la déformation ou l’atrophie des membres. Notamment, la publication soulève que l’utilisation du tabac pendant la grossesse augmente de 28 % le risque d’une naissance avec un pied bot ou une fente labiale.

D’autre part, l’étude affirme que les nouveau-nés sont plus vulnérables de 50 % à l’affection de la laparoschisis, aussi appelée gastroschisis, consistant en une malformation de la paroi abdominale. La fente ainsi créée laisse saillir les intestins sans aucune protection.

Les chercheurs déplorent que malgré la quantité d’avertissements, appuyés par les résultats d’une multitude de recherches, de nombreuses femmes continuent à fumer pendant leur grossesse. Au Royaume-Uni, c’est 17 % des femmes enceintes qui fument et aux États-Unis, 45 % des jeunes en bas de 20 ans consomment des produits du tabac.

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Tabagisme et grossesse : le message ne passe pas

Les dangers du tabagisme durant la grossesse sont réels. Par exemple, 20 % des fumeuses vivront une fausse couche, contre 10 % pour les autres. Toutefois, plusieurs futures mamans ne semblent pas se soucier des risques encourus pour leur bébé.

L’association Droits des Non-Fumeurs a réalisé une analyse ayant porté sur trois sites internet. Elle en a présenté les résultats le 30 mai lors d’une conférence de presse.
 
On y apprend entre autres que plus du tiers des femmes fument tous les jours en début de grossesse. De plus, 22 % des futures mères n’arrêtent pas de fumer, et ce, jusqu’à l’accouchement.

Afin de tirer ces conclusions, l’association européenne en question a pris en compte 426 721 messages affichés sur des forums féminins de 2006 à 2011. Ces avis portaient sur le thème « grossesse et tabac ». Parmi eux, 1 545 ont été jugés représentatifs.

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Maman fumeuse, bébé fumeur

Une recherche finlandaise a démontré que le tabagisme de la femme enceinte peut grandement faire en sorte que l’enfant soit dépendant de la nicotine plus tard. De plus, ce dernier aurait tendance à commencer à fumer à un âge plus jeune.

Selon Medical News Today, cette étude faite sur des souris a prouvé que l’exposition prénatale à la nicotine rendait vulnérable à celle-ci.

Ainsi, l’enfant, une fois au stade de l’adolescence, aura plus tendance à subir les effets de la dépendance à cette substance.

Puisque l’on comprend mieux de quelle façon la nicotine bloque certains récepteurs, on peut considérer qu’il s’agit là d’une explication possible de l’usage courant de la nicotine.

Finalement, cette recherche ouvre la voie à de possibles médicaments pour traiter la dépendance aux drogues et à la cigarette.

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Les femmes vivraient plus longtemps parce qu’elles fument moins

Selon une étude européenne, le tabac pourrait expliquer de 40 à 60 % de la différence de mortalité entre les hommes et les femmes.
 
Tobacco Control affirme que les chercheurs ont utilisé les données recueillies par l’Organisation mondiale de la santé concernant les décès toutes causes confondues et ceux reliés au tabac, notamment à la suite d’un cancer du poumon ou des voies respiratoires.
 
La différence entre les décès chez les hommes et les femmes pourraient s’expliquer par le fait que les femmes fument moins que les hommes et ont plus souvent recours aux soins de santé.
 
40 à 60 % de la différence de mortalité entre les deux sexes peut être attribuée au tabac, alors que l’on parle de 20 % pour l’alcool.
 
Cette étude a été réalisée dans 30 pays d’Europe. Il est à noter qu’en France, au Danemark et au Portugal, on ne constate pas une aussi grande différence de mortalité entre les hommes et les femmes.
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Le tabac est nocif, avec ou sans fumée

L’Association américaine des maladies cardiaques vient de prendre position contre tous les produits du tabac.
 
Selon elle, même les produits sans fumée ne sont ni des substituts sécuritaires à la cigarette ni de bonnes méthodes pour cesser de fumer. Tous les produits du tabac sont nocifs, même sans fumée.
 
Selon la Dre Mariann Piano de l’Université de l’Illinois à Chicago, mâcher ou inspirer du tabac provoque la même dépendance à la nicotine que fumer une cigarette. Les organisations de la santé du Canada applaudissent cette nouvelle prise de position.
 
Apparemment, les produits sans fumée augmenteraient même les risques de crises cardiaques, d’accidents vasculaires cérébraux et de certains cancers. Des risques qui sont aussi présents avec la cigarette. Donc, ces produits sont loin d’être aussi sécuritaires que les gens le croient.
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Fumer diminue la taille du pénis

Nouvelle découverte concernant les effets nocifs de la cigarette. Nous savions déjà qu’elle pouvait affecter la virilité masculine avec la dysfonction érectile, mais on ajoute également qu’elle diminue la taille du pénis.
 
Des chercheurs de l’École de médecine de l’Université de Boston ont étudié 200 fumeurs et ont noté que ces hommes avaient en moyenne 1 cm de moins à leur organe sexuel. On croit que la cigarette affecte les vaisseaux sanguins, obstruant ainsi le flux sanguin.
 
Par contre, le journal The Guardian, qui a fait part de cette nouvelle, ajoute que les chercheurs n’ont pu déterminer la quantité de cigarettes nécessaire pour causer de tels dommages. Des études plus approfondies seront donc entreprises sous peu.
 
Il s’agit d’une autre bonne raison d’écraser pour de bon, car le tabagisme cause des maladies cardiaques, des accidents vasculaires cérébraux et le cancer des poumons, en plus de nombreux autres cancers sur lesquels la cigarette a une incidence.
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Même après un diagnostic de cancer du poumon il est bon d’écraser

Si vous croyez que cesser de fumer ne changerait rien après avoir reçu un diagnostic de cancer du poumon, détrompez-vous. Si vous écrasez, vos chances de survie seraient grandement améliorées.

Selon le British Medical Journal, cesser de fumer après avoir reçu un diagnostic de cancer du poumon à un stade précoce permet, cinq ans plus tard, des chances de survie de 63 à 70 % comparativement à ceux qui fument toujours avec des chances de 29 à 33 %.

Ce sont les conclusions que tirent la Dre Amanda Parsons et ses collègues de l’université de Birmingham, en Angleterre, après avoir analysé dix études.

Nous savions que les fumeurs avaient 20 fois plus de risques de développer un cancer du poumon que les non-fumeurs, mais c’est la première fois qu’on établit qu’il est aussi bénéfique de se défaire de cette habitude, même après avoir reçu un diagnostic de cancer.

Pour les chercheurs, il est donc important de traiter le cancer, mais également d’aider les personnes à arrêter de fumer pour de bon.

Au Canada, on estime que 23 400 personnes auront reçu un diagnostic de cancer du poumon en 2009 et que 20 500 ne s’en sortiront pas vivantes.