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Les États-Unis proposent le dépistage systématique du cancer du poumon chez les fumeurs chroniques

Certains spécialistes américains croient qu’il serait bénéfique de faire du dépistage systématique au sein de la population qui affiche des antécédents de tabagisme chronique.

On désigne cette portion de gens, aussi appelés « gros fumeurs », par ceux qui ont fumé plus de 20 cigarettes par jour durant des décennies.

Ainsi, l’American College of Chest Physicians propose de faire un travail accru de prévention auprès des gens de 55 à 74 ans qui ont ce genre d’historique.

On croit du côté de ces chercheurs, comme décrit dans leur étude rapportée par Santé Log, qu’on pourrait faire baisser les décès dus au cancer du poumon de 20 % chez ce groupe cible.

On aimerait implanter de telles mesures pour tout le monde, mais les coûts astronomiques d’une telle manœuvre ne sont pas à négliger. En ciblant les personnes les plus à risque statistiquement, les spécialistes de l’American College of Chest Physicians croient qu’il s’agit d’un très bon début.

Les États-Unis mettront-ils sur pied un tel programme et, surtout, d’autres nations suivront-elles l’exemple?

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Le tabagisme plus risqué pour les femmes que les hommes

Top Santé révèle une étude sur le tabagisme qui fait état de la différence de risques observée chez la femme, par rapport aux hommes.

On apprend que les effets de la cigarette sont plus importants chez la gent féminine, qui court plus de risques de développer certains types de cancers dus à l’usage du tabac.

C’est après une recherche exhaustive effectuée auprès de 600 000 patients, en analysant leurs dossiers médicaux, que les chercheurs norvégiens en tête de l’étude sont arrivés à ce constat.

Le risque de développer un cancer du côlon, par exemple, est amplifié chez les femmes fumeuses. Même chose pour les troubles cardiovasculaires, qui sont plus fréquents chez les femmes que chez les hommes, à consommation égale de cigarettes.

Les spécialistes norvégiens veulent donc, par le biais de ces conclusions, lancer un sérieux avertissement aux femmes du monde entier, qui seraient plus nombreuses à fumer qu’auparavant, une donnée étonnante.

On veut sensibiliser au fait que l’organisme des femmes est plus vulnérable aux effets nocifs du tabac, un fait encore méconnu de la population en général.

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Une nouvelle méthode pour arrêter de fumer à l’essai

Arrêter de fumer est, de l’avis de nombreux spécialistes, l’une des choses les plus difficiles à réaliser. Malgré la volonté de plusieurs, il faut souvent des outils aux fumeurs pour parvenir au but ultime : l’arrêt du tabagisme.

Malgré plusieurs produits déjà offerts sur le marché pour aider le tout, des chercheurs travaillent encore sans relâche pour venir en aide à cette partie de la population.

Santé Log rapporte une percée qui pourrait s’avérer intéressante, bien qu’elle risque de faire peur à bien des gens.

Il s’agit d’une technique qui utilise la stimulation magnétique transcrânienne, aussi appelée SMT, qui agit sur le cortex préfrontal du cerveau.

Jusqu’ici, les chercheurs qui travaillent sur ces essais observent des résultats prometteurs, alors que les sujets semblent éprouver des envies de fumer beaucoup moins violentes.

Le procédé cible le fameux « système de récompense » du cerveau, qui produit de la dopamine lorsqu’une personne allume une cigarette. Le fait d’arrêter de fumer prive le sujet de cette dopamine, ce qui le poussera presque inéluctablement à la rechute.

Avec la SMT, on réussit à contrer le phénomène, en tout cas pour une certaine période de temps pour l’instant.

Si plusieurs tests restent à faire, le procédé non invasif est déjà approuvé par la FDA.

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La cigarette électronique de plus en plus prisée pour arrêter de fumer

Il semble que la fameuse cigarette électronique fasse de plus en plus ses preuves, et que de plus en plus de gens font l’expérience de cette nouvelle méthode pour cesser de fumer.

C’est du moins ce qui ressort des statistiques présentées par des chercheurs de l’Université d’East London et rapportées par Top Santé.

En effet, sur une période d’environ sept mois, les chercheurs ont sondé près de 1500 fumeurs de 33 pays d’Europe. On s’est rapidement rendu compte que la cigarette électronique avait gagné en popularité, mais aussi en efficacité.

En fait, 75 % des répondants ayant tenté l’expérience de la cigarette électronique disent ne pas avoir fumé des semaines durant, alors que la grande majorité déclare, d’une façon ou d’une autre, que cette nouvelle technologie permet de réduire l’envie de fumer.

On peut donc affirmer qu’après avoir traversé quelques tempêtes et survécu à plusieurs débats sur sa crédibilité et son utilité, la cigarette électronique pourrait être en voie de s’inscrire comme l’une des solutions les plus viables pour cesser de fumer.

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Le tabagisme influence aussi le taux de survie du cancer du côlon

On apprend par The National Library of Medicine que les taux de survie à la suite d’une opération pour un cancer du côlon sont grandement influencés à la baisse chez les fumeurs.

Sur une période donnée de trois ans, les statistiques de survie et de rémission complète après une ablation partielle du côlon se chiffreraient à 74 % chez les non-fumeurs, contre 70 % pour les fumeurs.

Une autre bonne raison pour arrêter de fumer, croit Amanda Phipps, auteure de l’étude et spécialiste au Fred Hutchinson Cancer Research Center de Seattle.

« Il y a une différence. Les pronostics chez les fumeurs sont plus sombres. Les effets du tabagisme peuvent s’étendre au-delà du risque accru de cancer du côlon, mais aussi sur la suite des choses après un diagnostic. C’est bien lorsque les recherches dressent un portrait constant concernant la santé publique », déclare Phipps, en faisant référence aux nombreuses campagnes anti-tabac et à la lutte constante au tabagisme dans nos sociétés.

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Lien entre l’adandon du tabagisme et les envies de sucre

Une lectrice se questionne en écrivant à The Telegraph concernant une soudaine envie de sucre à la suite de l’abandon de sa mauvaise habitude.

Le Dr Dan Rutherford répond à la question en expliquant : « Les fumeurs rapportent souvent une prise de poids quelque temps après avoir cessé du fumer. Engraisser est en partie dû au fait que la nicotine possède des propriétés coupe-faim. Le poids pris varie d’un individu à l’autre, mais se situe généralement autour d’une douzaine de livres. L’effet contraire est aussi observé, alors que certaines personnes enregistrent plutôt une perte de poids ».

Rutherford ajoute : « Les nouveaux non-fumeurs ressentent souvent le besoin de trouver un substitut. C’est alors qu’ils ont souvent tendance à grignoter davantage. Ce phénomène est cependant moins présent chez les gens ayant utilisé de l’aide comme les timbres, la gomme et les pulvérisateurs de nicotine ».

Une étude démontre entre autres qu’après 3 mois d’abandon du tabac, les individus sécrétaient plus d’insuline, l’hormone responsable de contrôler le taux de sucre dans le sang. Cela entrainerait une baisse du taux de sucre, et donc une envie particulière pour le sucre.

Il semblerait cependant que ces effets disparaissent au bout de six mois.

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Quelques astuces pour cesser de fumer… pour de bon

Lorsqu’on décide d’arrêter de fumer, il est déjà difficile d’entamer le processus, mais le maintenir relève presque du miracle.

Une épreuve de force réalisable, cependant, lorsqu’on met toutes les chances de notre côté. C’est pourquoi The National Library of Medicine publie une série de trucs et astuces pour vous aider à cesser de fumer pour de bon.

Ainsi, on conseille d’abord vivement de garder ses mains occupées en permanence, et de se trouver des passe-temps qui vont entrer dans cette catégorie, au besoin.

Le sommeil serait aussi une notion très importante, car il semble que le désir de se tourner vers la cigarette serait moins puissant lorsque le corps et l’esprit sont pleinement reposés.

Remplacez la pause cigarette par une bonne vieille marche à l’extérieur, ajoute-t-on, avant de parler de la fameuse prise de poids due à l’arrêt du tabagisme

On souligne qu’il est également possible de l’éviter en se dotant de grandes quantités de grignotines santé, ce qui évite les aliments malsains, en plus d’occuper les mains!

On termine en suggérant de baisser votre apport en caféine, puisque le café et la cigarette sont intrinsèquement liés.

Voilà! Bonne chance!

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Les enfants de parents divorcés sont plus à risque de commencer à fumer

Le journal médical Public Health publie les résultats d’une étude canadienne qui s’est attardée sur 19 000 personnes. Parmi celles-ci, 1551 garçons et 2382 filles avaient vécu la séparation ou le divorce de leurs parents alors qu’ils étaient jeunes.

Les garçons du divorce étaient 48 % plus à risque d’être devenus des fumeurs, ainsi que 39 % des filles du divorce, comparativement à ceux dont les parents étaient restés ensemble.

« Établir ce parallèle entre le divorce des parents et le tabagisme est très dérangeant », a affirmé l’auteure de l’étude, Esme Fuller-Thomson, selon ce que rapporte Medical News Today.

« Nous croyions que cette association s’expliquerait par un ou plusieurs des trois facteurs suivants : un niveau d’éducation plus bas, un taux plus élevé de dépression ou d’anxiété, des traumatismes coexistants survenus durant l’enfance, comme les sévices physiques ou psychologiques. Cependant, même en tenant compte de ces facteurs, une association très forte entre le divorce et le tabagisme est demeurée. »

Les chercheurs n’ont pas réussi à comprendre pourquoi ce lien existe. Le tabagisme est l’une des plus grandes causes de problèmes de santé qui peuvent être prévenus.

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Les enfants dépressifs risquent plus de développer des problèmes de santé

Des chercheurs américains ont étudié les données provenant de 201 enfants dépressifs avec un âge moyen de 9 ans, ainsi que 195 de leurs frères et sœurs qui n’avaient jamais souffert de dépression.

Pour former un 3e groupe de contrôle, 161 enfants du même âge et du même sexe, qui n’avaient pas d’historique de dépression, ont également été inclus.

À l’âge de 16 ans, ces jeunes ont été évalués à nouveau, s’attardant entre autres aux taux de tabagisme, d’obésité et d’activité physique au sein des trois groupes.

22 % des enfants qui avaient souffert de dépression étaient obèses, comparativement à 17 % de leurs frères et sœurs, et 11 % des enfants du groupe de contrôle.

Un tiers des enfants dépressifs fumaient quotidiennement, comparativement à 13 % de leurs frères et sœurs, et seulement 2 % des autres.

Les données étaient similaires pour ce qui est de l’activité physique : les jeunes dépressifs étaient les moins actifs, et ceux appartenant au groupe de contrôle l’étaient le plus.

Les chercheurs ont également remarqué qu’un historique de dépression était associé à un risque accru de développer des problèmes cardiaques, peu importe si les jeunes de 16 ans souffraient toujours de dépression ou pas, selon Science Daily.

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Les enfants dépressifs risquent plus de développer des problèmes de santé

Des chercheurs américains ont étudié les données provenant de 201 enfants dépressifs avec un âge moyen de 9 ans, ainsi que 195 de leurs frères et sœurs qui n’avaient jamais souffert de dépression.

Pour former un 3e groupe de contrôle, 161 enfants du même âge et du même sexe, qui n’avaient pas d’historique de dépression, ont également été inclus.

À l’âge de 16 ans, ces jeunes ont été évalués à nouveau, s’attardant entre autres aux taux de tabagisme, d’obésité et d’activité physique au sein des trois groupes.

22 % des enfants qui avaient souffert de dépression étaient obèses, comparativement à 17 % de leurs frères et sœurs, et 11 % des enfants du groupe de contrôle.

Un tiers des enfants dépressifs fumaient quotidiennement, comparativement à 13 % de leurs frères et sœurs, et seulement 2 % des autres.

Les données étaient similaires pour ce qui est de l’activité physique : les jeunes dépressifs étaient les moins actifs, et ceux appartenant au groupe de contrôle l’étaient le plus.

Les chercheurs ont également remarqué qu’un historique de dépression était associé à un risque accru de développer des problèmes cardiaques, peu importe si les jeunes de 16 ans souffraient toujours de dépression ou pas, selon Science Daily.