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La circoncision contre le sida

Le fait est qu’une étude démontre que plus petite est la taille du prépuce, plus minces sont les chances pour un patient de souffrir du sida plus tard.

C’est ce que l’étude effectuée par le Rakai Health Sciences Program de l’Université Johns Hopkins en Ouganda a permis de découvrir.

Sur plus de 965 hommes non sidéens, ceux dont le prépuce était le plus gros ont été affectés par la maladie en plus grand nombre que ceux dont le prépuce avait une plus petite taille.

La circoncision n’est pas seulement une affaire de religion. Pour certains, elle peut représenter une décision éthique. De plus, certains parents font le choix de circoncire leur gamin pour des raisons d’hygiène.

Rappelons que les risques de cancer de la prostate seraient réduits avec une circoncision. Il est reconnu que certaines infections transmises sexuellement (ITS) peuvent accroître les risques de souffrir d’un cancer de la prostate. La circoncision protègerait de certaines de ces ITS.

En fait, les chercheurs ont constaté que les hommes qui avaient eu une circoncision avant leur première relation sexuelle avaient 15 % moins de chances de contracter un cancer de la prostate.

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Une hormone qui rend les petits plus grands

Selon des endocrinologues interviewés par Le Figaro, il faut se soucier tôt d’une taille trop petite pour l’âge. Ce sont des investigations complémentaires qui permettront de vérifier s’il s’agit d’un simple retard ou d’une maladie sous-jacente.

« La déviation standard est la valeur qui permet d’évaluer la croissance d’un enfant. Lorsque l’on mesure tous les enfants par classe d’âge, on détermine une moyenne et un intervalle de taille. Près de 95 % des enfants se situent entre – 2 (pour les plus petits) et + 2 (pour les plus grands) déviation standard (DS). Au-dessous de – 2 DS, l’enfant n’est plus dans la “norme” ».

Des examens permettent de découvrir s’il y a réellement une cause médicale à la petite grandeur, s’il s’agit du syndrome de Turner, de la maladie génétique de Prader Willi, du gène Shox, ou encore de rien du tout.

Les médecins confirment que le traitement par somatotrophine n’est pas offert fréquemment et encore moins dans des cas de pur caprice. Très dispendieux (6000 à 10 000 € par année), le traitement doit être arrêté au bout d’une année s’il n’y a pas d’amélioration.

Les médecins disent que celui-ci a déjà fait ses preuves. Un remboursement des frais pourrait être accordé aux enfants aux prises avec un déficit d’hormones.

D’autres études sont cependant exigées du gouvernement français, où plus de 25 000 enfants pourraient avoir accès au traitement par somatotrophine pour des raisons valides.

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La croissance des bébés prématurés

On lit sur Medscape les résultats d’une étude sur la faible croissance de bébés prématurés, mais selon son lien avec la courbe linéaire, le poids et l’état du corps d’une hormone postnatale (IGF-IGFBP).

Des chercheurs ont tenté, en fait, d’établir si l’axe de l’hormone IGF-IGFBP influait sur la croissance. Les 54 bébés qui participaient à cette recherche étaient nés avant la 37e semaine de grossesse; un groupe de contrôle de 82 bébés a aussi été formé.

Il semble donc que les bébés prématurés étaient plus petits et d’un plus faible poids que leurs parents. De plus, une fois la puberté atteinte, ils n’atteignaient pas leur plein potentiel génétique quant à leur croissance. Seuls les taux d’hormone IGF-IGFBP différaient entre les deux groupes.

Une naissance prématurée peut finalement influencer la régulation endocrine de la croissance, et ce, durant l’enfance et l’adolescence.

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Les garçons autistes croissent plus vite

Un garçon autiste présenterait certains signes d’une croissance plus rapide que les autres, lorsqu’il est un bébé, lit-on dans les Archives of General Psychiatry. Des chercheurs ont relevé que des bébés garçons atteints d’autisme auraient une plus grosse tête, une plus grande taille et un poids plus élevé.

Il s’agirait ici de nouvelles façons de déceler le syndrome. Il semble par ailleurs que les petits garçons qui présentent cette croissance accélérée montreraient aussi des symptômes de l’autisme plus graves, et ce, en particulier pour les aptitudes sociales.

On comprendrait mieux, grâce à cette découverte, certains des mécanismes sous-jacents de l’autisme. Une plus grosse tête sous-entendrait un plus gros cerveau. Toutefois, on doit poursuivre la recherche sur d’autres facteurs morphologiques avant de donner une réponse définitive sur ce point.

Les chercheurs perçoivent déjà que cette croissance exagérée puisse être l’une des causes de l’autisme. Soit elle ferait en sorte que les symptômes s’aggravent, soit elle représenterait un sous-type du syndrome, lequel serait marqué par cette croissance et de plus sévères déficits sociaux. La réponse à cette croissance accélérée n’est toutefois pas encore connue.

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Les parents sous-estiment le poids de leurs enfants

Un rapport de Statistique Canada démontre que les Canadiens sous-estiment le poids et surestiment la taille de leurs enfants.

 

Même pour eux-mêmes, les adultes ont vraiment du mal à évaluer les bonnes données concernant leur poids et leur taille. Le rapport entre la grandeur et la taille permet de déterminer si une personne compte parmi les obèses morbides.

Lorsqu’on demande aux parents d’évaluer le poids et la taille de leurs enfants, les données sont également inexactes. Le poids est erroné de 1,09 kg et la taille de 3,3 cm, en moyenne.

La plupart du temps, les enfants dont on avait sous-estimé le poids étaient en réalité obèses, alors qu’au contraire ceux qu’on avait dit obèses étaient des candidats dont on avait sous-estimé la taille. Il serait donc important de pouvoir bien évaluer les données.

Ainsi, le taux d’obésité que l’on retrouve chez les enfants est erroné, car il est basé sur les données recueillies par les parents.

 

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Le poids est sous-estimé et la taille surestimée.

Un rapport de Statistique Canada démontre que les Canadiens sous-estiment leur poids et surestiment leur taille, y compris chez leurs enfants.

Les adultes ont vraiment du mal à évaluer les bonnes données concernant leur poids et leur taille. Le rapport grandeur et taille permet de déterminer si une personne compte parmi les obèses morbides.

Lorsque l’on demande aussi aux parents d’évaluer le poids et la taille de leurs enfants, les données sont également inexactes. Le poids est erroné de 1,09 kg et la taille de 3,3 cm en moyenne.

La plupart du temps, les enfants dont on avait sous-estimé le poids étaient en réalité obèses, alors qu’au contraire, ceux qu’on avait dit être obèses, étaient des candidats dont on avait sous-estimé la taille. Il serait donc important de pouvoir bien évaluer les données.

Ainsi, le taux d’obésité que l’on retrouve chez les enfants est erroné car il est basé sur les données recueillies auprès des parents.

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Les grandes femmes développent plus de cancer

Une étude effectuée par une équipe de l’Université d’Oxford dévoile que les grandes femmes ont plus de chances de contracter un cancer, sans doute parce que leur niveau de certaines hormones, connues pour déclencher les tumeurs, est plus élevé.
 
Ce lien a été établi après avoir examiné les dossiers médicaux d’un million de femmes britanniques. L’association entre la taille et le cancer a été établie pour une dizaine de formes de cancers courants, dont ceux du sein, du côlon, du rein, de l’utérus, des ovaires et la leucémie.
 
On a constaté que les femmes mesurant 5 pieds et 9 pouces avaient 33 % plus de chances de développer un cancer que celles mesurant 5 pieds.
 
Cela expliquerait aussi le nombre croissant de cancers dans les dernières décennies, car la taille moyenne des gens a également augmenté.
 
De plus, les filles commencent leur puberté plus tôt, donc leur corps commence plus vite à produire de l’œstrogène, une hormone connue pour favoriser la croissance des tumeurs.
 
Les experts croient également qu’une grande personne a plus de cellules dans son corps et, par conséquent, a donc plus de risques qu’elles deviennent cancéreuses, rapporte le Daily Mail.

L’étude a été réalisée auprès de femmes seulement, donc on ignore si le même phénomène arrive chez les hommes également.

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Les bébés prématurés restent petits

Il semble qu’un bébé prématuré sera plus petit et plus léger qu’un autre né à terme, une fois qu’il aura quatre ans, selon MedPage Today. Ce sont là les résultats d’une étude néerlandaise.

Les bébés prématurés connaissent par ailleurs une croissance normale. Toutefois, ils n’atteignent pas les mêmes paliers dans les courbes que leurs pairs. Cela est apparu vrai pour les enfants modérément ou gravement prématurés.
 
Il faudrait donc revoir les courbes de croissance actuelles et les modifier en fonction des bébés prématurés. Ainsi, les parents ne vivraient plus la même pression et pourraient voir que leur enfant grandit aussi normalement.

Pour tirer ces conclusions, les chercheurs ont suivi 1 834 bébés prématurés et 674 bébés nés à terme. Lorsque les enfants sélectionnés pour la recherche ont eu quatre ans, on a comparé leurs résultats quant à leur taille et leur poids lors de leur dernière visite chez le pédiatre.

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Peu d’effets quant au lait maternel protéiné

L’allaitement est considéré comme la meilleure alimentation pour les bébés prématurés. Malgré cela, on apprend que l’ajout d’un fortifiant protéiné au lait maternel n’a pas d’effet sur la croissance de ces enfants durant leur première année de vie.

Une étude danoise parue dans Pediatrics a mené à ce constat. Les 320 bébés qui participaient à cette recherche étaient nés entre la 24e et la 32e semaine de grossesse. À leur venue au monde, ils pesaient moins de cinq livres.
 
Parmi eux, 207 ont été allaités à leur sortie de l’hôpital et leur mère devait ajouter un supplément protéiné à leur lait. D’autres bébés ont été allaités normalement, tandis que certains ont été nourris à la bouteille avec une formule spécialement conçue pour les poupons nés avant terme.
 
Ainsi, il n’a été relevé aucune différence quant à la taille et au poids des bébés allaités, quel que soit le groupe dont ils faisaient partie, une fois leurs 12 mois atteints.

D’autre part, ceux qui avaient été nourris avec une formule spéciale présentaient une légèrement augmentation de poids et de grandeur, mais de très faible façon. De plus, la taille et le poids étaient dans la moyenne pour la catégorie d’âge.

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La pollution affecterait la croissance

Des chercheurs de l’Université Harvard ont comparé le taux de sérum de PBC et l’indice de masse corporelle (IMC) de garçons russes âgés de 11 ans.

Les résultats de leur étude de trois ans sont récemment parus dans Pediatrics.

Ceux qui vivaient dans une ville très polluée, étant ainsi exposés aux biphényles polychlorés (PBC) et aux dioxines, accusaient une moins forte croissance que les autres.

En effet, ceux-ci avaient un IMC de 16,1, alors que les enfants qui y étaient moins exposés (ayant un plus faible taux de sérum de PBC) avaient un indice de masse corporelle moyen de 18,2.

Une différence semblable a été remarquée dans la taille des enfants. Les garçons les plus exposés à la pollution avaient un retard de 0,19 cm par rapport aux autres, pour un total de 0,6 cm au bout de 3 ans.

Selon l’explication scientifique, les dioxines s’attaqueraient au récepteur d’hydrocarbure aryle, tandis que les PBC influeraient sur l’homéostasie des hormones thyroïdes.

Les chercheurs soulignent finalement que les mesures ont été effectuées lors de la prépuberté, non pas durant la période de gestation. D’autres analyses pourraient suivre.