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Grossesse tardive : l’âge du père plus important

L’âge auquel les hommes conçoivent poserait plus de risques pour la santé du bébé que l’âge de la mère au même moment, puisque le sperme des hommes plus vieux affecte le nombre de mutations génétiques qui peuvent être transmises à l’enfant.

En fait, un homme plus jeune en transmet en moyenne 25, tandis que ce chiffre atteint 65 chez les hommes âgés de 40 ans.

De plus, le sperme d’un homme qui a plus de défauts au niveau de l’ADN serait plus susceptible de mener à une fausse-couche, au développement de l’autisme et à la maladie mentale que celui d’un homme de 20 ans.

Les experts déplorent le fait que l’on ne se soit pas attardé davantage aux conséquences de l’âge du père plus tôt.

« La société s’est vraiment concentrée sur l’âge de la mère. Mais à part le syndrome de Down, il semble que les désordres comme la schizophrénie et l’autisme soient influencés par l’âge du père », explique la directrice générale de Decode Genetics, Kari Stefansson.

C’est pourquoi l’un des chercheurs suggère que les hommes qui envisagent d’avoir un enfant à un âge plus avancé congèlent leur sperme.

Rappelons que les hommes de 40 ans et plus auraient six fois plus souvent des enfants atteints d’autisme que les plus jeunes pères.

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La paternité tardive risquée pour le bébé

 

Publiés dans la revue Nature, les résultats démontrent que ce ne sont pas que les mères plus âgées qui peuvent transmettre involontairement des problèmes à leur bébé en les ayant à un âge avancé.

«Souvent, la mère est montrée du doigt dans les couples ayant un enfant souffrant d’une pathologie d’ordre génétique. Ce n’est pas juste. Aujourd’hui, il existe suffisamment de données pour dire aux hommes que passé un certain âge, il n’est pas très raisonnable d’avoir des enfants, car le risque génétique est tout aussi accru pour eux», explique le chef du service de génétique de l’hôpital Necker de Paris, Stanislas Lyonnet.

De plus, le père transmettrait quatre fois plus de mutations génétiques que la mère à cause de la division cellulaire des spermatogonies. 

L’étude a démontré que les hommes de 40 ans et plus avaient six fois plus souvent des enfants atteints d’autisme que les plus jeunes pères. Cette maladie est due à une mutation génétique dont le père est en partie responsable.

Rappelons toutefois qu’avoir un bébé après 30 ans permettrait de réduire les risques de cancer de l’endomètre chez la femme. Il semblerait que pour les femmes qui ont entre 35 et 39 ans, le risque baisse de 32 %, et de 44 % une fois que le cap de la quarantaine est passé.

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Avoir un bébé après 30 ans diminuerait les risques de cancer

Alors que de plus en plus de femmes retardent la maternité par choix, voilà qu’il y a peut-être un élément de plus qui pourrait peser dans la balance pour elles.
 
En effet, selon des chercheurs de l’école de médecine Keck de l’Université de Caroline du Sud, plus les femmes attendent pour tomber enceintes, moins élevés sont les risques de développer un cancer de l’endomètre (cancer du corps utérin).
 
Parue sur le site de l’American Journal of Epidemiology, l’étude américaine a observé le cas de milliers de femmes pour conclure que les mères qui ont leur dernier enfant entre 30 et 34 ans ont 17 % moins de chances que celles âgées de 25 ans d’être atteintes de ce type de cancer.
 
Il semblerait que pour les femmes qui ont entre 35 et 39 ans, le risque baisse de 32 %, et de 44 % une fois que le cap de la quarantaine est passé.
 
Ainsi, en retardant la grossesse, les risques de cancer de l’endomètre seraient moins élevés. D’un autre côté, les chances que la femme soit moins fertile ou que le bébé soit atteint d’autisme augmentent, révèlent des études antérieures.